Alan Turing, Apple et l’homosexualité

• Alan Turing : c’est lui qui a formalisé l’équivalence qui porte son nom, et permet de déterminer si un langage informatique ou un ordinateur rempli certaines conditions prouvant qu’il peut simuler tout processus automatique.
• Apple : c’est le fabricant d’ordinateur à la pomme.
• Homosexuel : c’est le monsieur qui aime beaucoup le monsieur là.

Quel rapport entre ces trois choses ?

Tout d’abord regardez cette image un instant :



Quand c’est fait, lisez ceci :



Source : Les courbes de Pierre Béziers ont redessiné le monde

Je vais me coucher moins bête ce soir !

Je te sais sensiblke, aussi n'y vois aucune attaque, c'est juste une marseillaiserie:
EN FAIT, C'EST LE VERSION REMIXE DE SOCRATE à qui on a fait boire de la CIGUE.

Socrate aussi ? Mais c’était pas considéré comme normal en Grèce ?

Heeeu, je n'ai rien compris là. Tu peux expliquer au pôve kinder surprise que je suis ?

La cigüe, c’est un plante très toxique, un poison violent (la carotte sauvage peut être confondu avec le cigüe).


Source de l'image : dindiu.canalblog.com

Au moyenne âge et dans l’antiquité (enfin, elle est toujours aussi dangereuse, même de nos jours), cette plante était utilisée pour les assassinats par empoisonnement et pour la chasse aux loups et aux ours .

J’imagine qu’il veut dire que Socrate a été assassiné par empoisonnement lui aussi et au même motif. Si c’est ça, je n’en ai jamais vu mention nul-part

Haaaa ! Merci pour l'info, je me coucherais moins bête ce soir. J'aime me coucher moins bête le soir !



Elle est dangereuse cette plante ? On en trouve partout !
Ben c'est bon à savoir !

La Cigüe, oui, très dangereuse, au moins autant que la Digitale. Mais les ombellifères ne sont pas toutes dangereuses — la Carotte Sauvage, l’Anis, l’Angélique, et d’autres, en font partie —, et il est possible qu’en voyant cette photo, tu y reconnaisse plus les ombellifères en général, que la Cigüe elle-même.

Elle pousse principalement dans les lieux humides, à proximité des rivières, ruisseaux, marais, etc. La tige de la Grande Cigüe est glabre, mais il existe une autre espèce de Cigüe, dont je ne sais pas si elle a la même caractéristique.

Par contre je me suis trompé au dessus quand je disais qu’elle avait été utilisé pour la chasse aux loups, je viens de me souvenir : cette autre plante, c’est l’Aconit Napel. Celle là c’est une horreur, elle est encore plus vénéneuse que ce que les plantes vénéneuses des forêts tropicales… et elle pousse en Europe (dans les Vosges, il y en a, en altitude).

Un livre semblant intéressant, sur Alan Turing : L’homme qui en savait trop (laffont.fr), Laurent Alexandre et David Angevin, Janvier 2015.

Il y a peut‑être un doute que ce soit un suicide, c’était peut‑être un assassinat ; le suicide était peut‑être une mise en scène. Alan Turing dérangeait, parce qu’il en savait trop, et il n’a jamais été mentionné comme acteur de la fin de la guerre, alors qu’il se dit que sans lui, elle aurait duré encore 2 ans de plus. Un historien dit que ce chiffre de 2 ans, est plus un symbole qu’un réel calcul, mais sans lui, elle aurait sûrement duré plus longtemps.

Même pas un merci, un procès pour « atteinte aux bonnes mœurs », puis un suicide qui était peut‑être un assassinat . La Reine d’Angleterre à accordé la pardon Royale à Alan Turing en 2013 ; j’espère que ce pardon accompagnait des excuses …

Un certain Gordon Brown, lui en a fait, c’était le 10 Septembre 2009 :



Il a fait plus que participer au décodage des messages encodés par Énigma, il a aussi participé à décoder les messages de la machine suivante qui est vite arrivée, nommée Tunny.

Après la guerre, il a travaillé sur l’intelligence artificielle et les réseaux de neurones artificiels, écrit le premier logiciel de jeux d’échec, et d’autres choses encore, mais personne ne l’a soutenu, et il a même été raillé par ses collègues.

Celui qui semble‑t‑il, avait compris à quel point le(a) citoyen(ne)‑moyen(ne) est irrationnel(le), a probablement fini par comprendre qu’il en émane autant d’ingratitude que d’irrationalité.

Une chose que j’aime bien chez lui, c’est qu’il essayait de trouver des solutions à des problèmes, en évitant de se renseigner sur les méthodes que d’autres avaient déjà tenté, en évitant d’être influencé pour éviter de se coincer dans les rails posés par d’autres.

Un reportage d’ARTE parle de lui, et ce que je rapporte plus haut, en est extrait.

Comment les maths ont vaincu hitler — ARTE