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Auteur | Message |
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Anonymous
Disparu(e)
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Jaaaaaaaaaaaaaaaaaaack ! ma carte postale ??
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Anonymous
Disparu(e)
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euh sinon bonsoir Jack
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Modératrice
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Bonsoir tout le monde !
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Bavard impénitent
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Lisa2 a écrit : Jaaaaaaaaaaaaaaaaaaack ! ma carte postale ?? t'es qui toi ? j'ai connu une lisa dans le temps une femme bien elle est partie ! c'est pas drôle de se substituer a elle .... bonsoir vous autres comment allez vous ? |
Modératrice
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Bonjour Jack Monoloy....
Comment va? Il faut être perdu, il faut avoir perdu le monde, pour se trouver soi-même. (Henry David Thoreau) |
Modératrice
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Et Zen itou Bonjour-soir....
Il faut être perdu, il faut avoir perdu le monde, pour se trouver soi-même. (Henry David Thoreau) |
Bavard impénitent
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Lucy Van Pelt a écrit : Bonjour Jack Monoloy.... SALUT LUCY ,c'est quoi monoloy ? |
Modératrice
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Gilles Vigneault, le gars de Natashquan, nous offre ici une chanson qui raconte un drame de chez lui: le choc des cultures amérindiennes et blanches. Jack Monoloy est l'histoire vécue d'un indien en amour avec une mariouche (jeune fille blanche). Le rythme endiablé de la chanson cache un destin bien tragique
Jack Monoloy Jack Monoloy aimait une blanche, Jack Monoloy était indien. Il la voyait tous les dimanches mais les parents n'en savaient rien. Tous les bouleaux de la rivière Mingan, tous les bouleaux s'en rappellent. La Mariouche elle était belle, Jack Monoloy était fringant Jack, Jack, Jack, Jack, disaient les canards, les perdrix et les sarcelles, Monoloy disait le vent, la Mariouche est pour un blanc. Avait écrit au couteau d'chasse le nom d'sa belle sur les bouleaux Un jour on a trouvé leurs traces, on les a vu au bord de l'eau Tous les bouleaux de la rivière Mingan, tous les bouleaux s'en rappellent. La Mariouche elle était belle, Jack Monoloy était fringant Jack, Jack, Jack, Jack, disaient les canards, les perdrix et les sarcelles, Monoloy disait le vent, la Mariouche est pour un blanc. Jack Monoloy est à sa peine, la Mariouche est au couvent Et la rivière coule à peine un peu plus lentement qu'avant. Tous les bouleaux de la rivière Mingan, tous les bouleaux s'en rappellent. La Mariouche elle était belle, Jack Monoloy était fringant Jack, Jack, Jack, Jack, disaient les canards, les perdrix et les sarcelles, Monoloy disait le vent, la Mariouche est pour un blanc. Jack Monoloy Dieu ait son âme en plein soleil dimanche matin, En canot blanc du haut d'la dam, il a sauté dans son destin. Tous les bouleaux de la rivière Mingan, tous les bouleaux s'en rappellent. La Mariouche elle était belle, Jack Monoloy était fringant Jack, Jack, Jack, Jack, disaient les canards, les perdrix et les sarcelles, Monoloy disait le vent, la Mariouche est pour un blanc. La Mariouche est au village, Jack Monoloy est sur l'fond d'l'eau À voir flotter sur les nuages et les canots et les billots. Tous les bouleaux de la rivière Mingan, tous les bouleaux ont mémoire. Et leur écorce est toute noire depuis qu'Monoloy a sacré l'camp. Jack, Jack, Jack, Jack, disaient les canards, les perdrix et les sarcelles, Monoloy disait le vent, la Mariouche est pour un blanc. Il faut être perdu, il faut avoir perdu le monde, pour se trouver soi-même. (Henry David Thoreau) |
Bavard impénitent
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merci pour cette explication
http://www.deezer.com/track/201591 |
Modératrice
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Il faut être perdu, il faut avoir perdu le monde, pour se trouver soi-même. (Henry David Thoreau) |
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