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Administrateur
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Capitalism: A Love Story, est un film‑reportage réalisé par Michael Moore, en 2009.
On peut le voir sur DailyMotion en version originale sous‑titrée en français. Je ne sais pas comment il a put atterir là, alors que ce film n’a que 3 ans. Mais peut‑être que c’est Michael Moore lui‑même qui a décidé d’être concilient avec la diffusion de son film sur le Net. En tous les cas, sur DailyMotion, on ne peut pas dire que ce soit dans les recoins sombres du Net, alors s’il est visible là, j’imagine que c’est correcte, sinon il aurait supprimé par l’administration. Il est découpé en trois parties. L’ensemble est assez long et dure 2 heure. Je ne l’ai pas encore vu, j’en prendrai le temps plus tard. Le sujet est placé dans Sociologie & Société, et non pas dans Économie & Gestion, parce que je crois qu’il a surtout voulu parler des rapports de la société au capitalisme, et moins d’économie. Capitalism: A Love Story — Partie 1 sur 3Capitalism: A Love Story — Partie 2 sur 3Capitalism: A Love Story — Partie 3 sur 3 |
Administrateur
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Pour les gens qui n’ont pas trop le temps, regardez juste les 6 à 7 premières minutes. Rien que les trois premières minutes démarrent sur les chapeaux de roues.
Aux environs de la huitième minute, quelqu’un dit « C’est normal qu’il y ait des révoltes de la part de ceux qui n’ont rien contre ceux qui ont tout. Je ne comprend plus, entre ceux qui n’ont rien et ceux qui ont tout, il n’y a plus de milieux » Si vous avez un peu plus de temps, regardez les 12 à 13 premières minutes. Il n’en faut pas plus pour voir comment il fait ressortir le cynisme du capitalisme. Et dans cette partie, le cynique qui se vente d’être capable de faire ça sans vomir, ce n’est pas un acteur. Puis si vous avez vraiment le temps, même en plusieurs fois, hé bien regardez tout. |
Administrateur
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Dans la partie N°2, vous allez comprendre pourquoi certaines américains voient des complots partout.
Cette seconde partie se termine par cette question de Michael Moore : « Pensez‑vous qu’il soit abusif de parler de coup d’état, … de coup d’état financier ? ». À cette question il se voit répondre un « Non, car c’est bien ce qui a eu lieu ». Il parlait du renflouement des banques par les citoyens américains après la crise de 2008. Je pense à certaines choses à propos de la partie N°1. Je repasse plus tard. J’ai des questions, et j’aimerais bien connaitre les avis des gens ici. |
Administrateur
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Dans la troisième partie, il se fait quand‑même quelques illusions sur l’Europe, il en parle comme si elle était toujours aussi euphorique qu’aux heures de gloire du syndicalisme et ne semble pas voir sa régression actuelle… et que dire que la régression du syndicalisme en france, et même des syndicats eux‑mêmes.
Il s’en fait aussi sur Barack Obama, peut‑être que le film a été tourné trop tôt, juste un an après son élection. |