Colorant E171

Qu'en penser?
Nos bonbecs préférés en sont remplis...
Comment être cohérents et prudents?
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D’après Additif E171 - Bixyde de Titane (les-additifs-alimentaires.com), c’est seulement pour les dragées et les chewing‑gums, alors on sait déjà comment l’éviter, en évitant les chewing‑gums et les dragées. Effectivement, il est dit que son innocuité fait débat…

Je ne sais pas quoi en penser, je n’en avais jamais entendu parler avant.

Il n'y a malheureusement pas que ce colorant nocif qu'on nous met dans notre nourriture, dans nos produits cosmétiques, nos vêtements, nos biberons, etc.

Visiblement, notre santé n'intéresse nos chefs d'état que lorsqu'elle est mauvaise et qu'elle rapporte énormément à d'autres comme les gros industriels en pharmacie par exemple.

Il suffit de voir toutes les histoires de paraben, aluminium, silicones, phtalates, plastiques (qu'on retrouve même dans certaines boissons à pulpe), teintures et autres traitements que subissent nos vêtements et les cuirs que nous portons, etc.

Pardon ! J'oubliais l'aluminium (oui, je sais, encore ! ) qu'on met dans les vaccins et dans le lait en poudre de nos bébés alors qu'il est prouvé que l'alu est nocif pour le cerveau.

Notre santé est effectivement très importante pour de grands groupes mais uniquement lorsqu'elle est mauvaise.

Si, il y a des normes sanitaires, mais c’est comme avec l’alcoolémie au volant, si on mettait le taux légal à 0%, beaucoup de gens ne pourraient plus conduire, parce que biologiquement, on produit des choses similaires à l’alcool.

C’est un exemple réel qui donne une idée de la question de fond : la mesure. À une dose suffisamment forte, même un produit anodin comme l’eau, depuis nuisible, tandis que à l’inverse, les produits considérés comme toxiques ne le sont qu’à partir d’une certaine dose (ex. il y a de la radioactivité partout).

Une autre question est effectivement celle des lobbys, mais c’est une erreur de croire qu’ils dictent tout : les phtalates sont maintenant interdits pour les récipients de produit consommables (ex. bouteille d’eau), et bien sûr, dans les produits consommables eux‑mêmes.

Sans dire que ces questions ne se posent pas, je me méfie en général des annonces tonitruantes de ce type, parce qu’on est à l’époque de la recherche du buzz (vu que plus personne ne veut payer pour de l’information).

J’ai tiqué sur un phrase, qui disait que l’innocuité du produit (celui du sujet, le E171) fait débat.