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Sur les quais de la vie:

Des festons de galants sur leur arrière,
Des garces vont courtiser les ego
Des marins délivrés de leur cargo:
Des lits crasseux: pour délits de prière...

On dirait le berceau:

D'une courtisane pour mauvais Roi,
D'une âme qui s'égare en son chemin,
D'une fleur qui se trompe en son parfum,
D'une erreur dans le temps: quand c'est l'effroi...

Poète qui les vois:

Tu écris noir sur noir, ce qu'il faut dire;
Tu les unis dans l'errance, inutiles;
Tu les sais courtisés êtres futiles;
Tu crains que douleur suaire en soit pire...

Alors par désespoir:

L'esprit perd tant sel, qu'il ne reviendra;
L'amour en frémit bleu sang sans s'offrir;
L'espoir blêmit et se mue en mourir;
L'iniquité à jamais le tuera!


Strapontin 08 alias R-H D.
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J'aime beaucoup ! Pourtant, la poésie, je n'y suis pas trop sensible... Hmmm!

Si j'ai bien tout compris, on dirai que ça raconte l'amour entre une fille de la rue et un roi.
Amour impossible, qu'il ne faut dévoiler. Une liaison éphémère qui se termine mal...
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C’est raffiné, surtout pour ce thème. Ça fait Belle Époque, je ne sais pas comment dire d’autre.

Akito a écrit : 
Si j'ai bien tout compris, on dirai que ça raconte l'amour entre une fille de la rue et un roi.
Amour impossible, qu'il ne faut dévoiler. Une liaison éphémère qui se termine mal...

C’est comme ça que je l’ai compris.
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Akito a écrit : 
J'aime beaucoup ! Pourtant, la poésie, je n'y suis pas trop sensible... Hmmm!

Si j'ai bien tout compris, on dirai que ça raconte l'amour entre une fille de la rue et un roi.
Amour impossible, qu'il ne faut dévoiler. Une liaison éphémère qui se termine mal...


Tout comme la vie montre bien des vicissitudes: mon texte utilise nombre de périphrases volontairement ambiguës pour la décrire tel quel...

Merci de m'avoir lu.
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Salut Hibou,

Comme tu l'as remarqué j'ai voulu ce poème à la fois libre et prisonnier de l'existence humaine.
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