Et si nous étions tous Présidents ?

Si nous étions Président : d’un monde atypique, nous vivrions enfin: en êtres humains, au cœur philanthropique…

Jamais plus il n’y aurait, ni possédant ni possédé. Jamais d’enfant à la triste pensée. Pas de gouvernement garnement qui nous ment, juste des gens, toi et moi, nous et vous, réunis sous le même toit ! Celui-là même, qui trie communautaire et propice, les grains des chapelets écriés des nuages mauves : navigants, Arches-de-Noé, et se colorisant dans un dessin jardin d’enfants, léché soigneusement, sur fond de miel bleu-tiède, ensoleillé de vermeil.

Plus de finances, rien que l’évidence du juste en partage des sept pains… Plus de griefs, nous serions contents, le bonheur ne s’escomptant pas de l'autre...

L’écologie ferait l’apologie d’elle-même. Les profits défaits d'effets ne seraient plus les dits du dit commerce aujourd'hui enlaidi , mais des faits d’équité en nature… Elle aussi protectrice et complice.

Plus de discours en langue cellulosique, rien que des vers mis en musique, au cours de joyeux pique-niques ! Plus de corps enseignant, sinon que diplomatique. Les parents connaissant et appliquant : l’inné civisme à leurs nouveau-nés sympathiques. Plus de dégringolades psychiques, moins de –salades- : rien que des rigolades !

Alors, à votre avis, ce monde serait-il content : si nous étions tous Présidents ?

(Création personnelle de strapontin08)

Fred.

J'ai écouté mais ça m'a juste effleuré les neurones, car je préfère mon idée, il y a de ces similitudes incontounables, certes, puisque j'emploie parfois les mêmes mots que ceux enfouis dans mon inconscient, cependant je trouve que ma version, si tu n'y vois qu'un pastiche, se montre en revanche phylosophiquement plus élaborée que cette chanson, car certainement plus adulte et moins que platonique...

Evidemment si tu sais faire mieux que critiquer sans étudier, surtout ne te gènes pas. Ou alors oublies-moi!

Nan ! Pas le temps là, te réponds plus tard. Fred.

Rhoo lala je vais un peu faire le cochon qui mange la confiture, mais je ne vois pas en quoi le fait d'être tous présidents rendrait les enfants moins tristes. Et puis, aussi, peut-être que tous les coins de rue se transformeraient en ring. (serait-je devenu un vieux con ??)

Oui Nucua ! ((j'ai réussi à lire en petit, tout petit petit de toi)

Strapontin, faut pas prendre mes dires comme çà, "main levée" quoi !

Je plaisante la plupart du temps !

Vous brasse les deux là ! Ciao. Fred.

Toi aussi tu fais de la poésie .


Ah là c’est plus de la poésie .

La réponse est entre les ailleurs de ces lignes:

Jamais plus il n’y aurait, ni possédant ni possédé. Jamais d’enfant à la triste pensée. Pas de gouvernement garnement qui nous ment, juste des gens, toi et moi, nous et vous, réunis sous le même toit ! Celui-là même, qui trie communautaire et propice, les grains des chapelets écriés des nuages mauves : navigants, Arches-de-Noé, et se colorisant dans un dessin jardin d’enfants, léché soigneusement, sur fond de miel bleu-tiède, ensoleillé de vermeil.

Bon ok, je renvoie l'éponge à mon soigneur...

Même après la troisième lecture, j’ai encore un peu de mal, mais je suis sûr que ça veut dire quelque chose, mais quoi ?

Sinon, je crois que ça aurait plutôt sa place en Lettres, aux côtés des petits textes de Seldun.

Voilà, c’est déplacé.