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Grande Pipelette
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j'aimais beaucoup celui ci:

http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassi ... u_val.html

ciao, fred...
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Grande Pipelette
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c'était plutôt a celui ci que je pensais, surtout "les abeilles de cuivre chaud":

http://muze15.canalblog.com/archives/20 ... 63618.html

frg....;
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Grande Pipelette
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je connais peu la poésie, mais ces deux là sont je crois mes préférés, un 3e peut etre?

(entre autres?!!)(j'aime bien le chiffre trois....):(je cherche)!!
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Grande Pipelette
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des trois je ne saurais lequel choisir....; Amis du soir, bonsoir!!frg....;

http://www.philagora.net/lettres/albatros.htm
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Beau Parleur
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Dans le premier poême, il y a une phrase qui dit :"Les parfums ne font pas frissonner sa narine" Et j'ai été longtemps à ne pas comprendre cette phrase pourtant bien simple. Je pensais dans ma tête "Sanarine ? -une fille peut-être, sa petite amie si ça se trouve etc" Je ne sais pas je devais avoir l'esprit à "off" heureusement je n'ai jamais poser la question on m'aurait regarder de travers Dérangé(e) du citron
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Grande Pipelette
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non Denis: euh . quel poéme? attends je vais voir....;

j'ai fouttu Rimbaud, Vian , puis Baudelaire, je crois que tu te trompe, je vérifie:

...http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassi ... u_val.html

oui , tu as raison, c'est bien ds le "dormeur duVal" de Rimbaud....(méa culpa!)...;

c'est ce j'aime ds ce petit poême, (on me l'a appris tres jeune), c'est ??

relie ce texte au ralenti:

c'est un ramassis de , d'éléments contradictoires et opposés!regarde:

prends un vers: n'importe lequel: sur quelques pieds, tu trouveras tjs une opposition!

c'est vraiment ce qui fait le charme de ce poeme, jusqu'au dernier vers...;

j'aime pas trop analyser les oeuvres! elles te parlent ou pas!...;

...;je pense que ces trois poesies sont mes préférées....; y'en a d"autres , mais bon!....;

je t'en file une si tu veux?... alors ok, merci!!....;(je vais la chercher donc je coupe.)
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Grande Pipelette
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voilà, pas facile mais bon, faut bien faire un choix!

tu me dira ce que tu pense de celui là?...

ciao Denis, fred...
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Grande Pipelette
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dis moi Denis, je ne peut rien trouver sur Apo, (google), mais rien , que dalle quoi! pourquoi? t'as une idée?

j'ai un peu la haine j'ai passé la nuit dessus! et nada!tout est bloqué!!....

ou alors c'est des trucs de fac , comptes rendus etc ,

mais pas moyen d'avoir un texte!!...

bon, nsp, j'ai trouvé un truc , mais pas ce que cherchait!!si t'as une idée tu me dis?

bon, j'ai trouvé çà mine de rien:
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zen
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J'ai toujours beaucoup aimé " Le dormeur du val ". Je ne sais pas pourquoi, cette poésie me parle.

Il y a aussi celle-ci que j'aime beaucoup.

Barbara

Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là
Et tu marchais souriante
É panouie ravie ruisselante
Sous la pluie
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest
Et je t'ai croisée rue de Siam
Tu souriais
Et moi je souriais de même
Rappelle-toi Barbara
Toi que je ne connaissais pas
Toi qui ne me connaissais pas
Rappelle-toi
Rappelle-toi quand même ce jour-là
N'oublie pas
Un homme sous un porche s'abritait
Et il a crié ton nom
Barbara
Et tu as couru vers lui sous la pluie
Ruisselante ravie épanouie
Et tu t'es jetée dans ses bras
Rappelle-toi cela Barbara
Et ne m'en veux pas si je te tutoie
Je dis tu à tous ceux que j'aime
Même si je ne les ai vus qu'une seule fois
Je dis tu à tous ceux qui s'aiment
Même si je ne les connais pas
Rappelle-toi Barbara
N'oublie pas
Cette pluie sage et heureuse
Sur ton visage heureux
Sur cette ville heureuse
Cette pluie sur la mer
Sur l'arsenal
Sur le bateau d'Ouessant
Oh Barbara
Quelle connerie la guerre
Qu'es-tu devenue maintenant
Sous cette pluie de fer
De feu d'acier de sang
Et celui qui te serrait dans ses bras
Amoureusement
Est-il mort disparu ou bien encore vivant
Oh Barbara
Il pleut sans cesse sur Brest
Comme il pleuvait avant
Mais ce n'est plus pareil et tout est abimé
C'est une pluie de deuil terrible et désolée
Ce n'est même plus l'orage
De fer d'acier de sang
Tout simplement des nuages
Qui crèvent comme des chiens
Des chiens qui disparaissent
Au fil de l'eau sur Brest
Et vont pourrir au loin
Au loin très loin de Brest
Dont il ne reste rien.

Jacques Prévert, Paroles
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