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Un article d’une blogueuse au journal Libération, rapporte la longue étude d’une sociologue (Charlotte Le Van), sur l’infidélité en france. L’étude a été longue, parce qu’il est difficile de faire dire la vérité, et que les actes s’étant produit loin dans le passé sont plus facilement avoués.

Je ne cite que deux passages, qui me semblent les deux plus importants. Le premier suggère que malgré les nombreuses publicités voulant banaliser la tromperie, l’infidélité est de plus en plus mal vue.

Le second passage suggère que l’insatisfaction sexuelle n’est que le prétexte le plus facile à mettre en avant, mais que la vraie raison est ailleurs : manque de compréhension, d’attention et de reconnaissance, et ce sont les hommes qui se plaignent le plus de ces manques. Un passage que je ne cite pas, donne des raisons différentes à l’infidélité féminine.

Cette véritable raison donnée à l’infidélité, pourrait être rapprochée de la raison pour laquelle des hommes vont voir des prostituées, tout en en‑étant « paradoxalement » déçus. Les prostituées vendent des relations sexuelles, mais les hommes qui vont les voir voudraient y trouver autre chose, qui ressemblerait plus à des relations normales. Je n’ai pas de source à donner de suite pour cette dernière affirmation.

Quel genre d'infidèle êtes-vous ? (sexes.blogs.liberation.fr). 20 Novembre 2012. Par Agnès Giard.

L’article a écrit : 
alors que les Français sont de plus en plus tolérants en matière d’échangisme, de prostitution ou d’homosexualité, ils le sont de moins en moins en matière de fidélité. «Considérée comme le premier facteur de réussite d’un couple, la fidélité est estimée comme "très importante pour contribuer au succès d’un mariage" par 84 % des personnes interrogées en France (contre 72 % en 1981).» Autrement dit, l’adultère c’est de plus en plus mal vu. Et surtout mal vécu.


L’article a écrit : 
«Nombre d’entretiens masculins révèlent finalement que, derrière l’argument du manque ou de l’insatisfaction sexuelle, se profilent d’autres besoins et d’autres attentes, telles que la quête d’une certaine reconnaissance, d’un peu de tendresse et d’affection, conclue Charlotte Le Van. Les problèmes et les insatisfactions sexuelles au sein du couple apparaissent plutôt comme une conséquence, et non comme la cause du malaise conjugal».
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Ça ne fait réagir personne ? J’en sais rien Hihihi!
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