La Crise au jour le jour

Il y a aussi ces fameuses injections de grosses sommes d'argent dans certaines entreprises et dans les banques. Cet argent n'est pas donné il est prêté, avec des intérêts, et la prochaine crise pourrait être bien plus forte en fait. J'ai trouvé ça http://www.truthsetsusfree.com/ModernMoneyMechanics.pdf c'est la banque fédérale qui a écrit ça il y a quelques mois sur la façon de fabriquer de l'argent. J'essaye de le traduire mais si ça ne te gêne pas de le lire en anglais ...

Je ne suis pas économiste loin s'en faut et la crise je la regarde vivre comme tout le monde.

La Californie au bord de la faillite !... C'est pas d'aujourd'hui, celà fait déjà plus de cinq ans que l'on nous ressort l'information à peu prés à la même période, donc ce n'est pas une info toute fraîche de date.

Recentrer l'économie sur nous mêmes : Une bonne idée, mais pour ce qu'elle a valu en 1913, je dirai une utopie de plus à mettre sur le compte de la fatigue.

Dire qu'un dirigeant va gagner moins d'argent c'est presque revenir à la lourdeur marxiste et à son collectivisme qui n'a pas porté les fruits espérés. Regardez la Chine. Pourquoi elle s'en sort à peu prés.... Un grand territoire, un milliard de consommateurs et presque tout à offrir à ses habitants, sauf qu'ils sont tellement habitués à n'avoir rien qu'ils ne demandent pas grand chose et qui s'en met plein les poches ... Les dirigeants et pas le pays ...

L'inde ! Combien de bouches à nourrir et qu'ils n'arrivent pas à abreuver.

Non, le probléme économique mondial n'est pas de savoir si la mondialisation est une bonne ou une mauvaise chose.. Je dirai que c'est une bonne chose, si les entreprises avaient taille humaine et non pas ces colosses aux pieds d'argile, emmitouflés dans les chache cols financiers détenus par des cationnaires grippés et qui ont tellement peur que leurs actions s'enrhument qu'ils en veulent toujours plus.

Le probléme c'est les lobbyying et les petits actionnaires, vous savez ceux à qui les banques ont fait miroiter de monstrueux taux d'intérêt et qui du jour au lendemain se retrouvent sans rien... Les gros actionnaires s'en foutent, les prises d'intérét même sils se sont affaiblis ne les ont pas laissé sur le carreau.

Donc, effectivement le probléme c'est le rendement que l'on demande à une entreprise et surtout la vitesse à laquelle nous voulons obtenir ce même rendement.

Je hais les multinationales, parce que ce sont elles qui fixent les tarifs et qui au travers de succursales parfois inédites s'en mettent plein les poches.

Allez rigolons un peu, vous connaissez ma passion pour le secteur environnemental...
Et bien, je vais vous donner quelques inepties écologiques et ensuite si vous le voulez bien, nous pourrons en reparler sur d'autres topics.

Depuis quelques années, certaines mouvances écologiques demandent à ce que soit mit en place le fameux agrocarburant.
Oui, mais voilà, le prix à payer pour que cette manne puisse être accessible aux paysans du monde africain sera de passer par des firmes comme MOnsanto laquelle se frotte déjà les maisn d'avoir la miaj mise sur la presque totalité des territoires agricoles du Brésil... Brésil qui ne peut même plus donner à manger aux gosses des favelas.. Vous me direz, celà ne change pas grand chose, puisque ces gosses ne mangeaint pas avant et bien détropmpez vous les favelas ont augmenté de prés de 35 % ces cinq derniéres années et les brésilens au pouvoir d'acaht moyen ne peuvent plus rien donner.
Je hais Monsanto et ses dérives grotesques.

Ensuite, si vous voulez, nous pouvons parler des éoliennes et bien saviez-vous que prés de 35 des parts d'actions dans l'ensemble des constructeurs d'éoliennes proviennent du pétrole ... Intéressant NOn !!Pareil pour le photovoltaïque....

Et qu'apprenons-nous.... Nous allons construire un second EPR, puis un troisiéme alors que le premier ne focntionne pas qu'il a déjà dix ans de retard... youpiiiii Viva areva !

NOus ne pouvons recentrer une économie en totale autarcie... Mais nous devrions ensemble promouvoir des entreprises communautaristes mondialisées et celà afin de permettre à tout à cahcun d'accéder à ce qu'à l'autre, mais pour celà, nous devrons apprendre à nous satisafire de moins et là...

Etes vous prêts ?

Oui mais...il n'y a pas de misère, en France ! :

Au moins avec cette vidéo on est sûr qu'il y a des abrutis en France, à défaut de rendre compte de la misère.

john, tu ne me reveilla plus et çà feras plaisir a des tonnes des masses des cons et connes....

fred...;

salut euh...."Devtrack" ou "fool" sais plus..."

ta trouvé çà ou et c'est qui ce connard...??


c'est attroce d'entendre çà de mon matin... "".a pas de pauvre... certe, y'a deux ou trois sdf....""""""...


je vais vous en raconter une bonne alors....vous vous souvenez de cette nana qui demandais l'euthanasie because..

(me souviens plus son nom nom..., elle avait une tumeur cancéreuse en ba&s du front, et se plaignait etc etc...;

texto signé "chistine Boutain/.... cettte salope a déclaré: """se faire euthanasiér becauce on se trouve trouve moche?non!!"""""
voilà l'intelligence qui vous gouverne....

....


sans plus, rien me recoucher. frg....;

La vidéo, je l'ai trouvée sur youtube, le connard, c'est Balakany, maire UMP de Levallois...

Alors que les perspectives pour ce début d'année s'annoncent sombres, le constructeur automobile français compte supprimer 11.000 postes en 2009, dont six à sept mille rien qu'en France.

PSA, qui a vu ses comptes tomber dans le rouge en 2008 et s'attend à un premier trimestre 2009 extrêmement difficile, table sur le départ du groupe de 6.000 à 7.000 personnes en France, sur les 11.000 prévus en 2009. Jean-Luc Vergne, le directeur des ressources humaines, a indiqué que ces suppressions de postes prendraient la forme de départs volontaires et de départs en retraite. Le constructeur français avait annoncé lundi dernier qu'il allait respecter les engagements pris vis-à-vis de l'Etat, c'est-à-dire qu'il n'allait pas mettre en œuvre de plan de licenciements en France qu'il ne fermerait pas d'usine en 2009, en contrepartie du prêt de 3 milliards d'euros par l'Etat. Ces départs volontaires sont donc, pour le groupe, une autre façon de diminuer sa masse salariale globale tout en respectant les conditions fixées par le président Sarkozy.

Fin 2008, PSA avait lancé en France un plan de départs volontaires d'une durée de six mois qui concerne en tout 3500 personnes. Selon Jean-Luc Vergne, ce plan «marche bien» et «devrait atteindre les objectifs fixés», c'est pourquoi le constructeur envisage «de le proroger» au moment du bilan qui sera établi à la fin juin. L'équipementier Faurecia, filiale de PSA, a annoncé de son côté un plan de départs concernant 1.215 emplois en France entre 2009 et 2011. Mercredi matin, PSA a annoncé qu'il avait subit une perte de 343 millions d'euros fin décembre 2008, contre un bénéfice de 885 millions en 2007. Son PDG, Christian Streiff, estime que «2009 devrait être une année de pertes».