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La personne que vous aimez dans votre chambre, dialogue
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Mer 15 Déc 2010 10:35
Message La personne que vous aimez dans votre chambre, dialogue
-Nous ne parlerons pas de sexualité , il y a un départ. pour cela.

Hélas, justement.

En effet, cette expérience a arrive seulement: de recevoir chez vous la personne de vos rêves pour la nuit, mais ...
mais il y a des empêchement, des contraintes, d'autres personne avec qui on est engagé.

AURIEZ VOUS FRANCHIT L'INTERDIT ?
Tenté votre chance, alors que dans ce cas là, il ne fallait pas ?
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Ecoutes padequartier, tu pourrais te relire avant de poster, c'est pas clair ta question.
Maintenant le mot fantasme est assez galvaudé, et il n'est pas impossible, qu'il puisse faire partie de la réponse que quelqu'un de plus informé que moi, pourrait te donner.
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De qui parles-tu ?
Ce n'est pas un fantasme dont je parle, je te dis que tu as par exemple
la femme d'un ami, chez toi, avec attirance réciproque...

Ou alors une relation non encore arrivé au stade final, tu connais la vie,
tu vois ce que je veux dire, tu connais des gens depuis deux ans,
tu peux même avoir déjà flirté avec, mais le moment de conclure n'est pas encore venu.

Mais les circonstances sont là !

Ce n'est pas un fantasme, je te parle de réalité vécue
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Je ne veux pas parler d'un cas particulier, au général
a) si le sujet est engagé avec quelqu'un d'autre, hélas lointain
b) si la personne qui vient a déjà été consentente mais que a chaque fois il arrive des évennements "refroidissants", arrestation par la police, par exemple
--c) quelque soit la raison si la relation n'en est pas arrivé à ce point mais avec conquête ou reconquête effectuée.
Tu veux dire que la femme d'un ami a dormi chez toi, et que tu ou vous ressentez une attirance réciproque? Ce n'est pas vraiment une question d'interdit, mais la question est; tiens tu à l'amitié de ton "pote"? Sinon, ben, ça dépend de chacun.
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Mais ce n'est pas ainsi que j'avais capté ta question.
Du coup je pige mieux. Et suis bien ennuyé. Mais enfin, si l'on s'en tient aux termes de ta description à savoir que la dite personne est dans ta chambre, et pour la nuit qui plus est, et qu'en outre il y a attirance réciproque alors ....
Il te reste à acheter une pommade pour calmer les démangeaisons que les scrupules engendrent.
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Pauvre padequartier !
En plus les flics déboulent chez lui, au bon moment et le collent en garde à vue.
Ah les amours contrariées, c'est bien triste.
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Bon sang, mais cesse de tourner autour du pot (si j'ose dire) voyons tu passes des Capulet aux Montaigu, puis des Daphnis aux Chloé, avec un clin d'oeil aux Paul et Virginie, à quand les Roux et Combaluzier, les Felix et les Potins. Raconte nous ton truc, en clair, une fois pour toutes.
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Les policiers, ayant fait que la personne endormie dans sa voiture, en confiance, se réveille en prison, car ils interpelelnt une soeule et un gers ens uspension de permis, en réalité en dégrisement mais en pratique, ils te mettent en tôle avec les gros délinquants, ont refroidi notre relation.

Et tu connais les femmes, le temps qu'elles reprennent confiance, ça prend ... 2 ans !

Pour la fin, je ne veux rabacher, mais j'ai téléphoné immédiatement à mon avaocat, qui a pondu une histoire abracadrabrantesque évidement fausse mais plaidable au tribunal. Du coup libres sans casier !
Ensuite, je voulais vraiment faire sauter le commissariat, mais n'étant pas en Corse, j'ai jugé l'idée déraiso

Dernière édition par pasdequartier le Dim 19 Déc 2010 16:47, édité 1 fois.

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  • Genre : Garçon
  • Messages : 612
Mer 15 Déc 2010 10:52
Message A parir de la la question est abordée sous una gle sérieux e
Cette question, abordée sous un angle philosophique, soulève le double problème de la liberté et du choix moral/éthique.

Si ma liberté ne doit rencontrer aucune limite dans l’usage de mon corps, alors je fais ce qu’il me plaît sans aucun scrupule de conscience. Je ne me soucie pas des conséquences de mon acte, je n’obéis qu’à mes
seules impulsions sexuelles, à la manière d’un animal sauvage. C’est l’option choisie par Meesty.
Cette liberté qui ne rencontre aucune limite est indéfinissable. Il s’agit en fait d’une absence de liberté. Je suis l’esclave de mes impulsions sexuelles. Il n’y a pas d’amitié qui entre en ligne de compte.

Si je pars du postulat que seules les limites peuvent donner un sens à une possible liberté, je m’interroge sur ces limites. Où sont-elles ? Là où il y a nuisance ou péril éventuel pour soi ou pour autrui. C’est donc en m’imposant des normes morales ou éthiques que je deviens libre, tout en limitant du même coup ma liberté d’action. Je suis libre de faire tout ce que ces normes ne m’interdisent pas. D’où une saisie de la nature de ma liberté qui consiste à faire des choix en fonction du contexte et de l’environnement. Je suis libre d’avoir un rapport ou non avec la partenaire de mon meilleur ami. Cela implique que je réfléchis aux conséquences de cet acte éventuel : trahison du lien tacite qui me liait à mon ami ? Je n’accepte pas de faire à autrui ce que je ne voudrais pas que l’on me fasse. Je refuse de trahir mon ami. Je n’obéis pas à mes impulsions sexuelles (déterminisme génétique). Je préfère obéir aux règles morales que je me suis imposées, en tant qu’animal social, et qui seules me permettent de répondre de mes actes en connaissance de cause (déterminisme culturel).
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Strictement appliquée, cette loi mène vite à
métro, boulot, caveau !
L'obtion d'êter syoïque et de ne pas trahir un mariage, est tout de même valabve à codition de la reconsidérer dans chaque cas de figure
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C'est ce qui fait toute la différence entre une loi (définie par le Droit) et une norme morale. Dans l'exemple que tu donnes, la loi ne me dit pas quel usage je dois faire de mon corps (sauf dans le cadre du mariage, etc.).

Oui, cette option conséquentialiste nécessite d'évaluer dans chaque cas de figure ce que je dois faire. Cette évaluation personnelle se fait en fonction d'une échelle de valeurs (dans ton exemple, tout dépend quelle valeur on accorde à l'amitié
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La restriction de ma liberté est infime. Je m'interdis d'avoir un rapport avec la partenaire de mon meilleur ami. Le choix d'autres partenaires me semble vaste, non ?
Peux-tu développer ton "métro, boulot, caveau" ?
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Et bien à midi par exemple, j'ai un groupe de collègue qui mangent ensemble, souvent je n'y vais pas par choix, parce que on rentre vite dans un jeu de contraintes, t'as oublié d'acheter le café, c'était ton tour pour le sucre, toutes ces conn.... m'énervent.
Bref suivre les lois du groupe à la lettre, ... ça devient très vite lourd. T'a plus aucun espace de liberté.

Je rajoute: il faudrait écouter sagement, en s'intégrant à la conversation, une discussion d'une heure pour savoir si c'est moins cher à LIDL ou à E. D. !
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Eh bien tu fais un effort pour ne pas oublier d'acheter le café quand c'est ton tour ! Sinon, tu n'es qu'un prédateur, comme celui qui pique la femme de son meilleur ami (et qui se dit lui aussi: "toutes ces conn... m'énervent"). Là aussi, la contrainte est infime et c'est pas la peine d'en faire toute une montagne.

Libre à toi d'orienter la conversation.
Et puis, l'objectif visé, c'est de manger convivialement, pas spécialement de philosopher en parlant la bouche pleine
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Mais en plus d'êter Corse (père) et Marseillais, ma mère marseillaise ets pied noir (de Tunisie) avec la garng-mère de sa mère, par voie uniquement de femme feuj, ça fait qu'il farait que j'en suis, si je fait circoncier, , donc chez nous c'est commeça fils, les invités entre et sortent, en se servant sans compter, on fait pareil chez eux !
Moi j'ai trouvé une autre solution, je mange qu'avec deux collègues/copains et on peut enfin parler de philo/ mécanique quant., des sujets intéressants, fini le café, le sucre, LIDL et ED.

Quand à ton histoire d'être un prédateur, c'est bien une vision de francaoui français de france, dans un des postes que j'ai occupé, on laissait faire à la libre initiative: celui qui n'achetait pas, faisait le café ou réciproquement, bref pas de règles et ça marchait. Personne n'était laisé.

On n'a pas de temps à perdre avec savoir à qui c'est le tour d'acheter le sucre ! Y a des chose plus intéressantes dans la vie. Celui qui a oublié d'acheter se tappe la corvée de préparer le café, et de faire la vaisselle, c'est tout.
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a) que ce soit clair, il ne s'agissait pas dans mon cas de meilleur ami trahi, mais de policiers qui arrivent juste au moment où les choses allaient se faire , ce qui jette un froid, bon on est à Marseille, c'est normal. Ensuite il était un peu trop tôt pour reprendre les choses où elles en étaient

b) Concerant les meilleurs amis trahis, je pense qu'il faut s'arranger pour que ce genre de situation n'arrive pas, d'ailleurs supposons que par exemple j'héberge un couple d'amis et que le monsieur ne puisse pas rentrer un soir, je pense que j'irais à l'hôtel.
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Nous convergeons sur ce point encore. Donc tu admets comme moi que la vie en groupe nécessite l'observation de règles éthiques basée sur un minimum de respect de la personne. Ce qui importe c'est de réfléchir aux conséquences de nos actes, même s'il est impossible d'en prévoir toutes les conséquences
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Mais évidemment !

Cependant une chose que je n'ai compris que récemment et cela répond à une question posée par Meesty, c'est que inutile de s'imposer mutuellement des présences pénibles avec des gens trop différents, c'est ça la solution:

bonjour, un respect s'incère car chacun à la même valeur car chacun est génial dans un truc: en effet cahcun est obligé d'avoir un désir pour vivre et d'être doué dans son désir,
DONC RESPECT DE REGLES
donc ne pas dire ne pas sous entendre ne pas penser même qu'un serait supérieur à l'autre
et pendant le bref temps qu'on pense dans la collectivité, essayer de ne pas atatquer trop brutalement leur règles,

et ...rapidement... au revoir.

Il reste toujours normalement trois ou quatre ou cinq personnes avec qui on est bien. Inutile d'avoir 50 faux amis

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Vu que je suis rarement amoureuse (j'ai un blocage )...pour moi l'amitié est quelque chose de sacré, donc je m'abstiens...puis il y a tellement d'hommes sur cette terre, je vais pas m'enquiquiner d'un gars casé ...je n'ai jamais minaudé ou fait la séductrice... devant l'ex mari de ma soeur ni ses nouveaux copains et pareil avec les copains de mes amies.(hum pas le cas de ma soeur, elle... c'est chacun pour soi, à la guerre comme à la guerre).

Voili...voilou
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Mer 15 Déc 2010 10:55
Message L'histoire dans le détail
[i]A force de tourner autour du pot les dialoguistes ont voulu connître la vraie histoire, que j'aivais au début traiter en sujet pjulosophie généraliste pour ne pas faire dans l'étalage, mais j'ai cédé Colère/i]____
Je devrais faire en MP, mais j'ai besoin d'en parler.

Donc en fait en 2008, je rencontre cette personne, si vous voulez voir le physique, c'est à peut près cela:
http://static.whatsontv.co.uk/images/08 ... imeval.jpg
pour les jeunes, je sais qu'à 41 ans on a un pied dans la tombe, mais
c'est dans l'ordre des choses, que je choisisse une dame de mon âge.

Donc la première fois, la relation commence, on se revoit, etc...

Le jour où on décide de faire la chose, je me rends compte au restaurant, que la personne avait un peu trop bu, et tenne tenait pas l'alcool.

Etant en suspension de permis de conduire à cette époque, je n'avais pas le droit de conduire,
La voiture devait être déplacée car garée dans un quartier où elle aurait été cassée, sinon on aurait pu laisser la voiture et prendre un taxi.

Bref, je décide de conduire.

Un quart d'heure plus tard, on tombe sur nos bons amis de la police.
Heureusement, on était à l'arrêt à un feu rouge dans un endroit équivoque qui pouvait être une place de stationnement.

Bref, les policiers nous embarquent et on se retrouve en taule, car un suspendu et une personne ayant bu, il étaient sûrs de l'infraction.

La copine s'était endormie tranquilement dans sa voiture et comme les f... , Lo. peut comprendre pourquoi mon affection maintenant, l'ont plus ou moins portée et qu'elle dormait profondément elle se réveille en taule.

Vu que les femmes sont instinctives, cela a refroidi la confiance entre nous, pourtant je lui ai sauvé la vie. Ces ordures de f... , si je n'avais pas eu un avocat, qui m'a dit de dire que c'est elle qui avait conduit, qu'on s'était garés, et que c'est dans la voiture qu'elle avait bu, par chance j'avais effectivement gardé la bouteille, m'auraient envoyé devant le juge pour avoir voulu sauver la vie de quelqu'un, SI CA C'EST PAS LA PREUVE MATHEMATIQUE QUE CE SONT DES C...

Bref, il a fallu un an pour se revoir, et au bout d'une autre année on n'en est qu'à dormir l'un chez l'autre, mais ce soir là les fl... nous ont enlevé quelque chose,... que je sens revenir, mais c'est long à revenir.
Et il n'y a que lorsque cela sera revenu que cela pourra se faire sans viol.

Petite vengeance mesquine, je l'ai faite venir à la manif de samedi 2 Ocobre 2010, elle qui n'y va jamais !
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