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Auteur | Message |
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Top 50 Best of Vivaldi — Brilliant Classics
Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Administrateur
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C’est un choix subjectif, en dehors de l’album posté plus haut, en voici deux autres (avec une préférence personnelle pour le premier), à la flute traversière :
Vivaldi: Complete Flute Sonatas — Brilliant Classics Vivaldi: Complete Chamber Concertos — Brilliant Classics Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
Administrateur
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En divergeant du sujet, il y a classique et classique. Vivaldi, c’est fin 1600 et début 1700, Debussy, c’est fin 1800 et début 1900, et en effet, rien qu’aux premières secondes, le style apparaît plus moderne, au point que j’ai cru que c’était contemporain. Ça ne s’écoute pas de la même manière.
6 Hours Debussy: Complete Music for Piano Solo — Brilliant Classics Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Encore un hors‑sujet.
Un peu emporté comme Debussy (mais loin de l’être autant), doux comme Vivaldi, c’est Scriabin : Scriabin: Mazurkas, Poèmes & Impromtus — Brilliant Classics Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Chopin, première moitié des années 1800, s’écoute assez comme Vivaldi, même si peut‑être un peu moins léger, mais avec tout à la fois une douce gaieté et une douce mélancolie.
Deux vidéos audios : Chopin: Complete Mazurkas — Brilliant Classics Best of Chopin — Brilliant Classics Repère personnel dans la première vidéo : Mazurkas, Op. 24: I. Lento in G Minor, de 00:46:55 à 00:50:18. Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Le titre du sujet est changé de « Le Top 50 de Vivaldi » à « Le Top 50 de Vivaldi et autres classiques ».
— Édit du 2024-10-06 — Un thème contemporain, réinterprété dans l’esprit de plusieurs compositeurs classiques, ce qui laisse percevoir leurs personnalités. Le thème est “ Barbie Girl ” de Aqua en 1997 et les compositeurs classiques que l’auteur a laissé s’exprimer (selon lui) à travers ce thème, sont Mozart, Beethoven, Schumann, Schubert, Chopin et Ravel. Sans faire de commentaires : “ I'm a Barbie girl ” again, but in the style of 6 classical composers — Josep Castanyer Alonso — 21 Juillet 2023 Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Hibou a écrit : […] Un morceau que presque tout le monde reconnaîtra, de 00:22:37 à 00:28:13, dont le titre est « Military », un titre inattendu pour le ton. Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Les auteurs classiques, écrivaient des heures et des heures de musique à n’en plus finir. Rien que dans un best‑of de Chopin (une playlist, pas celui posté dans un précédent message), il y a environ 30h de compositions, et c’est idem avec Vivaldi et les autres.
Peut‑être que la différence est que les auteurs contemporains sont en comparaison, plus portés sur l’exposition et la mise en scène ? Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Il y a du doux chez Bach aussi. Dans la vidéo-audio ci‑dessous, de 00:19:00 à 00:23:18, un morceau intitulé symphonie orchestrale № 3 en D majeur, que tout le monde connait sans peut‑être le savoir :
100 Best of Bach — Brilliant Classics Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Bach est joli mais pompeux . Ça a des airs de musiques mondaines ou de festivités royales.
Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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