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Les plus anciens animaux, était des éponges, qui sont comme des colonies de cellules agglutinées entre elles. Plus tard, sont arrivés les cnidaires, qui avaient des organes distincts. Encore plus tard, des sortes de vers longs et plats, qui pouvaient se déplacer et avaient des yeux.
Selon une hypothèse récente, de la première décennies des années 2000 (et 2003 au plus tôt), cette diversité initiale aurait été déclenchée par des virus qui aurait spontanément créé un génome complexe dont ils n’avaient que faire, mais qu’ils auraient injecté dans des cellules primitives (bactéries et levures) en les contaminant. Il est même envisagé que ces virus soient devenus le noyaux de nouvelles générations de cellules. Ce qui fonde cette théorie, c’est que des gènes de virus primitifs sont encore perpétués de nos jours dans les cellules de formes de vies animales. J’ignore comment les scientifiques peuvent dire qu’un gène est celui d’un virus primitif. Luis P. Villarreal, professeur en biologie moléculaire et biochimie, est l’un des scientifiques les plus connus sur cette question. Le rôle des virus dans la diversité de la vie, n’aurait plus cessé depuis (et ça s’applique toujours aux humains aussi), car ils continuent à contaminer des formes de vie sans toujours être mortels. Note : un virus peut modifier le génome d’un être vivant, après sa naissance, ça ne se produit pas nécessairement avant. |
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Les notes du précédent message, sont issues de ce documentaire.
Le pouvoir caché des virus — France 5 — 2013 |
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Hibou a écrit : […] Un exemple qui ne fut pas heureux, récent, était avec l’épidémie du virus Zika de début 2016. Ce virus provoquait une mauvaise malformation du bébé à naître si la mère se trouvait contaminée. Le foyer initial était en Amérique du sud et la contagion a commencé avec des moustiques (moustique tigre) qui le transmettaient aux humains. À ce propos, voir l’émission d’actualité de France 5 à l’époque, ci‑dessous. Zika, virus et bactéries — C dans l’air — Février 2016 |