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Banni définitivement
Quand tu seras inerte et seule sous la terre,
Dans ton linceul lugubre et au milieu des vers
Tu te rappelleras la chanson douloureuse
Du vent emportant ta chevelure soyeuse

Oh, tu reverras l'image pâle et lointaine
De ce jeune rêveur qui marchait dans la plaine
Et qui disait aux fleurs, aux ruisseaux et aux arbres :
''Le cœur de ma belle est aussi dur que le marbre'' !

C'est alors que tu pourras comprendre ton tort,
Que tu plaindras de cet ami le triste sort

Et que tu gémiras dans le noir effroyable :

''Pourquoi étais-je cruelle ? Que m'a-t-il fait ? ''
Hélas, les regrets seront vains, fille blâmable,
Chante lui dès maintenant ta romance, ô fée.


par Zak B, Bromont le 15 août 2008
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Beau Parleur
Jesus a écrit : 
Quand tu seras inerte et seule sous la terre,
Dans ton linceul lugubre et au milieu des vers
Tu te rappelleras la chanson douloureuse
Du vent emportant ta chevelure soyeuse

Oh, tu reverras l'image pâle et lointaine
De ce jeune rêveur qui marchait dans la plaine
Et qui disait aux fleurs, aux ruisseaux et aux arbres :
''Le cœur de ma belle est aussi dur que le marbre'' !

C'est alors que tu pourras comprendre ton tort,
Que tu plaindras de cet ami le triste sort

Et que tu gémiras dans le noir effroyable :

''Pourquoi étais-je cruelle ? Que m'a-t-il fait ? ''
Hélas, les regrets seront vains, fille blâmable,
Chante lui dès maintenant ta romance, ô fée.


par Zak B, Bromont le 15 août 2008


J'aime bien ca....Bravo...

Tout au creux de la vague, etouffant angoisse
La chaleur du Soleil , sa lumiere invisible
Tout au creux de la vague, sans regards sans baisers
Las! le coeur lourd s'enfonce livide..

Quand le ciel seras noir, la tete vide de bonheur
Quand les larmes couvriront ton visage, le Mal sonneras dans ton coeur
Souviens-toi de la vague, de l'ecume, des embruns de ma voix
Dans ta bouche, dans ton coeur, dans tes mains, dans tes bras...
Profil
Banni définitivement
Tout au creux de la vague, etouffant angoisse
La chaleur du Soleil , sa lumiere invisible
Tout au creux de la vague, sans regards sans baisers
Las! le coeur lourd s'enfonce livide..


Me replongeant dans ma solitude sans fin.
Et alors je comprends que la nature est franche :
Elle me montre que je ne suis qu'un rêveur.
Je pleure et je gémis, c'est en vain car enfin
Je demande la mort qui m'a toujours fait peur.


Mais que choisir, les déceptions ou le néant,
Quand le ciel seras noir, la tete vide de bonheur,
Quand les larmes couvriront ton visage, le Mal sonneras dans ton coeur ?

Souffrir est sublime et l'inconnu effrayant.


Souviens-toi de la vague, de l'ecume, des embruns de ma voix
Dans ta bouche, dans ton coeur, dans tes mains, dans tes bras...

Je te chuchoterais mes plus tendres maux jusqu'à ma mort,
Toi qui possède mon être, mon esprit, mon corps.
O doux être d'émeraude, de rubis et d'or...


par Farfelus et Zak B.
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Anonymous
Disparu(e)
RANDOM_AVATAR
purée Zak, tu manies mieux la rime que le raisonnement politique... Tire la langue Clin d’œil
Anonymous
Disparu(e)
RANDOM_AVATAR
Farfelus manie bien les deux, luiiiiiii Tire la langue Clin d’œil