Auteur | Message |
---|---|
Banni définitivement
|
L'hiver hideux, frère de la terrible mort
Leva sur la campagne ses bras décharnés: ...Et la tempête tomba de ses mains glacées Sur la société frileuse. Quel triste sort ! La coupole céleste parsemée d'étoiles Changea ses parures et une terne toile De nuages sombres, de ténèbres et d'ombres Effaça la voie lactée aux lueurs sans nombre. La rivière grondait, le ravin rugissait, Les chacals glapissaient, la bise mugissait, Les arbres dénudés se pliaient impuissants Sous les souffles impétueux d'un vent cinglant. L'âpre froid sévissait : la brune et le brouillard Recouvraient la nature de leurs plis blafards. O temps, où étaient ces belles nuits de Juillet Où les flots dorés de la Lune ruisselaient ? O temps, où étaient donc ces belles nuits d'été, Ces cigales et ces rossignols qui chantaient ? L'hiver hideux, frère de la terrible mort Leva sur la campagne ses bras décharnés: ...Et la tempête tomba de ses mains glacées Sur la société frileuse. Quel triste sort ! par Zak B. Mercredi 7 janvier à Bromont |
Premier Consul
![]() |
Ah ouais..l'hiver...même au Québec est une expérience toujours douloureuse...pour ceux qui sont obligés d'affronter la rue, l'extérieur ....
Et dire qu'il fait 25°c à Eilat et qu ils trouvent le moyen de se mettre sur la gueule... ![]() |
Modératrice
![]() |
![]() ![]() ![]() |
Banni définitivement
|
![]() wahahaaha |
Beau Parleur
|
Nuits d'hiver...
Sous une nuit étoilées comme un cadeau des Dieux Les arbres parlaient d'eux même, de leur vie, de leur savoir Dans le vent qui soufflait, virevoltant mais teigneux On entendait leurs peines, leurs grand manque, pas d'espoir On ne les écoutes plus ces grand Sages de la Terre! Ils ne sont que papier, bois de chauffe, petit bois En marchant d'un pas drus, en foret cet hiver Prends le temps d'écouter, ces grands arbres d'autrefois... ![]() |