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Pour les écrivain(e)s francophones dans le monde, si vous êtes auteur de romans (ça ne concerne pas les autres usages de l’écriture) une opportunité parmi d’autres de vous faire connaitre et soutenir, par la suite d’un concours. Pour s’inscrire au concours, voir le lien ci‑dessous. La sélection passe par quatre comités de lecture : l’Association du Prix du Jeune écrivain francophone (Muret, France), l’Association des écrivains du Sénégal (Dakar), le Collectif d’écrivains de Lanaudière (CEL) Canada‑Québec et l’ Association Entrez lire (Bruxelles, Belgique). Ces quatre comités de lecture, sélectionneront ensemble, dix romans finalistes. Un jury sélectionnera ensuite parmi ces dix finalistes, le lauréat du Prix des Cinq Continents (il n’y qu’un seul lauréat alors ?).
Prix des cinq continents de la francophonie (francophonie.org) Le/la lauréat(e) se verra remettre un prix de 10 000€ et offrir un accompagnement promotionnelle pendant toute une année. C’est organisé par l’OIF, Organisation Internationale de la Francophonie. www.francophonie.org Sur la page d’accueil, j’ai tiqué sur ce logo, que je trouve joli et astucieux. Ça m’a intrigué, parce que ça semble être un autre sujet, et je me suis demandé s’il était à sa place ou pas, vu qu’il ne concerne pas la littérature. ![]() Il y a une vidéo de présentation des intentions de ce réseau. Édit 2014-10-07 : la vidéo sur YouTube a disparu, apparemment volontairement supprimée; le lien a donc été supprimé ici également. À les entendre, ça ressemble plus à un réseau féministe qu’à un réseau pour l’égalité, vu qu’on y voit que des femmes. Je ne sais pas si c’est un événement ponctuel ou si l’Organisation Internationale de la Francophonie n’est pas tout à fait ce que son nom signifie. Ou alors peut‑être qu’il fait référence à une présence française dans le monde et que la question de la langue et de la littérature n’est qu’un des ses intérêts parmi d’autres… Ça me semble sans rapport avec le Prix des Cinq Continents, mais il y a peut‑être un rapport avec la littérature, à vérifier, et c’est pour ça que je le relève. |