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Il existe une application permettant d’aider à suivre le comportement des arbres réagissant au réchauffement climatique : Suivez la vie de vos arbres au fil des saisons (creamontblanc.org). L’application s’appel SPOT Phénoclim. Les gens peuvent devenir observateur‑ice‑s de certains arbres choisis par ieux‑mêmes, auxquels iels accède facilement, par exemple de passer souvent à proximité. Les observations sont minutieuses et guidées par des références et un forum permet d’être conseillé‑e en cas de doute. Malheureusement, le programme ne se déroule apparemment que dans les régions montagneuses, alors que le réchauffement se produit partout, pas seulement en montagne (on peut par exemple, à 200 m d’altitude, voir les pissenlits fleurir en même temps que les jonquilles et les perces‑neige, ce qui aurait été pris pour une hallucination il y a 30 ans à peine).
En plus du lien dans le premier paragraphe, écouter et regarder aussi la vidéo ci‑dessous. Observer pour mieux anticiper le changement climatique — 8 Mont‑Blanc — 19 Mars 2025 ![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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En Alaska, la fonte du pergélisol, libère des minéraux qui réagissent avec l’eau, lui donnant une couleur rouille et la rendant acide. Le phénomène est tellement importante qu’il est visible sur les images satellites. Des mesures de pH ont montré que certaines rivières et ruisseaux, sont autant acides que du jus de citron (environ pH 2). Dans l’Arctique, le réchauffement est quatre fois plus rapide qu’ailleurs, pour une raison qui sera résumée plus tard (elle a à voir avec l’eau sous toutes ses formes, qui accentue les modifications climatiques, quelques soient leurs directions).
La quantité de minéraux étant finie, le phénomène est supposé temporaire, même si ça ne peut pas faire de bien à une rivière de devenir autant acide. Quoiqu’il en soit, il est espérée que les rivières peuvent s’en remettre naturellement (ça a été observé, alors ce n’est pas un espoir infondé) et alors le phénomène est plus un symptôme représentatif qu’un motif d’inquiétude sur le long terme. Pourquoi des rivières de l’Alaska virent-elles à l’orange ? — Radio‑Canada Info — 22 Mars 2025 — Édit du 2025-03-29 — On connaissait déjà le cas des insectes porteurs de maladies, qui se retrouvent de plus en plus en dehors de leurs aires habituelles. Un autre cas, qui montre que le problème va au delà des insectes, est avec une algue produisant une toxine provoquant de très fortes réactions cutanées. En Afrique, des pêcheurs qui vivent de l’océan depuis des années ou des décennies, se sont mis, à partir de 2021, à être soudainement victimes d’atteintes cutanées tellement importantes que dans les pire cas, elles étaient comparées à des déformations. Heureusement, le mal se résorbe de lui‑même en quelques heures à quelques jours, mais il existe, et qu’on l’a, il y a de quoi être inquiet‑e. La cause est une micro‑algue qui a comme idéal, une eau à 30 ℃. L’algue a été transportée accidentellement par des navires, mais ils n’ont pas récemment changé de mode opératoire, ces transport accidentels ne pouvaient que déjà exister avant, alors ça ne fait pas tout. C’est bien la hausse de la température de l’eau qui lui a permis de proliférer là où n’existait pas avant. Elle a été rencontré ailleurs qu’en Afrique : dans le sud de la france, aux États‑Unis, en Chine, au Japon et peut‑être ailleurs encore. Ce n’est pas un péril, mais c’est révélateur. La mystérieuse « maladie des pêcheurs » — Brut — 23 Mars 2025 — Édit du 2025-03-29 — En Corse, des gens étudient les mésanges au long cours, depuis même avant que le changement climatique ne se fasse autant remarquer, ce qui est une occasion, par comparaison, de voir les effets de ce changement sur la vie des mésanges et aussi une occasion de rappeler que si chaque année on a la surprise que tout fleuri tôt, que les feuilles éclosent tôt, c’est amené à durer, parce que ça fait déjà plusieurs années que c’est ainsi. Note : comme rappelé dans la vidéo, ne manipuler pas les oisillons des nichoirs comme on peut le voir, là, ce sont des chercheuses qui le font, il ne faut jamais faire la même chose soi‑même, à moins d’être qualifié‑e pour ça. Comment les mésanges s’adaptent au changement climatique ? — Marie Wild — 14 Septembre 2022 — Édit du 2025-03-30 — Si le printemps arrive de plus en plus tôt, ce n’est pas qu’à cause du réchauffement, c’est aussi à cause de le baisse de l’intensité des précipitations hivernales et le printemps est sur une tendance à commencer un à deux jours plus tôt par décennie en moyenne, une tendance déjà remarquée même par presque tout le monde. La baisse des précipitations, qui est une conséquence de la diminution de la couverture nuageuse hivernale, fait des journées plus chaude, parce que pas de nuage pour masquer le Soleil et pas de pluie pour refroidir le sol mais des nuits qui restent fraîches, parce que pas de nuage pour retenir la chaleur (les nuages ont sur la température, un effet différent le jour et la nuit, c’est à dire selon que le Soleil est là ou pas). Ce contraste entre la nuit et le jour, fait penser aux plantes et arbres, que c’est le printemps, alors que c’est encore l’hiver, parce qu’il y a toujours des risques de gelées. Des gens pensent que la pollution lumineuse des villes aussi, pourrait participer à faire commencer le printemps plus tôt, mais aucun détails ne sont expliqués. Anecdote : dans le nord‑est de la france, à 210 m d’altitude (pour situer le type d’environnement), a été constaté hier 29 Mars 2025, la floraison d’un fraisier sauvage (pas une variété cultivé de fraisier précoce, ce sont bien des fraisiers sauvages), sur un site qui n’est pourtant pas le premier à se réchauffer dans les environs (plus froid qu’ailleurs en hiver et pente orientée à l’ouest). Ou encore par exemple, cette année, la floraison des pissenlits a coïncidé avec celle des jonquilles et presque avec celle des perce‑neiges à peine deux semaines avant (des perce‑neiges qui ne voient plus la neige que rarement). Voir : à cause de la diminution des pluies, le printemps arriverait plus tôt que prévu (positivr.fr), 28 Février 2022, et « C’est beaucoup trop tôt » : le printemps est en avance, quels risques cela comporte pour notre biodiversité ? (rtl.be), 11 Mars 2024. ![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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L’accroissement de l’utilisation des IA, va faire doubler la consommation électrique des serveurs webs dans les prochaines années, à l’horizon de 2030, qui est tout proche. Les estimations de l’effet sur l’environnement sont vagues, alors on saura quand on le verra ou le constatera. Les économies d’émissions de CO2 que les IAs permettraient, sont autant incertaines pour le moment. En tous cas, la plus grande part de cette consommation (délocalisée pour la plupart des régions du monde) est faite aux États‑Unis et les États‑Unis de Trump (peu‑être la Chine aussi, à vérifié) ont décidé de relancer la production de charbon, entre autres pour répondre à cette demande.
Il y a quand‑même une chose certaine que ce changement d’habitude signifie : les gens en général, ne s’intéresse pas vraiment à la consommation d’énergie et ne s’y intéressent que quand elle pèse sur leurs factures et les services web étant fournis avec une illusion de gratuité (financés presque entièrement par la publicité), il y a une illusion de coût égal à zéro. Ça confirme une intuition qui avait été formulée il y a quelques années dans ce sujet, qui est que les gouvernements ne préoccupent pas autant du réchauffement climatique que de la raréfaction du pétrole ou des menaces sur son approvisionnement. C’est crédible, si on considère que les gouvernements se comportent comme leurs citoyens. Un message résumera une question assez en rapport, qui s’appel l’effet rebond, appliqué à la consommation d’énergie et au changement climatique. La chaîne TV France 24 a été récemment remerciée (au sens de récompensée) pour n’avoir diffusé aucune fausse information concernant le changement climatique. Empreinte environnementale de l’IA : des besoins croissants en électricité — France 24 — 10 Avril 2025 ![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Les initiatives pour planter des arbres en grandes quantités, en pensant qu’ils allaient absorber du CO2, sont des échecs et ont même déjà eu des résultats contre‑productifs. Le plus efficace semble de préserver les anciennes forêts existantes.
Les explications ci‑dessous sont un résumé de l’essentiel de la vidéo plus loin. Les arbres ne cachent pas les forêts, une forêt n’est pas réductible à ses arbres individuellement. Les arbres plantés sur d’anciennes surfaces agricoles qui n’ont pas eu de forêt depuis longtemps, n’ont presque pas résisté, à peine 6 % sur un site de plantation par exemple. En plus du sol, il y a que les forêts déjà existantes, fournissent un environnement plus favorable aux nouveaux arbres que les environnement complètement dénudés d’arbres (il y a peut‑être aussi le choix des espèces, parce que beaucoup d’arbres se débrouillent bien, certains arbres arrivant même à pousser dans des murs effrité). Même s’il résiste, un arbre, dans ses 20 premières années environ (sûrement variable selon les espèces), émet plus de CO2 qu’il n’en absorbe (dans ce cas, une prairie bien vivante est peut‑être préférable à une forêt apparue subitement), même si l’importance des arbres, n’est pas que dans leur capacité à absorber du CO2. C’est après plusieurs décennies, quand ils sont bien installés, que les arbres sont les plus intéressants pour absorber le carbone. Une suggestion qui a été faite, est de, plutôt que planter de jeunes pousses d’arbres en énorme quantité, de plutôt couper les arbre moins tôt que ça n’est fait actuellement. Aux États‑Unis par exemple, les arbres sont coupé après 40 à 45 ans en moyenne, alors qu’il a été calculé qu’il serait préférable de ne pas les couper avant 80 ans, et que ça ne réduirait pas la quantité de bois disponible (les plus grands arbres font plus de bois ou peut‑être que le choix pourrait être réorienté sans réduire la récolte de bois). Un autre effet secondaire de ces campagnes de plantation en très grandes quantité avec le renfort du crowd‑funding, et d’avoir nuit au travail de certain‑e‑s biologistes dont les résultats d’études ont été mal interprétés et qui (ces biologistes) doivent maintenant communiquer pour rattraper les erreur de compréhension par omission. Plus de détails à écouter dans cette vidéo, même si l’essentiel et rapporté plus haut : The biggest climate scam ever? — PBS Terra — 24 Avril 2025 À la fin, un documentaire est suggéré, “ Secrets of the forest ”. Ce film documentaire n’est malheureusement pas visualisable depuis la france et d’autres pays. Pour une raison inconnue, il est indiqué comme bloqué depuis la france. ![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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À vérifier sur des historiques météo : l’orage, accompagné d’un peu de grêle (*), qui s’est produit hier Samedi 3 Mai 2025, m’a personnellement semblé inattendu. D’abord un orage au printemps, spontanément, pour moi c’est improbable ; je n’y avais d’abord même pas cru, pensant avoir pris à tord des grondements de véhicules sur un boulevard, pour du tonnerre, puis surprise en voulant vérifier sur les prévisions météo, de voir qu’en effet, de l’orage était bien prévu pour l’après‑midi. Ensuite pour la grêle, plutôt associée à l’orage dans mon expérience personnelle, c’est assez improbable au printemps aussi, même si peut‑être un peu moins. À ce propos, il ne faut pas trop vite associer la grêle et la neige ; je n’ai aucun souvenir de grêle en hiver, même quand il neigeait encore. Bref, c’est surtout d’entendre le tonnerre gronder tout début Mai, qui m’a fait bugger. C’est peut‑être différent dans le sud, mais dans le nord‑est de la france, ça interpelle.
(*) À Paris, la grêle semble avoir été intense. Effet du changement climatique ou pas ? « Normal » ou pas ? Il faudra aussi voir si ça se répète cette année et dans les années à venir ; en tous cas, c’est à surveiller. — Édit du 2025-05-12 — Une semaine après ce précédent épisode d’orage et grêle au printemps (ce qui est inhabituel), en voici un second aujourd’hui. Le ciel était bleu, en 45 mn à peine il s’est couvert, des trombes d’eau sont tombées, et elles contenaient de la grêle. Au moins, ça apporte de l’eau, mais la grêle et la pluie qui tombe à grande vitesse au sol, ça peut faire des dégâts sur les cultures et être une mauvaise surprise pour qui pensait profiter d’un climat doucement chaud. À surveiller les années à venir, pour voir si ce nouveau phénomène, après la disparition de la neige en hiver, va s’installer durablement aussi ou pas. Des orages et de la grêle aux printemps, je n’ai pas souvenir que ça faisait partie des prédictions, ça ne colle pas aux images d’Épinal qui ont été ancrées. Même si les conditions exactes ne sont pas les mêmes, comme elles impliquent un relief montagneux, le phénomènes peut faire penser à celui des épisodes Cévenols, où de l’air chaud rencontre de l’air froid en altitude, sans autre issues pour cet air chaud. Comme l’air à température élevée contient plus d’eau que le même volume d’air à température plus basse, l’eau se condense soudainement, produisant des pluies abondantes, d’autant plus que la différence de températures est élevées et l’air assez humide dans l’absolu. L’orage aussi, à besoin de frictions par des mouvements d’airs, pour faire de la foudre. Les conditions de la grêle seraient à retrouver, mais on peut imaginer que si l’air chaud rencontre un air assez froid, une partie de l’eau condensée, gèle et tombe en gouttes gelées, c’est à dire en grêle. Ça peut s’expliquer par une hausse des températures moyennes, surtout que les hautes couches de l’atmosphère, semblent en moyenne se refroidir au lieu de se réchauffer, mais ça ne ressemblera pas au climat des tropiques, parce que les conditions ne sont pas les mêmes. En parlant de tropiques, une caractéristique de ce climat, en plus d’être chaud, est d’être humide, et pour le moment, on a une tendance confirmée à manquer d’eau périodiquement, plus que d’avoir des températures tropicales, pour lesquelles 2 ou 3 ℃ de plus, ne suffiraient pas (et en plus, il faudrait assez d’eau en continu). Ce qu’on aura, ce sera des conditions nouvelles restant à découvrir, au lieu d’avoir « ici » le même climat que « là‑bas » ; une inconnue plus difficile à décrire et peut‑être aussi à accepter. Pour s’y adapter, il faudrait au moins que ça se stabilise sur quelque chose qu’on connaîtra. ![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Entre les idées fausses induites par une mauvaise communication (et la malhonnêteté des dogmes et l’hypocrisie) et la réalité.
Depuis quelques années, on est passé de parler de réchauffement climatique globale à changement climatique, alors qu’il y a bien un réchauffement moyen. Comme déjà dit, c’est parce que les conséquences locales sont variables, ne suivent pas les moyennes et sont imprévisibles pour le moment ; on ne fait que les constater à posteriori. Par exemple, non, on ne pourra pas cultiver des fruits tropicaux ou même des fruits du sud de la france, dans le nord de la france, parce qu’il y fait toujours trop froid. Mais en même temps, il fait maintenant assez chaud pour que certaines espèces de moustiques se sentent à l’aise presque partout en france (et peut‑être bientôt partout) et deviennent des vecteurs de maladies graves, malgré‑elles. En effet, les moustiques ne font que piquer et font finalement peu de mal, même si c’est gênant. Les maladies sont transmises le plus souvent, mais pas toujours, d’un porteur humain qui infecte un moustique, à un autre porteur humain, qui reçoit ce qu’un premier lui à transmis malgré‑lui, via un moustique malgré‑lui. Pour qu’un moustique transmette une maladie, il doit d’abord l’avoir récupéré malgré‑lui, sur une autre humain ou animal, souvent un humain qui revient de vacances, loin de chez lui, alors qu’on conseil d’éviter les grands trajet sans non‑nécessaires, pour limiter la pollution et les rejets de CO2. Ensuite, dans certaines conditions de températures, après que le moustique a été contaminé par un humain, la transmission peut se faire vers les œufs des moustiques, et ainsi les moustiques deviennent directement vecteur de la maladie, même sans avoir été contaminé par un humain au préalable. Voir la vidéo plus bas pour plus de détails. Ce qu’il semble qu’on verra peut‑être aussi, plus que de pouvoir cultiver des papayes en france, sera des épisodes climatiques décalées ou entrecoupés, ce qui n’est jamais bon, comme rien n’y est adapté, surtout autant longtemps que ça sera instable. Par exemple de l’orage avec de la grêles, au printemps, où une période de températures clémentes tôt au printemps, suivit d’une nouvel période de gel, un risque normal au printemps, excepté que avant, un redoux important présentait peu de risque d’être suivit d’un épisode de gelées. Ça ne ressemble pas aux images où l’on montre une terre en prise aux flammes ou le sud de la france transformé en désert de sable, c’est autre chose. Par exemple, la disparition de la neige en hiver, n’avait jamais été prédite, elle a pris tout le monde de court et c’est arrivé d’un coup (une année la neige a soudainement fondu au milieu de l’hiver, alors qu’il y en avait normalement l’année précédente et les années suivantes, presque plus du tout de neige, ou rarement). Ces phénomènes ne sont pas prévisibles, excepté avec une imagination bien inspirée, ils se constatent une fois qu’ils se sont produit et qu’ils s’installent durablement, pas toujours avec régularité, au moins pour le moment. Note en marge : l’hypocrisie mentionnée au début du message, entre parenthèses, a cette justification : les modes de vie en cause, ont tous été imposés par l’état (ou les états, parce que ça a été la même chose dans tous les pays occidentaux), un fléau créé par les gouvernements, qui ensuite ont traité de criminels les gens qui selon eux « se posaient trop de questions », attendaient des connaissances plus précises des phénomènes, moins biaisées aussi. C’est un comble de la part de gouvernements qui ont eux‑mêmes créé le problème, dont ils accusent les populations, qui n’ont rien choisi (ex. l’exode rural imposé), de ne pas assez s’en préoccuper. La moustique tigre, la grande invasion — Vakita — 4 Mai 2025 ![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Avec les hivers devenus moins froids, les abeilles n’hivernent plus et s’épuisent. Rapporté de la fin de ce documentaire :
Un monde d’abeilles — Le Dessous des Cartes / ARTE — 16 Octobre 2021 ![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Une autre version de « il y en a assez pour tout le monde, mais il n’y en a pas assez pour quelques uns ».
Les 1 % les plus riches dans le monde, étaient en 2019, à l’origine de 16 % des émissions de CO2, c’est à dire autant que les 2/3 les plus pauvres ou « pauvres » de l’humanité (les 2/3, c’est à dire perceptiblement plus que la moitié de l’humanité). Note : le revenu médian mondial, était d’environ 650 €/mois en 2022. Ça ne dédouane pas les classes « moyennes » et « supérieures » des pays riches, au contraire ou justement, c’est une illustration de à quel point la richesse en monnaie et la consommation qui va avec, s’accompagne le plus souvent d’une pression excessive sur l’environnement (note pour l’extrême‑Gauche : consommer autant mais « gratuitement », ne résoudrait pas le problème). Rapporté à 00:12:17 de la vidéo ci‑dessous : Sommes-nous trop nombreux sur Terre ? — Hugo Décrypte — 25 Mai 2025 ![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Un petit documentaire qui aborde la question de l’incertitude des modèles climatiques, avec le cas particulier des modèles de prédictions des vagues de chaleur dans l’eau de la Méditerranée. En abordant cette question, le documentaire reconnait implicitement l’existence d’incertitudes, mais n’en donne malheureusement pas une idée, au sens de donner une idée de la mesure de ces incertitudes. Un précédent message, mais datant d’il y a quelques années (ça a peut‑être changé), n’invitait pas à être optimiste sur la précision des prédictions, jugées insuffisantes pour fonder des décisions en pratique (mais assez bonnes ou mauvaises pour créer de l’agitation, ce qui est malheureusement souvent le seul intérêt qui leur est trouvé).
Une remarque d’un ingénieur dans ce domaine, disait que les modèles prédisent bien le passé, mais divergent rapidement quand on passe à l’avenir. En ces temps où on parle beaucoup d’IA et de l’apprentissage dont elles ont besoin, peut‑être qu’on peut se dire à la suite, que ces modèles sont pénalisés par un manque de recul, comme les modifications actuelles du climat, sont finalement assez récentes. Même si le documentaire reste vague et n’apprend pas assez de choses, il a le mérite d’aborder la question et aussi de la mettre en avant. Comment déjouer les incertitudes des modèles numériques ? — L’esprit Sorcier TV — 20 Mai 2025 — Édit du 2025-06-01 — Dans un commentaire de la vidéo « Le monde mystérieux des nuages (youtube.com) » (vidéo d’ARTE, donc condamnée à disparaître) : compo36, un internaute sur YouTube a écrit : […] Plus on met de gaz carbonique dans l'atmosphère : plus on chauffe : plus on va évaporer les océans. En évaporant les océans on fabrique de la vapeur d'eau qui va passer dans l'atmosphère. Et la vapeur d'eau c'est aussi un gaz à effet de serre. Donc on peut avoir un effet d'emballement, un effet divergent. La seule chose qui permettrait de limiter l'augmentation de la température, c'est qu'une fraction de la vapeur d'eau accepte de passer sous forme de nuage. La question "de savoir qu'elle est la fraction de la vapeur d'eau qui a une chance de passer sous forme de nuages" est critique pour l'évolution du climat terrestre à l'échelle des décennies. On ne connait pas la réponse à cette question. Dans cette vidéo, il est dit que à chaque degré de température supplémentaire, l’atmosphère stocke 7 % d’eau en plus. Puis il ajouté, « à météo équivalente, les précipitation sont aujourd’hui 20 % plus importantes que dans les années 1950 » (ce qui n’implique pas automatiquement pas qu’on peut compter dessus pour résoudre les périodes de sécheresse). ![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Depuis le milieu des années 1980, les records de chaud sont plus nombreux que les records de froid. Un constat, pas une prédiction.
Dans le titre ci‑dessous, le nord de l’Europe inclus le nord de la france. Sécheresse au nord de l’Europe, les cultures menacées — France 24 — 27 Mai 2025 ![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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