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Auteur | Message |
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Modératrice
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On attend ta prose avec impatience !
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Administrateur
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Avec les artistes (*), faut savoir être patient(e)s
(*) Les artistes des Lettres, ça peut se dire ça ? Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
Modératrice
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Je suppose que oui vu que les artistes peuvent aussi être peintres, danseurs, chanteurs, etc. Mais ce sera peut être écrit entre des guillemets.
Sinon on les appelle des poètes ou des écrivains. |
Membre balbutiant
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Rapidement, en passant. Je l'ai appelé "Sandrine".
Je tiens a préciser que je n'en suis pas du tout satisfaite. Il n'a pas été retravaillé, ni même relu. D'autres un peu mieux à l'avenir, promis. "Rien, rien, rien. Je n'entend rien. Il ne dit rien. Il ne sait rien. J'ai tout compris. Et pourquoi la valse me donne la gerbe ? Et pourquoi son nom, seul, me prend à la gorge ? Je sais. Je dois garder le silence. Et pourquoi je vois tout ça ? Et pourquoi je continue ? Je me cogne. Je m'arrache les cheveux par paquets. Je me frotte les yeux. Puis des larmes. Du sang. L'oeil ne doit pas me trahir. Et s'il savait ? S'il comprenait ? S'il faisait semblant ? On baise. Pourquoi tout ça ? On baise. Pour qui, pour quand ? On baise. Mais. Ca a commencé comme ça. La vie de bohème en pleine nature. La chanson. La reine. Il n'y a que l'art. Je doute. Je doute encore. Il n'y a que l'art. Il y a eu des mots. Il y a eu ce… Ça. L'art, l'art, l'art. Je vomi sur son art. Je pisse sur son portrait. JE T'OUVRE LE THORAX ET JE TE CHIE DANS LES POUMONS ! Je n'ai plus aucun scrupule. J'en deviens incontrôlable. Je crie, je crie, je crie." Petite note de l'auteure. (Oui, je ne me prends plus pour n'importe qui à présent). Ce texte a été inspiré par un passage de "Clôture de l'amour" de Pascal Rambert, que je mets en scène et jouerai cette année au conservatoire. |
Administrateur
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Seldun a écrit : Mais. Le mot est bien choisi et bien placé. Avant, on est dans un climat, et le moment après ce mot, on est dans un autre; comme s’il délimitait les deux parties du texte. Seldun a écrit : JE T'OUVRE LE THORAX ET JE TE CHIE DANS LES POUMONS ! Cette phrase me fait l’impression d’une personne qui crie des choses tellement énormes qu’elles en deviennent ridicules, comme si cette personne essayait plus de crier une colère qu’une véritable menace en laquelle on croirait. Une personne ayant été trop rabaissée qui essai de prendre le dessus mais se prend les pieds dans le tapis ? Je ne suis pas sûr de bien décrire, mais j’ai essayé. Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
Membre balbutiant
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Citation : Le mot est bien choisi et bien placé. Avant, on est dans un climat, et le moment après ce mot, on est dans un autre; comme s’il délimitait les deux parties du texte. Alors, c'est marrant que tu dises ça, parce que j'ai moi aussi changé d'état d'esprit après le "mais". Citation : Une personne ayant été trop rabaissée qui essai de prendre le dessus mais se prend les pieds dans le tapis ? C'est exactement ça ! La colère l'a emportée. Elle la déteste tellement, qu'elle ne trouve même plus les mots pour exprimer sa haine. Et après les évènements d'hier, je vais donner une suite à ce texte. Je vais essayer du moins. |
Administrateur
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Seldun a écrit : Et après les évènements d'hier Les événements d’hier ? Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
Membre balbutiant
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Citation : Les événements d’hier ? Un évènement personnel. Une sorte de preuve irréfutable qui confirme ce que je pensais. Des mots crades, assassins. Ce n'est pas très important d'en savoir plus. Ce que je sais, c'est que ça m'inspire. |
Membre balbutiant
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Un petit en passant...
"Rire d'enfants dans les bidonvilles. Il faut écrire, mais rien ne sort. Il faut écrire et l'inspiration me coupe les mots sous les doigts. J'entends de loin, ses histoires. Il les raconte pour eux, qui ne peuvent pas entendre. Il s'imagine de longs voyages dans des endroits encore inconnus. Mais a qui parle-t-il ? Moi, je l'entends. Je suis là, assise, sur le points de m'endormir, et je rêve. Je l'entends et je rêve. Je l'aperçois, elle, s'activer en cuisine. Je l'entends aussi. Elle se raconte des hisoires. Comme pour ne pas se perdre. Je la vois. Elle me voit. Aucun mot. Tout s'entend là où je suis. J'attends que la porte s'ouvre et j'écris. J'écris parce qu'il faut attendre. J'écris parce que le temps recule. J'écris et bientôt, je le verrais apparaître dans l'entrebaillement de la porte." ça part d'une sensation et d'un état d'esprit, retranscrit par écrit. Alors, le texte en lui même n'est pas très intéressant et pas très bien construit, mais voilà, j'écris, alors je partage. |
Bavard impénitent
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Ha celui-là, je l'adore... ♥
Je ressent quelque chose d'assez difficile à décrire. Je ne trouve pas les mots (contrairement à toi ) pour le décrire. Les mots que je ressent, en décousue : assise à regarder la vie, sérénité, humilité, simplicité. Merci encore pour ce partage. "Nous sommes tous frères sous la peau. Et j’aimerais écorcher l’humanité pour le prouver." Ayn Rand |
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