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| Auteur | Message |
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Compte gelé
 
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Mar 30 Aoû 2011 10:48
Après Ben Ali, Mbagbo, Boubarak, Khadafi... Boutelflica !
Alors on va respecterstrictement le protocole mis en place par Hibou
a) citer ses sources (C'est le mMonde , plutôt sérieux) b) auteur de l'article : Christophe Ayad http://www.lemonde.fr/afrique/article/2 ... L-32280308 c) ensuite j'ai un dilemne car outre le fait que je doute fortement que nos lecteurs aillent sur le lien, les articles du monde ne restent que un jour ou deux à la page, il va disparaître, mais je ne peuxle reproduire, puisqueconformément à la loi tu ne m'autorises que des ciations courtes dans un but d'illustration. Je met donc les 20 premières lignes. Avant une traduction, CNT nouveau pouvoir lybie, chef MOURAD MELDECI: "Avec l'arrivée sur son sol de l'épouse et de trois enfants du colonel Kadhafi, l'Algérie va avoir du mal à démentir les accusations de collusion avec l'ancien régime libyen lancées par le Conseil national de transition (CNT). Officiellement, Safia, accompagnée de Mohammed, Hannibal et Aïcha, les moins influents des descendants de Mouammar Kadhafi, ont franchi la frontière algéro-libyenne lundi 29 août à 8 h 45, selon le communiqué du ministère algérien des affaires étrangères. Peu auparavant, on apprenait la fermeture de la frontière entre l'Algérie et la Libye, longue de 2 000 km. Dès samedi, l'agence égyptienne Mena évoquait le passage, la veille, d'un cortège de Mercedes blindées, avec peut-être à bord d'un des véhicules le colonel Kadhafi, suscitant un démenti catégorique d'Alger. Voilà qui ne va pas arranger les relations déjà exécrables entre le CNT et le pouvoir algérien. Les révolutionnaires libyens ont réclamé, lundi soir, que les membres de la famille Kadhafi réfugiés en Algérie leur soient livrés afin d'être jugés. Alger parle d'une mesure "humanitaire" et "transitoire". Malgré la chute du régime Kadhafi, Alger n'a toujours pas reconnu l'organe politique de la rébellion libyenne, contrairement au rival marocain. Cette réticence exaspère le CNT, au point que son porte-parole militaire, le colonel Ahmed Omar Bani, a déclaré dimanche que les dirigeants algériens "devraient répondre un jour de leur attitude". |
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