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Ce qui suit, vaut pour la france, et ne s’applique pas aux autres pays francophone, comme le Québec ou la Belgique, même si on ne peut pas exclure dans raisons valables, que ces autres pays aient leurs faiblesse aussi, dans le contrôle des associations.
C’est délicat, parce que ça peut causer du tord aux associations honnêtes, mais c’est trop gros pour être dissimulé. Dans le reportage ci‑dessous, l’honnêteté de certaines association d’utilité publique ou humanitaire, est gravement mise en doute. Je passe sur le premier cas d’une association d’assistance aux animaux, parce que même triste, ce n’est rien comparé au second cas d’une association de lutte contre la lèpre, la Fondation Raoul Follereau. Cette association aurait fait de la lèpre, une affaire lucrative, au point de faire obstacle à une campagne de soin de la lèpre, offerte gratuitement aux malades, une opération de l’OMS et du laboratoire pharmaceutique, Novartis. Comme pour confirmer qu’ils n’ont pas envie de voir la lèpre reculer, on voit dans une réunion de la fondation, un médecin contester le recul du nombre de malades, probablement pour continuer à engranger des dons. « On » a tendance à faire des associations humanitaire, des modèles par opposition aux entreprises privées que « on » juge malintentionné par nature, ici, c’est l’appréciation inverse qui devrait être faite. Une fondation reconnue d’utilité publique et créée par Michel Alliot‑Marie, visant à proposer une assurance aux bénévoles de france, couvrant les « risques » liés à leurs activités, est suspectée de n’avoir servit qu’à financer son micro‑parti politique. Comment tester l’honnêteté d’une association ? Je me méfie des associations pour des raisons personnelles (*), les membres étant souvent plus motivé par leur égaux / orgueil que par le bien fait à autrui, mais ce sont des comportements individuels plus ou moins concentré, selon les associations, et alors je n’ai pas trop d’idée quand il s’agit de grandes associations, dont celles ayant le label « d’utilité publique ». (*) à l’exception d’une seule, « Le Secours Catholique », qui tranche beaucoup et en bien, avec les autres. Associations : les plus grosses arnaques — Spécial Investigation — Canal+ |
Administrateur
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Il ne faut pas croire qu’une association sans label, vaut moins qu’une association ou fondation reconnue d’utilité publique. Pour obtenir le label, il faut plusieurs années, et pendant toutes ces années, une association peut être utile, malgré qu’elle n’ait pas le label. Dans l’autre sens, les associations ou fondations que les journalistes trouvent suspectes, ont toute le label.
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