De quels principes et sentiment, l'homme a t-il besoin? Dia

L'homme est né pour le bonheur, mais là où l'individualisme et l'argent sont souverains, il n'est point d'homme, il n'y a que l'esclave oppresseur plus vil que l'esclave opprimé.
Il faut donc résister à l'oppression.
Les syndicats l'ont fait. Ils ont conquis la liberté après deux siècles de lutte et de chocs parfois violents.
Après des siècles, les Français, abrutis par les libéraux et leurs serviteurs, la jet-set et ses préjugés, se sont tout à coup réveillés et ont tracé les droits de l'homme.
Liberté et égalité !
Sans force, sans énergie, il n'est ni vertu ni bonheur.
Pas de pitié pour les financiers, mais pas de pitié pour ceux qui se résignent à leur tyrannie.
Un jours, le libéral sera déchu, mais ses esclaves le seront ausi car si l'ignominie d'opprimer une nation est détestable, l'ignominie de l'accepter est tout autant méprisable.
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Même si la révolution française a été faite par le peuple elle n'a pas été faite pour le peuple : la bourgeoisie, présente depuis le Moyen Âge, s'est substituée à la noblesse.

Seules les têtes ont changé, tout autant que les richesses qui ne dépandaient plus de la possession de la terre et de l'exploitation des paysans, mais commencèrent leur exode rural grâce à la révolution industrielle, qui allait prendre le relai et amorcer le cycle de la croissance, via l'essor et le développement.

Bref, tout ça pour dire que la seule révolution prolétarienne fut celle d'Octobre et qu'elle se termina dans le fiasco le plus total, notamment parce que la société manquait d'éducation, mais surtout parce que le parti au pouvoir n'avait qu'un objectif : s'y maintenir coûte que coûte, au détriment du bonheur matériel des peuples, thème sur lequel il avait bâti sa légende.

Le premier principe dont l'homme a besoin s'appelle l'espoir : sans lui aucune révolution ne l'aurait fait bouger; pour ce qui est du sentiment, celui d'injustice doit se conjuguer au principe premier.

Cependant, pour que l'homme change de condition, il lui faut quelque d'indispensable : qu'il n'ait strictement rien à perdre.

Or, aujourd'hui, dans notre société, il y a davantage à perdre qu'à gagner (regarde lorsqu'il s'agit de changer de statut pour les retraites...).

Aussi, n'espère rien de tes compatriotes : lâches ils sont, lâches ils resteront, bien emmitouflés dans leur petit confort douillé.
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Je pense que l'homme a besoin de curiosité, de force, d'amour et de haine.
Je crois voir là-dedans les 4 principes qui régissent la liberté. Or, je crois aussi que seule la liberté est nécessaire quand il est question de vivre. Le bonheur, la morale, tout ceci relève de la contingence

Liberté?... Mais que signifie donc ce mot?
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Elle signifie Création.
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La liberté. c'est de ne pas obéir quand plus c... que toi, lorsqu'il te donne un ordre.
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Je pense que l'homme a besoin de curiosité, de force, d'amour et de haine.
Je crois voir là-dedans les 4 principes qui régissent la liberté. Or, je crois aussi que seule la liberté est nécessaire quand il est question de vivre. Le bonheur, la morale, tout ceci relève de la contingence.
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Oui je suis d'accord avec ça.
Le moteur premier - ce qui nous fait vivre - c'est la liberté / création.
Et l'un ne va pas sans l'autre.

Et même si la liberté / création n'était qu'une illusion, ce serait cette illusion qui nous ferait vivre.
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Notre société moderne est caractérisée par l'individualisme, le matérialisme, le nihilisme et le laxisme.
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L liberté veut dire qu’il faut laisser nos pulsions animales s’exprimer librement, même si la plupart sont obsolètes donc totalement inadaptées à notre environnement actuel qui, lui, est régis de plus en plus par l’évolution de nos technosciences.

----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- De quels principes et sentiments les hommes ont-ils besoin ? De sexe et d'argent, dixit Freud
Oui, mais pas seulement pour 5% de la population.
Une recherche individualiste d'argent en tout cas ne va pas te faire aboutir.
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Le sentiment d'appartenance, est un sentiment utopiste trés prisé de la nature humaine car il donne un sens à l'existence. Faire partis d'un groupe, gouvernement ou même d'une espèce, et se rendre utile à ce dernier est un sentiment qu'il est de plus en plus rare à trouver.
Et enfin, les principaux principes dont l'homme a besoin sont : l'honneur, le courage, la loyauté.
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L'homme est né pour le bonheur, mais là où l'individualisme et l'argent sont souverains, il n'est point d'homme, il n'y a que l'esclave oppresseur plus vil que l'esclave opprimé.
Il faut donc résister à l'oppression.
Les syndicats l'ont fait. Ils ont conquis la liberté après deux siècles de lutte et de chocs parfois violents.
Après des siècles, les Français, abrutis par les libéraux et leurs serviteurs, la jet-set et ses préjugés, se sont tout à coup réveillés et ont tracé les droits de l'homme.
Liberté et égalité !
Sans force, sans énergie, il n'est ni vertu ni bonheur.
Pas de pitié pour les financiers, mais pas de pitié pour ceux qui se résignent à leur tyrannie.
Un jours, le libéral sera déchu, mais ses esclaves le seront ausi car si l'ignominie d'opprimer une nation est détestable, l'ignominie de l'accepter est tout autant méprisable.
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Il n'y a pas plus opprimé que celui qui opprime
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Je le refais en version plus simple

On a besoin de

A] travail
a) tous d'avoir un travail pour manger sans être asisté
b) pour ceux qui le veulent de pouvoir se développer dans leur travail et de devenir de plus en plus compétent, plus productif et gagner plus
c) car pour que les gens trouvent que la société à un sens il faut qu'il y ait une justice c'est à dire sauf handicapés, vieux, enfant, plus et lmieux tu traville, plus c'est intéressant pour les uatres plus tu dois gagner et tout le monde avec la même proportion. normal qu'il y ait des gens riches
s'ils produisent beaucoup, bien et utile, normal que Goshn gagne 15 000 euros par mois, mais pas 200 000 comme il le fait avec les stocks options.

d) le travail pourrait si en restait là être un lieu de souffrance, non il faut que les gens puissent s'y épanouir, c'est à dire qu'ils aient un certains champs de manoeuvre, et que ceux qui parmi les salariés sont les plus
avisés et les plus sérieux participent de façon importante, les autres aussi mais moins aux décisions de leur entreprise et ne soient pas que des pions, qu'on délocalise ou licencie.

B] Du point de vue de la vie privée, des valeurs, de l'identité nationale

là ausi il ne faut pas que ce soit n'importe quoi.
Il est bon que la société garde une organisation qui permettent à ceux qui le souhaitent (la majorité) de se marier fonder famille, ne pas trop divorser, et une façon de se comporter dans la continuité des principes fondateurs de la nation, pas des principes américains par exemple:
liberté, égalité, fraternité.
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ouais, on a besoin de manger, d'avoir le pouvoir/respect et de se reproduire !