Faire un poème

Bof vous mettez n'importe quoi.

déjà faut proquer la musique des mots
Evietr les mots trop techniques
Ensuite les rimes
soit bêtes, soit en quatrain abba cdc ee.

Allons y , préférable ne pas savoir de quoi on va parler !

Le monde m'écrase sous son sigle misérable
la règle me harselle: Toujours je me bas
Et jamais je ne reçois
Vivre, vivre, se lever bientôt est ingérable

Parfois l'epoir nous vient
Une petite étincelle dans la nuit
Mais la lumière est sivite perdue
Le baiser,la promotion au fond tout ne tient à rien

A la vie ! Pourquoi tant de haine ?
Mais je te matterai et te tissserai comme de la laine
_____
Laurent (c'et mon vrai prénom) , le 30 Aout 2011 , 14h34

Bouh, que c'est laid.

Tu étais averti :

edit

France
C'est vrai, j'étais prévenu. Prudemment j'avais retiré mes lunettes avant de commencer à lire, préparé mon sac spécial "voyage en avion", pris deux comprimés d' alka seltzer à titre préventif et lu deux pages de BHL pour me mettre en condition, mais ce n'était hélas pas suffisant.
Tiens tu me rappelle une quelqu'une qui sous d'autres cieux inondait son post intitulé "C'est de moi" de ses productions.... Elle avait en tout cas deux points en commun avec toi : la dyslexie et la dysgraphie.
Tout de même coller un truc comme ça en "Arts et Culture / Lettres", c'est irrespectueux. Enfin c'est mon avis.

Heureusement que Cairn, corrige le tir.

Les crapauds sont des veaux
et les grenouille des nouilles
Les humains ne sont rien
ils ont perdus leur latin

Mais pourquoi a-t-il effacé ? Remets le nous Caïrn !

Lauréat de concours
Rat de concours
Concours de rats
Rat

(mes excuses au peuple rat)

Cherchez pas c'est comme une envie de piss...

Chant de Noël.

On en fait tout un plat ! Un petit enfant naît,
On ne sait trop pourquoi, on ne sait pas comment,
Il a, dans une étable, trouvé un peu de paix.
Caché par ses parents de la vue des méchants

Il est né, le divin enfant. Jouez hautbois ! Résonnez musettes !
Et depuis ce jour là, on tue, on assassine,
On égorge, on pourfend, on pille et on calcine
Etait-ce bien celui-là qu'espéraient les prophètes ?
... Chantons tous son avènement.

Il est fini le temps, où les guerriers sans âme
A cet anniversaire, décrétaient l' accalmie
Faisaient cuire la dinde avec leurs lance-flamme
Et chantaient tous en choeur avec leurs ennemis.

Il est né, le divin enfant. Jouez hautbois ! Résonnez musettes !
Aujourd'hui : plus de trêves. Les morts comptent double
Sur le tableau d'honneur des tueurs en chasuble
Combien toi ? Cent. Ha tu me bat mazette !
... Chantons tous son avènement.

Les riches et les puissants, riants des hécatombes
Dans leurs palais brillants, sur l' échiquier du monde
De leurs mains douces et frêles, placent ici une bombe
Et sèment là une famine, et remplissent les tombes.

Il est né, le divin enfant. Jouez hautbois ! Résonnez musettes !
Hé oui, Noël arrive, et tous les ans, fidèle
Il donne aux enfants riches la joie et la dentelle.
Et aux pauvres, toujours la peine et la disette.
... Chantons tous son avènement.


Et j'ajouterais, que je suis de bonne humeur, ce soir. Noël, arrive. Ca explique.

Méchant H.S. Ben c’est quoi le problème ? C’est pas celui qui est censé racheté à lui tout seul et porter sur son dos à lui tout seul, tous les pêchés du monde, pour que le monde puisse continuer à faire l’idiot l’esprit en paix ?

L’esclave que tout le monde attendait n’est jamais venu, alors d’aucuns attendent encore qu’il (re)vienne un jour.