Force de l'orde, un métier risqué !

Insurrection de 1871

Le 18 mars 1871,
a) à 9 heures au matin, la troupe vient chercher les canons

Le tocsin sonne et très vite la foule entoure les soldats et réclame « ses canons » dont certains ont été fondus grâce à des souscriptions.
La foule se fait pressante. Des femmes s’approchent des soldats, leurs expliquent le sens de leur lutte,leurs demandent s’ils tireront sur leurs frères.

Le 88ème de ligne est hésitant

Au moment où, gardiens de la paix et gardes républicains répondant à l’ordre des commandants Poussargues et Vassal s’apprêtent à tirer… une voix s’élève (celle du sergent Verdaguer)
« Armes à terre ».

Les lignards, certains mettant la crosse en l’air, fraternisent avec les gardes nationaux des 152ème et 228ème bataillons.

b) A neuf heures et demi, la brigade de choc n’existe plus.

c) A dix heures et demi, le Préfet de police télégraphie aux autorités gouvernementales : « Très mauvaises nouvelles de Montmartre : la troupe n’a pas voulu agir. Les batteries, leurs pièces, les
prisonniers, repris par les insurgés qui ne paraissent pas descendre. Le Comité Central serait au parc de la rue Basfroi. Ce mouvement très intense au 11ème arrondissement et rue de la Roquette. »

c) A onze heures dix huit, Le Luxembourg est envahi par la Garde nationale qui fraternise avec la troupe.

puis, rapidement, la troupe fraternise avec le peuple parisien et tout Paris s'enflamme d'une même solidarité entre garnisons et population.

d) à dix-neuf heures, partout les lignards crient « VIVE LA REPUBLIQUE » et livrent leurs fusils.
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Ne pas trop obéir aux ordres, parfois cela se retourne contre vous

On envoie une seconde troupe parmi lesquels se trouvent Lecompte et Clément thomas or sous les ordres de Cavaignac: les officiers Lecompte et Clément Thomas qui avait tiré sur la foule à Buzenval lors de la précédente révolution en juin 1848.

Lecompte et Clément Thomas n'avaient pas étaient démis de leurs fonctions. Mais ...
reconnus, ils sont poussés vers le mur du petit jardin attenant à une
maison, rue des Rosiers. Des coups de feu éclatent. Clément-Thomas a enfin du plomb dans le caervelle par 19 coups isolés. Lecomte, lui aussi par un coup de Chassepot tiré par derrière..
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c'est moche et triste ton texte

J't'explique max, dans certains fofo, t'as un grade adjudant, machin, à Marseille, t'a le grade du plus haut gradé que tu as descendu.
Par exemple tu écrases un simple flic, t'es caporal, tu fait chuter inopinément un pot de fleur sur la gueule d'un lieutenant de gendarmerie , tu passes lieutenant.
Si tu es déjà lieutenant et que accidentellement, tu fais tomber un sergent dans une grille d'égout, un peu « préparée », c'est ce qu'on appelle "faire un contre -perf(ormance) comme au tennis.

Regarde, un policier ça obéit à sarko, donc aux marchés financier et à la spéculation, donc ce sont des par complicité,ANTIFRANCAIS, des Kollabos quoi, donc ils sont forcément sur les listes d'épuration , on leur rend service en leur épargnant la déportation...
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Je plaisantais mais n'empêche à Marseille, ils l'ont fait en 1944, même le simple policier qui faisait la circulation... comme De gaule avait confié d'empêcher les abus d'épuration à Raymond AUBRAC (le mari de Lucie) qui avait été dénoncé par de braves français puis torturé par Klauss Barbie, lui avait dit aux épurateurs: allez-y , vous avez carte blanche. Le brave policier qui n'avait fait que faire la circulation se retrouva donc après le passage d'un Opinel sous son cou en traine de faire la planche dans la rivière Le Jarret.

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Raymond Aubrac est emprisonné à la prison de Montluc de Lyon. Dès la fin du mois de juin et en septembre, elle va voir en personne le chef de la Gestapo à Lyon, Klaus Barbie, et le prie de la laisser voir son prétendu fiancé dont elle était enceinte — ce qui était vrai — et d'autoriser leur mariage en prison. Elle se présente sous le nom de Guillaine de Barbentane, et trompe Barbie en lui disant qu'une personne de sa condition ne pouvait être mère sans être mariée. Lors de cette visite, elle fait parvenir à Raymond les plans de l'évasion. C'est pendant un transfert, le 21 octobre 1943, que Lucie et ses compagnons attaquent, avenue Berthelot, à 300 mètres avant le boulevard des Hirondelles, le camion allemand dans lequel se trouvent quatorze résistants dont son mari. Six allemands, le chauffeur du camion cellulaire et les cinq gardes (qui croyant à une soudaine panne ne s'étaient pas méfiés) sont refroidis pendant l'attaque et les résistants parviennent à s'évader

J'exulte à l'idée que ce soient des sans grade et sans titres qui aient morflé, car ces gens là qui se font passer pour innocents s'en sortent trop douvent en prétextnat qu'ils ne faisaient qu'obéir, mais en fait que pourraient faire des Hitler sans la collaboration de gens de la sorte.
Pour MOI LA FAUTE INCOMBE PRINCIPALEMENT AUX PETITS ET AUX SANS GRADE, car c'est celui qui FAIT, qui porte la responsabilité.

de plus en plus morbide

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Je l'ai dit et je le répète, ON S'EN FICHE D'ALU !
Il n'est pas sur ce forum et on ne veut pas en entendre parler.

C'est qui ?

Fous toi de moi et ça ira sûrement mieux !
Même plus tu balances ne fusse que l'idée de lui !

PUTAIN MAIS CA VA PAS DE METTRE DES VIDEOS COMME CA! ! ! !
JE TE DETESTE! ! !