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Un nettoyeur à grain avec lequel on peut noter plusieurs niveaux de tamis. Je crois que le tamis rotatif est une meilleure option, parce que les vibrations des tamis horizontaux me semblent être une sévère contrainte mécanique en plus d’être une importante source de bruit.
How to clean wheat grain from impurities — Farrukh Studio — 2018 |
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« Chaque jour en france, cinquante exploitations agricoles disparaissent ». Cette citation vient d’un reportage de Juin 2012, « La fin des petits paysans » par France 2. En cause, l’endettement et la pression à la baisse des prix. Dans le cas du héro du reportage, c’est malheureusement une directive Européenne qui l’a endetté, quoique lui était plus éleveur que agriculteur, mais il est quand‑même représentatif du monde agricole.
À la fin du reportage, il dit « il n’y aura plus de paysans, il n’y aura plus que des chefs d’exploitation ; le paysan est mort. » |
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Hibou a écrit :
Pour une autre vidéo bien moins complète mais que j’aime bien, sur comment reconnaître les espèces de céréales, voir ce message : Re: Les farines et céréales : propriétés et usages. |
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Quand des grains de céréales sont qualifiés de vêtus, il ne s’agit pas du péricarpe mais des glumelles : Le caryopse, un akène particulier (botarela.fr).
La page a écrit : Ce péricarpe ne doit pas être confondu avec les glumes ou glumelles qui, chez certaines espèces, restent adhérentes au caryopse lors de la dissémination. On parle alors de céréales à « grain vêtu » : par exemple l’orge, l’avoine, le riz ou le blé amidonnier (Triticum diccocum). Pourtant, même avec l’avoine nue, les glumelles adhèrent fortement au grain, bien que certains grains s’en détachent facilement, certains même au point de tomber au sol pendant la récolte. Je me demande si la distinction grain nu / grain vêtu est vraiment pertinente, j’ai l’impression qu’il y a à la fois une mesure de l’adhérence des glumes et une probabilité de forte ou de faible adhérence. |
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En plus de glume, les grains de céréales sont aussi habillés de palea et de lemma. Voir l’illustration sur cette page : Structure d’un épi et d’un épillet de blé (agropolis.fr).
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Les grains de céréales destinés à être semés vendus par les grossistes, sont triés à la table densimétrique. Cette opération n’est pas nécessaire pour faire des semis, mais il faudrait alors tenir compte d’un taux de non‑levé plus important.
D’après la vidéo publicitaire ci‑dessous :
Malheureusement, la vidéo ne dit pas quel est typiquement le taux de grains rejetés par la table densimétrique. Ou alors alternativement, il aurait fallut donner des chiffres comparant non‑pas du grain trié et du grain rejeté, mais comparant du grain trié et du grain non‑trié. Le passage à la table densimètrique — GNIS Semences & Plants — 2018 |
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Quelqu’un qui fait de courtes vidéo de pas plus d’une minute, des images d’un grand jardin où il cultive des céréales : Jardins Méheust (youtube.com).
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Une miniature d’un moulin à vanner, aussi appelé tarare ou ventadou ou peut‑être d’autres noms encore selon les régions :
Moulins d’Henri Cros — Henri Cros — 2013 |
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Pour les recherches sur les plantes indicatrices, quand dans les données de l’écologie d’une espèce vous voyez qu’elle aime les sol argileux, il faut le comprendre comme incluant les sols limoneux.
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Revirement surprenant en un peu moins de deux.
Début 2018, d’après tout un ensemble de plantes indicatrices, la terre était à tendance acide. Depuis Septembre, je vois des barbarées communes se montrer partout et cette plante est typique des sols plutôt basiques. De la barbarée commune était déjà apparue l’année dernière, mais il n’y avait pas autant que cette année. Cette année j’en avais transplanté quelques pieds, mais ils ne pourraient pas expliquer qu’il y en ait partout, des graines perdues n’auraient pas put tout recouvrir uniformément. Est‑ce le retrait des roseaux qui a suffit à faire passer le sol de plutôt acide à plutôt basique en moins de deux ans ? En tous cas, plusieurs plantes spontanées semblent bien profiter du retrait des roseaux. Ça m’ennuie pour une chose : j’avais prévu un épandage de cendre pour faire un apport de potassium, qui manque visiblement partout, mais la cendre alcalinise le sol. Y‑a‑t‑il un risque que le sol devienne trop basique après un épandage de cendre ? Un sol trop basique rend difficile l’assimilation des nutriments par les plantes. Réponse l’année prochaine ; je tenterai l’épandage de cendre quand‑même, que je ne ferai de toutes manières que sur un tiers de la surface totale (j’avais prévu de faire la totalité au rythme de la rotation, sur trois ans). J’espère que je n’aurai pas une mauvaise surprise. Si par malheur c’était le cas, je ne manquerai pas de le dire pour que personne d’autre ne fasse la même bêtise. Mais je pense que ça ira, d’après un coin qui avait reçu un gros apport de cendre imprévu et pas de mon fait et où les cultures se portaient bien cette année. |