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Il se confirme que l’humus de feuilles de marronnier a une bonne texture.

Il y a peu, je suis allé en ramasser deux fois dans une forêt. Je l’utilise tamisé, pour les semis d’arbre de cette année. Même riche en eau, après beaucoup de pluie, ça ne colle pas, ça s’émiette toujours bien, et pourtant ça garde de l’eau. Quand il gel, ça durcit évidemment quand‑même, mais même alors, ça reste plus facile à émietter qu’une ordinaire terre gelée.

Cet humus a quand‑même un gros grain, qui convient certes bien pour des graines d’arbre, mais ne conviendrait peut‑être pas aussi bien pour des petites graines d’herbacée. Un second tamisage plus fin pourrait être utile pour ce dernier cas.
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Pour les semis d’arbre, j’opte cette année pour 72h de trempage au lieu des 48h de l’année dernière. Je crois avoir remarqué que certains noyaux commencent à couler au delà du délais de 48h, signe qu’un trempage de 48h n’est peut‑être pas suffisant. Après 72h de trempage au froid, quelques noyaux de prunes et quelques noix de pécan, commencent à présenter une fine fissure, signe qu’il ne faudrait peut‑être trop aller au delà, d’ailleurs ça me semble même limite pour les châtaignes, mais à voir le moment venu.
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Il y a des animaux qui viennent manger dans le tas de compost ; ce n’est pas la première fois. Ce ne sont pas que des souris, plus grands …
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Hibou a écrit : 
[…]

Je viens de compter le PMG des grains récoltés en Juillet 2019, et je trouve un petit 21 g 48, ce qui est faible. Beaucoup de grains sont en effet nettement plus petits que ceux du semencier.

[…]

La différence est importante, tellement importante que je vais ajouter 10 % au poids de grains par surface pour le semis de cette année 2020, par sécurité, au cas où les petits grains ne germeraient pas ou pousseraient mal.

D’après un test de germination des grains, commencé le 2 Décembre, même les petits grains germent ; il n’y a finalement pas à s’inquiéter de la taille des grains en ce qui concerne la germination. Mais ça n’implique pas qu’ils pousseront aussi bien ou supporteront la même profondeur d’enfouissement que les grains de bonne taille.
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Retour sur les vers de terre et la texture du sol.

Je faisais remarquer précédemment, que certaines terres qui ne sont pas dépourvues en vers de terre, sont pourtant compactes. Il y a quelque jours, j’ai remarqué quelque part, une zone entre un bois et un près, où il y avait des trous de galeries de vers de terre en grand nombre, quasiment une sortie de galerie par centimètre et une grande quantité de déjection de vers, partout. Pourtant cette terre est compacte et collante, ce qui d’ailleurs explique la stabilité et la visibilité de ces galeries.

Je faisais remarquer précédemment encore, que la terre aux environs des grands marronniers, a souvent une bonne texture. En ramassant de l’humus au pied de marronniers à plusieurs reprises, je n’ai pas remarqué de traces de présence de vers de terre ou alors ils y sont peu nombreux.

C’est vraiment ce qui est déposé sur le sol qui fait la différence. Je ne veux pas dire que les vers de terre ne sont pas biens, seulement qu’il ne faut pas trop compter dessus pour la texture du sol. Je crois l’avoir déjà fait remarquer, mais ce sera une nouvelle confirmation.
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Hier j’ai remarqué que des petites pousses de chardon sont déjà en train de reprendre, alors que nous ne sommes que début Janvier.
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Pour information pratique :

À Jardiland, quand un outil est dans le catalogue du magasin mais pas en rayon, on ne peut malheureusement pas le commander.

À Leroy Merlin, on peut commander, mais à moins que la commande ne soit énorme — 500 € minimum, ouch —, il faut attendre une livraison de la marque en question, ce qui peut être un peu long (mieux vaut s’y prendre longtemps à l’avance), mais c’est possible.
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Les pépins de toutes les variétés de coings, sont poisseux. Ça reste même après un long trempage. C’est peut‑être du mucilage ou alors quelque chose qui y ressemble.

Ce côté poisseux fait qu’ils adhèrent aux doigts et entre eux.

Ça me fait un peu penser à la matière gélatineuse entourant les graines de tomate. Avec les tomates, une fermentation est nécessaire pour faire disparaître cet enrobage. Je me demande donc s’il devrait en être de même avec les pépins de coing aussi ou pas. En tous cas, je m’interroges sur la fonction et les effets de cet enrobage poisseux.
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Les maïs arrivent à faire une seconde feuille à partir de la seule réserve du grain.
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Vu l’état de la végétation sauvage actuellement, je crois que cette année, le printemps sera précoce.
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