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Ce qui suit reste assez à vérifier, et même s’il y a une part de vrai, il y a peut‑être une forme d’exagération. Je chercherai à en savoir plus, un autre jour.
À en croire le reportage ci‑dessous, dont les affirmations sont à vérifier, la collaboration entre les États‑Unis et la Russie, pour la construction de la station spatiale internationale (ISS), s’est faite au principalement au détriment des États‑Unis, et était une collaboration forcée et un boulet pour la NASA. Déjà avant la chute du mur de Berlin qui a signé la chute définitive du communisme en Russie qui n’était pas une réussite (comme le communisme partout ailleurs dans le monde), les scientifique de l’URSS travaillaient dans de bien plus mauvaises conditions qu’on ne l’imagine peut‑être. Les projets spatiaux de l’URSS, était d’ailleurs devenus pour la population, un symbole de leur privation et de leur misère. Il y a eu des succès technologiques en URSS, mais à mettre en balance avec les conditions désastreuses dans lesquelles ils ont été réalisé. La misère était telle, que même la nourriture destinée aux équipages spatiaux pouvait faire l’objet de chantage. Après la chute du mur, la dissolution de l’URSS et la misère laissée par le communisme, il existait un risque que les scientifiques Russes répondent aux propositions que leur faisaient des pays qui rêvaient de se payer leurs services pour leurs industries militaires. Pour éviter que les scientifiques Russes ne rejoignent ces mauvais clients, les États‑Unis ont décidé d’organiser une collaboration, déséquilibrée, avec la Russie. Contrairement à ce qui était raconté au public Américain, les couts de l’ISS n’étaient pas partagés équitablement entre les deux parties, et ce sont les USA qui en finançaient la totalité. La collaboration pour l’ISS était en fait une œuvre de charité déguisée en projet commun, dans le but d’éviter que ne se produisent de mauvaises associations. La NASA n’était pas très emballée, et le bénéfice technologique était pour elle, selon leurs propres mots, « un gros zéro ». Les Russes n’assumaient pas beaucoup leurs engagements techniques, incorporaient des technologies dépassées dans le projet, et se sont montré tellement peu doués, qu’il a fallut revoir le design de la station plusieurs fois en cours de construction… dans le sens de la dégradation de ses capacités scientifiques. Ce qui devait être un laboratoire orbital, était devenu au final un « hangar volant » vidé des possibilités techniques initialement prévues et qui devaient permettre des expériences scientifiques attendues. Je ne connais pas la date de ce reportage, et ne parviens qu’à le situer approximativement au début des années 2000 (entre 2000 et 2004, peut‑être). Les Archives Oubliées, N°9 : Espace à vendre |
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Hibou a écrit : Ce qui suit reste assez à vérifier, et même s’il y a une part de vrai, il y a peut‑être une forme d’exagération. Je chercherai à en savoir plus, un autre jour. Dans la même série de reportages, je viens de voir un reportage qui fabule. Il y est dit que poursuivant les travaux de Tesla, l’URSS avait mis au point une arme qui produisait un signal nommé « signal pic‑vert », et que les Russes testaient l’arme en produisant des aurore boréales artificielles et que le jour où le signal s’est arrêté brusquement, une ville des États‑Unis a connu une soudaine panne d’électricité, supposée produite à distance par cette arme. Le « signal pic‑vert » était juste le signal d’un radar trans‑horizon d’ex‑URSS, pas une arme. Apparemment cette série de reportages, « Les archives oubliées », mélange détails relatifs à des faits réels et fabulations. Ça ne me semble plus du tout sérieux. Je vérifierai quand‑même les affirmations sur la mauvaise qualité de la coopération entre la Russie et les États‑Unis pour la construction de l’ISS. |