la confiance sous un autre angle...

La confiance n'a pas de prix...
Elle ne s'achéte pas ,elel s'offre, sans autre calcul que celui, primaire et instinctif, de choisir de parti prix de refuser la crainte d'accueilir, quitte à aller parfois s'ecailler sur l'écueil de la trahison( trahir quoi, d'ailleurs, si ce n'est que ce que l'on a projeté ,bien souvent, sur l'autre à l'insu de son plein gré, si on est dans la catégorie des gens qui aspirent à la probité...)
La confiance c'ets un simple pari. On mise sur le fait que l'autre construira d'avantage qu'il ne détruira.

C'ets pas synonime de niaserie. On est pas obligé d'être un ravi de la créche pour faire confiance ,sauf indication manifeste d'une incapacité de l'autreà répondre à l'attente.

Simple question de choix, et encore, à la limte mêm de bon sens

Pour reprendre le début d'interrogation de Kro, si on part sur le présupposé de la méfiance, ca freine gravement la colaboration...ce qui est plutot mortel pour l'animal humain, non?

C’est une maladie qui existe bien. Surtout qu’à la question de la confiance en l’autre, j’ajoute la question de la confiance en les choses, et que ça n’arrange rien. Mais si on pense remarquer que la question de la confiance en les choses se ramène à la question de la confiance en des gens, des groupes de gens lointains, alors on peu penser que c’est de toute manière la même question.

J’ai l’impression que la principale mesure de la confiance que l’on peut avoir envers quelqu'un, c’est la même chose la mesure de sa capacité à ne pas se soumettre à cette autre source de manque de confiance environnante.

Et tout ça me fait penser que les Chrétiens ont peut être fait une interprétation trop orientée quand ils ont interprété le « délivre nous de la tentation ».

Désolé de ne pas avoir l’air plus clair (j’imagine). Si quelqu'un n’arrive pas à décoder, il n’y a que me demander de préciser.