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Auteur | Message |
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Animatrice
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Lucy Van Pelt a écrit : Là, sur les conseil d'une amie, je... Alors, c'est une bonne amie... "Ideas drift like petals on the wind. I have only to lift my face to the breeze." "Les idées dérivent comme des pétales sur le vent. Je dois seulement soulever mon visage à la brise." |
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Modératrice
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Akumu a écrit :
La meilleure. Il faut être perdu, il faut avoir perdu le monde, pour se trouver soi-même. (Henry David Thoreau) |
Animatrice
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Yellow Daffodil a écrit : Là, j'me dis que la curiosité n'est PAS un vilain défaut. Au contraire. Tout à fait d'accÔrd ! mais il y a curiosité et curiosité... Donc... c'est qui ta meilleure bonne amie Loussy ? "Ideas drift like petals on the wind. I have only to lift my face to the breeze." "Les idées dérivent comme des pétales sur le vent. Je dois seulement soulever mon visage à la brise." |
Consul Honoraire
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...un peu de lecture
('vaut mieux écrire une petite connerie que de se balader avec un fusil dans la rue.) « -Rien de particulier à signaler ? -non, tout semble en ordre, tu peux y aller -Ok ; bonne soirée et n’oublie pas de serrer les liens toutes les 2 heures » Dehors, la grisaille était toujours et encore là, pas moyen de s’en défaire semble-t-il… y’a plus de saisons, vraiment ! En s’installant dans sa Porsche 911 Turbo toute neuve, Joachim ne peut se retenir de faire un gros sourire. « Ca y est, j’y suis arrivé, je suis enfin « quelqu’un » ! » Le voila qui tente de démarrer l’engin… ah zut ! Il va vraiment falloir qu’il s’habitue au fait d’insérer la clé à la gauche du volant. Et voila, c’est parti ! « Toutes les 2 heures, toutes les 2 heures… il est chiant l’autre con avec son –toutes les 2 heures- ! Pas moyen de dormir tranquille… et arrête de bouger dans tous les sens toi, t’es chiant aussi ! » Joachim n’en peu plus tellement il se sent bien… il est comme sur un nuage, heureux comme jamais il n’aurait pensé pouvoir l’être. Il a tout maintenant, les amis, les nanas, l’argent, l’appartement en plein centre… il n’en revient pas. 6 mois plus tôt il n’était encore qu’employé dans un fast-food, et maintenant ça. Oh, il sait bien que ce n’est que paraître, que ses « amis » ne le sont que parce qu’il a de l’argent, que « ses » nanas ne sont avec lui que pour l’argent, mais bizarrement, il s’en fiche… Il se laisse avoir par sa propre illusion, con comme il l’est. Il s’en fiche, il est « important » maintenant. Ah, voila la maison ; il tourne à droite, gare sa voiture bien en évidence, ajuste ses lunettes de soleil et va sonner à la porte. « Bon, ben ça va faire 2 heures, allez… Il a dit de serrer les liens, alors c’est reparti pour un tour ». Il y a un peu de sang qui commence à suinter, mais bon, un ordre et un ordre. « Tiens-toi tranquille !! Quand tu seras assez affaibli je te détacherai. T’es là pour toujours alors t’excite pas comme ça ! » Après avoir bu deux coupes de champagne et avoir raconté ô combien il est génial a ses amis, Joachim s’en retourne à sa voiture. A gauche la clé. Il n’a pas oublié cette fois. Il est temps de rejoindre une de ses maîtresses. Alors… au pif… voyons voir… allez va pour Gwendoline. Le sms est envoyé, la dame doit se tenir prête. « Ben qu’est-ce que t’as ? C’est trop serré ? Allé, ne joue pas à ça, je vais serrer les liens encore un peu plus pour la peine ! » La 911 Turbo a vu sa longueur réduite de moitié. L’arbre centenaire n’a pas bougé, lui. Les pompiers sur place, comme souvent, ne peuvent identifier ce qu’il reste du corps de Joachim que grâce aux papiers d’identité trouvés dans la poche du pantalon, là bas, qui habillait cette jambe ensanglantée. Bien sûr, aux funérailles de Joachim, il n’y avait pas grand monde en dehors du prêtre et des enfants de chœur. Rien d’étonnant, d’ailleurs : Joachim n’était personne, en dehors de son argent. Il ne s’était jamais donné la peine de chercher à être juste un humain, à faire sa vie « pour de vraie » ; non, il n’était qu’une illusion pour lui-même et pour les autres. « -Et merde ! Je crois que j’ai trop serré, là ! Oh ! bouge un peu ! tu vas pas me dire que tu es mort ! et merde… Joachim… ». Oui, c’est à ce moment-là que Joachim a percuté l’arbre. Au moment même où son petit frère a trop serré les liens qui maintenait le cœur de Joachim. Mauvaise idée qu’il a eut de mettre son cœur de côté pour se transformer en requin de la société, et mauvaise idée de demander à son petit frère qui ne l’aimait pas beaucoup d’ailleurs,de veiller à ce que ce cœur ne puisse pas s’échapper et revenir vers son maître, vers lui-même… HTLLTD Du sollst niemals vergessen, danke zu sagen. |
Modératrice
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Akumu a écrit :
Il y a curiosité... et indiscrétion. Je suis allée dehors une fois, mais les graphismes étaient pas terribles. |
Animatrice
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Boui... pardon
"Ideas drift like petals on the wind. I have only to lift my face to the breeze." "Les idées dérivent comme des pétales sur le vent. Je dois seulement soulever mon visage à la brise." |
Modératrice
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Akumu a écrit :
Il faut être perdu, il faut avoir perdu le monde, pour se trouver soi-même. (Henry David Thoreau) |
Modératrice
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krokiller a écrit : ...un peu de lecture Tu l'as dit Kro, merci.. Il faut être perdu, il faut avoir perdu le monde, pour se trouver soi-même. (Henry David Thoreau) |
Tchatcheur
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et ca continue , encore et encore ! c'est que le début, d'accord, d'accord
J'aime pas les rapporteuses ! Il n'y a pas de mauvais peuples, il n'y a que de mauvais bergers ! Un peuple ne se trompe pas, il est trompé. |
Animatrice
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Là maintenant dans le moment de tout de suite de maintenant... j'ai les doigts sur le clavier et je suis en train de poster ce que je suis en train de poster
"Ideas drift like petals on the wind. I have only to lift my face to the breeze." "Les idées dérivent comme des pétales sur le vent. Je dois seulement soulever mon visage à la brise." |
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