Cette partie du forum n’est pas compatible avec les bloqueurs publicitaires
Félicitations à vous, de préférer les accès payants plutôt que la gratuité par la publicité, c’est honnorable et cohérent de votre part. Malheureusement, l’accès payant par micropaiement (qui serait d’environ 1 cent pour 20 pages consultées) n’est pour l’instant pas encore mis en place, et l’accès gratuit sans publicité, est réservé aux membres actif(ve)s du forum. En attendant, si vous souhaitez poursuivre votre visite chez nous, vous pouvez ajouter le site à votre liste blanche, ou encore mieux, désactiver le bloqueur partout. Pour ajouter le site à votre liste blanche, pour Firefox (similaire pour les autres navigateurs), rendez‑vous en bas à gauche de la fenêtre de votre navigateur, et cliquez sur le menu comme dans l’exemple de l’image ci‑dessous, puis rechargez la page, en appuyant sur F5.
|
|
|
| Auteur | Message |
|---|---|
|
Animatrice
|
Mer 22 Juil 2009 01:55
Le Secret de la Bulle
[roman turbuluesque pour plusieurs écrivains dans le funesque]
LE SECRET DE LA BULLE Elle s'envolait chaque matin, comme un mot interdit qui s'échappait d'une fenêtre aux milles secrets. Il y avait eu meutre ? viol ? amour interdit ? mangeaille de gouailles affamées ?... nul ne savait ce qui se passait dans cette drôle de chambre, mais chaque fois, au lever du premier nuage, une bulle se décollait par la fenêtre gonflée dans l'histoire de la nuit qu'elle venait de boire... Ce matin elle s'envolait rouge et verte, quelles anecdotes pouvaient-elles ainsi ennivrées ? Les couleurs seront la suite de cette nuit impénétrables diront certains... [à vous la suite] "Ideas drift like petals on the wind. I have only to lift my face to the breeze." "Les idées dérivent comme des pétales sur le vent. Je dois seulement soulever mon visage à la brise." |
|
|
|
|
|
|
Tchatcheur
 
|
Ven 24 Juil 2009 16:11
Re: Le Secret de la Bulle
Soudain, comme le font remarquer les bons écrivains, Akumu, grande sage devant l'éternel, c'est-à-dire devant son père, se retourna dans sa tombe, et en sortit groggy. Puis, par un éclair de lucidité y retourna sans coup férir et sans fou quérir. Le roman pourrait s'arrêter là. Mais en fait non. Et puis si, laissez l'on le, laissons le là, à pérorer tout seul.
Discours du roman : Je suis une personne romanesque, je vis dans le sous sol d'akumu, qui me sort en même temps que les poubelles, je me suis las et en même temps ailleurs, j'hésite à ponctuer mes discours de points tillés. Le roman monte sur ses grands cheveux, et se tire la bourre, en prenant la porte, mais pas le reste, ce qui constitue une suite innée narrable, à laquelle, les prochains auteurs devront rester fidèles sinon ça casse trop. |
|
|
|
|
|
|
