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Administrateur
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Une époque douloureuse de l’histoire de la france, éveillant une mauvaise conscience chez certain(e)s qui de nos jours encore les poussent vers le FN (même si c’est évidemment loin d’être la seule raison de ce vote), contre des ex‑Algériens jugés traîtres par les uns, jugés indésirables par les autres, c’est l’histoire des Harkis à qui la vie n’a pas fait de cadeaux.
François Hollande leur a récemment (Dimanche 25 Septembre 2016) fait part des regrets de l’état (tardifs, mais réels), pour le mépris qu’ils ont put subir de la part d’un pays qui les a rapidement oublié de leur vivant. Ce fragment de discours de François Hollande, sera l’occasion d’inaugurer ce sujet. François Hollande a écrit : Lorsque le cessé le feu a été signé le 19 Mars 1962, à la suite des accords d’Évian, ces Harkis, c’est à dire, vous, aviez confiance en la france, parce que vous vous‑étiez battus pour elle et vous n’imaginiez pas qu’elle puisse vous abandonner. C’est pourtant ce qui s’est produit. D’après la vidéo de cet article : Hollande reconnaît « les responsabilités des gouvernements français dans l’abandon des harkis » (lemonde.fr), 25 Septembre 2016. Je chercherai le discours complet plus tard. |
Administrateur
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Un texte de loi d’il y a presque 12 ans, leur reconaissant le droit tardif à une indémnité : Décret n° 2005-477 du 17 mai 2005 […] portant reconnaissance de la Nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés (legifrance.gouv.fr).
Les conditions d’obtention de cette indemnité, éclairent sur les fonctions qu’avaient les Harkis, et font comprendre sous quel prétexte ils ont été détestés et pourquoi ils se sont sentis trahis quand ils ont été abandonnés. |
Administrateur
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Dédicace aux gens qui continuent encore de nos jours à cracher sur les Harkis, en les traitant de lâche alors qu’ils ont fait des choix contre l’opinion populaire, que ces choix leur semblaient les meilleurs pour l’avenir avec des raisons qui leur semblaient bonnes.
Né en 17 à Leidenstadt — Jean‑Jacques Goldman Avec les paroles … |