Les Mythos

Moi !!

On me traite trés fréquemment de mytho ....

Disons que j'ai un vécu trés particulier qui fait que beaucoup de gens n'y croient pas

Rien de spécial a dire juste la couverture du fig scope pour faire plaisir a john

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Ben explique-nous et on jugera sur pièces, Vautour

J'a commencé par bosser comme technicien de production fromagére avec un BTS en poche obtenu à l'ENIL de la roche sur foron, bien avant de placer des mines sur les terrains dangereux de la Savoie...

Ensuite pour me faire la main, j'ia bossé dans diverses entreprises comme fabriquer de la dynamite dans une jurassienne au dessus de morteau, ou alors fabriquer de la poudre, des obus et autres petits fromages sympathiques, voir même travailler sur les premiers skuds aux morceaux de fruits pour Yop-Merde-ça-Craint (YMCA)... Et ensuite je suis reparti en haute savoie fabriquer des uzis pour les fermiers savoyards (pas loin de Sallanches).

Dans mes cinq années en haute savoie, j'ai pratiqué l'alpinisme et la rando avec en autre à mon actif le brévent, le montblanc (3fois), et un bandeau rouge noué autour de la tête, les deux drus, l'aiguille d'argentiéres pour enfin essayer de faire du kidnaping dans la grimpette de l'aiguille verte.

Deux semaines d'hosto plus tard, des séances de réeduc et deux centimétres de plus (allongement des disques lombaires), j'eassayais de reprendre le boulot, mais la chaleur et l'humidité ambiante ne convenant plus à ma colonne vertébrale, j'ai donc abandonné la montagne pour revenir dans un pays plat ( la touraine) ou là j'ai effectué une double reconversion d'une part en essayant de faire en une année ce que font d'autres en deux ans, passer le DUT tech de co mais je ne l'ai pas eu...

Trop technique et pas assez guerrier, je suis passé par un centre de formation dédié à la maintenance des systémes secrets.

Et là, de gachette en gachette, de colonel à général commercial, je suis là ou je suis c'est à dire soldat itinérant pour une entreprise qui à priori voudrait bien se passer de mes services.

De ces années passées en haute savoie, je n'ai absolument rien voulu conserver parce que celà me faisait trop mal et il m'a fallu vingt ans pour que je puisse de nouveau y retourner, sans aucun à priori et aujourd'hui, je me rends compte qu'elles me manquent terriblement ces crétes, ces monts, ces vallées, ces cours d'eau de l'arve et du foron, ces égiles romanes aux architectures splendides, ces lacs que l'on croirait presque endormis...