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Membre balbutiant
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Je le pense, à la fréquentation de personnes tombées dans le RSA, et qui la première année sont encore motivées, mais qui dès la seconde année, s'installent pour longtemps dans cette situation (notamment en prenant l'habitude de ne plus se lever tôt le matin).
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Si j'ai tout bien compris, Socrate, tu nous dit que le travail est une thérapie indispensable car les gens qui en sont privés perdent la motivation pour en trouver (et qu'accessoirement ils font la grasse mat') ?

C'est... euh... c'est... un peu simple non ?
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socrate a écrit : 
Je le pense, à la fréquentation de personnes tombées dans le RSA, et qui la première année sont encore motivées, mais qui dès la seconde année, s'installent pour longtemps dans cette situation (notamment en prenant l'habitude de ne plus se lever tôt le matin).

Dans ton message, je ne vois pas l’objet de la question : une thérapie à quoi ?
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