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Un randonneur a écrit : 
En général, il n’y a pas de problème avec les cyclistes. Quand ils restent sur les chemins forestiers, tout ce passe bien ; je marche au bord et eux roulent au milieux. Mais sur les sentiers de randonnée en montagne, ça coince.


Une randonneuse a écrit : 
Nous aussi on fait du vélo, mais il faut rester sur les chemins qui sont adaptés aux cyclistes.


Marcheurs contre VTT — ARTE Regards — 2016
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Il y a aussi le problème de l’érosion des chemins par les VTT, le reportage en parle. Les VTT ont tendance avec le temps, à creuser les chemins étroit, en rigole étroite et profonde, tandis que les chaussures dament plus qu’elles n’érodent. Ça fait mal au pied de marcher dans des chemins escarpés ainsi creusés, qui en plus favorisent le ravinage par la pluie, accentuant encore l’érosion.
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Quand un chasseur se plain d’être dérangé par les vététistes, ça devrait être une blague, mais c’est ce qu’on entendu sérieusement dans le reportage. Un chasseur et son fusil sont plus dangereux qu’un vélo.
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Les marcheurs qui engueulent les vététistes, ils abusent aussi.
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Ce qu’il faudrait, c’est que les chemins où passent des vététistes, soient clairement indiqué comme tel. Le problème se pose moins avec les chemins larges. Les chemins creusés de la manière particulière décrite précédemment, ont un indicateur implicite de la fréquentation par les VTT, ce qui devrait inviter à marcher sur le bord de ces rigoles et non‑pas dedans … de toutes manières, marcher dedans, n’est pas confortable.
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