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La police manifeste contre le burnout.

Des policiers prévoient de manifester à Paris, contre leurs conditions de travail devenues tendues depuis le mouvement des Gilets Jaunes.Ils trouvent que le gouvernement leur en demande trop, les met trop en avant, alors que ce n’est pas à la police de régler ce problème. L’issue de la pression de travail qu’ils subissent, est parfois morbide.

Voir : Manifestation des policiers en colère à Paris : « on en a marre de pleurer nos morts » (francebleu.fr), Octobre 2019.
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Macron ciblé deux fois en deux jours.

Le 17 Janvier, des manifestants ont tenté de s’incruster dans un théâtre où se trouait Macron en train d’assiter à un spectacle. Le 18, des inconnus ont tenté de détruire sa brasserie préférée en l’incendiant ; elle a partiellement brûlé et la piste de l’incendie volontaire est privilégiée.

Voir : Des manifestants pénètrent dans un théâtre parisien et perturbent la soirée d’Emmanuel Macron (francetvinfo.fr) et Emmanuel Macron y avait ses habitudes, la brasserie La Rotonde visée par un incendie (sudouest.fr).

Avec ce climat, la prochaine présidentielle s’annonce pourrave.
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Selon un récent sondage, sur un panel de 1 000 personnes et avec une marge d’erreur de 1 à 3 points, en moyenne deux français sur trois sont mécontents du président E. Macron, son ton et sa communication étant les points les plus négativement perçus.
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Hibou a écrit : 
D’après l’INSEE, la dette publique en france a augmenté pour atteindre 99.6 % du PIB, soit 2 358.9 milliards d’€, soit un peu plus de 35 000 € par personne en comptant tous les âges.


Je viens d’apprendre l’existence d’une chose : le hors‑bilan.

Dans les finances publiques, il y a en plus de la dette publique, un hors‑bilan, qui est assimilable à de la dette aussi, et son montant est encore plus élevé que celui de la dette publique, presque deux fois plus, en plus. On patauge dans le délire.

L’article plus bas a écrit : 
Ah oui et j’ai oublié de vous préciser, l’actif de l’État au 31 décembre 2016, selon la Cour des comptes atteignait 978md€ pour des dettes de 2181md€ et des engagements hors-bilan (majorité de pensions de fonctionnaires, donc concrètement des dettes) de plus de 4000md€ : un rapport de 15%. Mais c’est pas grave, après tout la dette n’est pas un problème.


Source : Idée reçue : « la dette, c’est pas un problème ! » (contrepoints.org), Eddie Willers, Janvier 2018.

Dans la citation de l’article, le petit m, doit se lire comme milliard. Cette citation dit que la dette publique est de 2 181 milliards d’euros, et le hors‑bilan, de 4 000 milliards d’euros. Mais l’article date de 2018, la dette publique est actuellement à plus de 2 700 milliards d’euros, et j’imagine que le hors‑bilan aussi, est plus élevé maintenant qu’à la date de l’article.

J’aimerais savoir pourquoi ça s’appel hors‑bilan et quel tour d’illusionniste comptable se cache derrière ce terme.
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Une idée douteuse de notre président dictateur Macron (*) : le rétablissement d’un service militaire obligatoire, censé régler tous les problèmes de la société, en particulier le cloisonnement par catégories sociales.

Dans le mini‑débat ci‑dessous, un lycéen sûrement mieux intentionné que notre président dictateur, s’interroge : comment son truc pourrait‑il régler ce que l’école et autres institutions, n’arrivent pas à résoudre avec des années de présence et d’action au quotidien. Un intervenant s’interroge sur la stabilité du contenu idéologique qui y sera inculqué, comme chaque gouvernement voudra probablement imposer le sien.

(*) Pour la raison de ce qualificatif, voir « Re: Quarantaine décidée en france à cause du coronavirus ».

Le SNU peut‑il réconcilier la jeunesse avec l’engagement citoyen ? — 28 Minutes / ARTE — 2021
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Voir aussi ce message : Re: Quarantaine décidée en france à cause du coronavirus.

Maintenant la réponse à la question du titre, est connue : ça aura été pour le pire.
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En marge du discours du fou où il faisait ses menaces, sur la partie de son discours à propos du chômage et des retraites.

Comme quelqu’un le résume furtivement à la fin, quelque soit le bla‑bla, les discours sur le chômage ne s’adressent pas aux chômeurs, mais au non‑chômeurs, qui ne veulent plus en entendre parler (ce qui n’est pas la même chose que de vouloir le résoudre), quelque soit le bla‑bla, depuis des décennies le discours est toujours le même (discours sur le chômage qui s’adresse aux non‑chômeurs) : « le chômage, c’est la faute aux chômeurs » ou « le chômage, c’est la faute aux “fainéants”, il faut leur rappeler qu’ils dont des “devoirs” ». Que de mal depuis toujours pour touiller la même soupe encore et encore et juste répéter la même chose de mille et une manières, en faisant croire que ce qui vient d’être dit n’avait jamais encore été dit avant, alors que ce n’est qu’une n‑ième variante du même discours que depuis toujours.

Pourquoi Macron accélère ses réformes ? — Public Sénat — 2021
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« Le taré du troisième étage », était un surnom de Macron quand il était aux finances à Bercy : rtl.fr, le 7 Mai 2016.
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Je dirais que Macron a saboté l’idée du centrisme (pas idéale, mais c’était déjà ça) et que Bayrou a fait une énorme bourde en le soutenant en 2017 et en continuant à le soutenir pour 2022.
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Macron remis à sa place au Parlement Européen, entre autres, pour ses mots sur « les gens qui ne sont rien ». L’allocution date d’avant la crise actuelle et donc d’avant les mots sur les « non‑citoyens », qui ne sont pas mentionnés. La date est indiquée sur la vidéo : 17 Avril 2018.

Parlement européen : un député Belge offre une corde à Emmanuel Macron — Brut — 2018
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