Quarantaine décidée en france à cause du coronavirus

Un détail sur lequel beaucoup de gens ont tiqué : la police, est exemptée de vaccination obligatoire et de pass sanitaire, ce qui est en contradictoire avec la prétendue urgence sanitaire, comme ce personnel est très en contact avec des population diverses.

Ce que ça laisse deviner : le dictateur Macron tient à ne pas se mettre à dos ceux dont il attend qu’ils soient les agents de sa répression.

C’est justement une inconnue : la police le suivra‑t‑elle, la verra‑t‑on refouler ou menacer des gens dans les commerces et les transports publics ? La réponse à cette question à laquelle il n’est pas possible de répondre, dira quelque chose de la société civile dans laquelle on est.

Un hashtag #resistance a été créé sur Twitter. On y apprend que des agents de personnel médical ont déjà déposé leurs démissions. On peut y lire des appels fait à la police et professions voisines, pour qu’elles n’obéissent pas aux ordres.

Le nom du hashtag me semble malheureusement approprié.

On a un président en comparaison de qui Le Pen a l’air attentionnée. Ça dit à quel niveau il est descendu ce détraqué : Tweet № 1414670092302966784.

Des soignants et des pompiers ne veulent pas céder aux menaces du président dictateur Macron, et annoncent leurs démissions :

• "J'enverrai ma lettre de démission": ces soignants refusent la vaccination obligatoire (bfmtv.com), 13 Juillet 2021.
• "Je ne me ferai pas vacciner, si on m'oblige j'arrête!", témoigne un pompier volontaire (bfmtv.com), 13 Juillet 2021.

Les démissions ne se limitent pas qu’à ces domaines. J’ai lu le témoignage d’un internaute dont le voisin, aide à domicile, a annoncé sa démission aussi. Il a collé sur sa voiture, un papier affichant son choix.

Il n’a même pas la décence d’éviter de menacer des pompiers volontaires ou des bénévoles. Je l’ai entendu dans son allocution, menacer les bénévoles aussi, il menace tout le monde. Il est haut perché dans le mépris.

Elle parle du « vaccin » forcé contre le covid, pas des autres.

• Manifestations à Ajaccio et Bastia contre le pass sanitaire et l'obligation vaccinale (corsematin.com), 13 Juillet 2021.
• Manifestation à Nantes : 500 personnes contre « les mesures liberticides de Macron » (ouest-france.fr), 14 Juillet 2021.
• Manifestation contre le pass sanitaire à Caen : la cérémonie du 14 juillet perturbée (actu.fr), 14 Juillet 2021.
• Pass sanitaire obligatoire: «La France en proie à une nouvelle fracture» (lefigaro.fr), 13 Juillet 2021.
• Pass sanitaire: les extensions annoncées par le gouvernement sont-elles recevables juridiquement ? (bfmtv.com), 13 Juillet 2021.

C’est symbolique (*), mais je le mentionne, c’est une simple pétition contre Macron : Démission de Macron le dictateur: libertés entravées (mesopinions.com), ouvert le 13 Juillet 2021.

(*) Les libertés les plus fondamentales nécessiteront des actes pour être regagnées, une pétition ne suffira pas, si le chemin des dictateurs s’arrêtait aux pétitions, ça se saurait.

Dans les incertitudes …

Le Conseil Constitutionnel doit normalement se prononcer sur la recevabilité des menaces de Macron. Sur la décision qu’il prendra, rien n’est prévisible. Pour les uns, un rejet est prévisible, pour les autres, Macron s’est assuré au préalable qu’ils ne lui désobéiront pas (une crainte que je partage).

Ce n’est pas tout. Le Conseil Constitutionnel sera saisi à posteriori (sûrement encore un cours‑circuit rendu possible par l’état d’urgence, qu’on devrait aussi mettre en question). Cela signifierai que les menaces de Macron seraient d’abord mise en application, pour être éventuellement annulées ensuite (dans ce cas, sous quel délais ?).

Ce n’est encore pas tout. Depuis le monologue du président dictateur, des modifications sur les modalités des menaces ont été annoncées un peu de partout, dans tous les sens, infirmées, confirmées, …

Pour en rajouter une couche, même si ce n’est évidemment pas le cas de tout le monde, une partie des gens partent en vacances tous les ans ou presque et y sont actuellement. Ils ont reçus ces menaces alors qu’ils sont loin de chez eux et n’avaient pas prévu ça. On peut imaginer le stress chez les professionnels du tourisme, aussi.

Dans l’attente de la réaction du Conseil Constitutionnel, une réaction à posteriori, on peut dire que c’est déjà le bazar pour beaucoup de gens, sans parler des tensions sociale que ça provoque : suite aux menaces de Macron, le 14 Juillet, des anti‑vaccins s’en sont pris à un centre de vaccination improvisé dans une gare, nécessitant l’intervention de la police (justifiée ici, les gens qui ne veulent pas de ce produit n’ont pas à empêcher ceux qui l’ont décidé pour eux, que leurs raisons soient bonnes ou mauvaises).

Nous sommes le 15 Juillet, le 21 Juillets est dans 6 jours, moins d’une semaine. Le 21 Juillet est en théorie la date de la mise en œuvre de certaines menaces (ce qu’il se passera est une inconnue), et en même temps la date de la saisie à posteriori, du Conseil Constitutionnel.

Sous réserves de possibles diverses erreurs, mais l’essentiel semble être là.

Le jour où Macron a jeté les bases d'une société de surveillance (lecho.be), 16 Juillet 2021.

Non seulement ce que dit cet article devrait faire réagir, mais aussi, c’est un journal Belge, ce qui montre de quoi la france peut avoir l’air vu de l’extérieur. Merkel elle‑même, qui n’a pourtant pas l’habitude de divaguer, a réagit à la réaction de Macron, en trouvant qu’il passe les limites (citation exacte à trouver, je ne l’ai pas retrouvé).

Quand un lepéniste avec du galon parle avec plus de jugeote que le président « élu » (*), il y a de quoi s’alarmer. Je n’aurais jamais cru voir ça un jour, jamais.

(*) Macron n’a pas été élu, c’est Le Pen qui ne l’a pas été, ce qui a été élu, c’est un bulletin manquant, qui n’était pas celui de Le Pen (ni celui de Mélenchon), d’abord … mais pas non‑plus celui de Macron, ensuite.

« Le gouvernement fait porter le poids de son échec sur les Français », selon Jacobelli — RT France — 2021