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Beau Parleur
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zen a écrit : Salut Linko ! Salut Fillette.... 
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Modératrice
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Linko a écrit :
 Fillette ?  
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Anonymous
Disparu(e)
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ben oui , il n'y a que les fillettes pour arriver à cet état de penser ...
chic alors ! j'en suis une !! Linko a écrit :
bon je vais faire encore plus simple  j'ai effectué un certain "travail sur moi" et je suis arrivée à un état de sérénité tel que je ne me pose plus ce style de question .... je vis et j'aime la vie et à partir de là , je suis heureuse parce que je le veux (et le vaut ou veau  ? bien !!j'ai évacué suffisament de démons pour savoir aller à l'essentiel , je suis passé de l'autre côté du miroir (s'pas majo  ) et en suis revenue tellement plus forte !cette liberté là est la plus précieuse de toutes car je l'ai payé de mes souffrances ! elle m'appartient , elle est mienne !! et j'ai le coeur battant , battant et je souhaite que la dernière battue soit trés lointaine.... vala vala ... c'est un témoignage positif m'sieu !
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Consul Honoraire
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La liberté, ce ne devrait pas être quelque chose que l'on conçoit par rapport à l'autre, mais pour soi-même.
Libre d'être ce que je suis, en moi. Le reste, la société, etc... bah... Ce n'est pas parce qu'on ne peut pas (généralement) crier au monde entier que ceci ou cela ce n'est pas ce que je veux, même si on doit le "subir", qu'on ne peut être libre. La liberté est quelque chose de personnel, effectivement. Une réponse claire, une de plus
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Débateur
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Citation : Oui, il y en a qui pense que la liberté absolue n'existe que dans la mort... C'est ce que je pense , pour moi la liberté absolut ne peut se trouver que dans la mort . C Q F D , sans éxistance , aucune contraintes physique ou psycologique .
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Modératrice
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krokiller a écrit : La liberté, ce ne devrait pas être quelque chose que l'on conçoit par rapport à l'autre, mais pour soi-même. Tout à fait juste Kro.... |
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Modératrice
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Majo a écrit :
Mais, pour moi il n'y a rien après la mort, rien ne peut pas être la liberté... |
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Débateur
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Citation : Mais, pour moi il n'y a rien après la mort, rien ne peut pas être la liberté... Je crois au contraire , que rien est ce qui se rapproche le plus du concepte de liberté . Car le jour de nôtre naissance a la premiére connextion neuronalle permettant a notre cervau d'émettre notre premiére pensée , nous sommes déja tributaire de celle ci .
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Consul Honoraire
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Majo a écrit :
Bien sûr... cela est juste. Mais cela te permet d'être toi, aussi. Je pense qu'il faudrait que chacun définisse ce qu'il entend par "liberté". Dans le cas que tu décris: le rien. "Rien" n'est, à mon sens bien sûr, pas une liberté. Ce n'est "rien", effectivement. Car la liberté est -forcément- quelque chose, est cela est logique (sauf dans ton raisonnement; mais peut-être que c'est une certitude que tu as, et donc qu'un raisonnement n'est pas valable pour toi): mais... une liberté, "la liberté" sous-entend, de par ce qu'elle est, qu'il peut (doit) y avoir oppression (sinon le mot n'a pas lieu d'exister non plus, non? On est libre par rapport à quelque chose... soi-même en ce qui me concerne). Je veux dire que l'idée de liberté est quelque chose qui a son contraire aussi: Pour faire simple "libre-emprisonné", 2 extrêmes. en considérant que la liberté se trouve dans le "rien", l'antagonisme n'est pas. Ce qui veut dire, en soi (?), que la liberté du rien serait -neutre-. La liberté n'est rien, ni libre ni emprisonné, puisqu'en soit, elle n'est rien, elle EST -Rien-. en cela, peut-être as-tu raison, tout est rien. Je ne contredis pas cette affirmation. Mais dans ce cas-là, le terme "liberté" n'est pas approprié. et ce ne peut être une "délivrance" non plus, puisque l'idée de délivrance implique un quelconque bien-être... en étant dans le "rien", le bien-être n'est pas là non plus (ni le mal-être d'ailleurs... qui renvoie au besoin de liberté). Tout est neutre... "Rien" je veux bien, mais tu ne pourra pas en jouir non plus. Où est la liberté là-dedans? Cela m'intrigue, j'aimerais avoir une explication. Qu'elle est cette liberté dont tu parles? J'aime apprendre de nouvelles choses, je suis tout ouïe. encore une réponse claire, une!
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Beau Parleur
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Il y a peut-être une dimension difficile à aborder : la liberté pour soi si elle ne s'inscrit pas relativement aux autres, on peut avancer que le lien social sera difficile et pourtant ce lien fait partie intégrante de ce qui nous constitue, comme par exemple venir sur ce forum.
Plus haut je parlais de l"humain " à la condition de l'autre", plutôt qu'un long discours je vais l'illustrer par cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?hl=fr&v=MBv6SkDgo ... re=related J'appelle cela "petits bouts d'unions", celle qui jalonnent toute la vie, celle où nous faisons des concessions sur une partie de notre liberté pour que vive aussi l'altérité. Bisous à tous ( c'est ma soirée Chrétienne en avance sur Noel )
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