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Auteur | Message |
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Grande Pipelette
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Voyons ce que vous en faites...très difficile je pense...il est composé de tellement de figures de styles (
![]() Le dormeur du val C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit A. Rimbaud miam miam!! |
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Bavard impénitent
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Ouai trop cool maci Lucy
![]() Le vaisseau d'or Ce fut un grand Vaisseau taillé dans l'or massif : Ses mâts touchaient l'azur, sur des mers inconnues; La Cyprine d'amour, cheveux épars, chairs nues, S'étalaient à sa proue, au soleil excessif. La navette d'or Elle était spacieuse cette navette moulé dans l'or massif, Ses bras touchaient l'azur, par de la des eaux vierge, La cyprine d'amour, crinière épars, épiderme nus, S'étendaient à sa proue, au rayon solaire excessif, Mais il vint une nuit frapper le grand écueil Dans l'Océan trompeur où chantait la Sirène, Et le naufrage horrible inclina sa carène Aux profondeurs du Gouffre, immuable cercueil. Cependant, il arriva au claire de lune le grand écueil, Dans l'Océan imposteur ou s'égosillait la Sirène, et L'affreux naufrage abaissa sa carène, Aux abysses du gouffre, immuable cerceuil, Ce fut un Vaisseau d'Or, dont les flancs diaphanes Révélaient des trésors que les marins profanes, Dégoût, Haine et Névrose, entre eux ont disputés. Ce fut un navire de diamants, dont les cotés diaphanes, Donnaient des merveilles que les loups de mer profanes, Déception, Rage, et Névrose, entre eux ont disputés. Bas dis donc ya plein de mots que je connais pas je vais devoir faire une MAJ de mon vocabulaire trop balaise pour moi le texte enfin pas tout mais je reconnais qu'il y a plein de mot nouveau pour moi. ![]() Que reste-t-il de lui dans la tempête brève? Qu'est devenu mon coeur, navire déserté? Hélas! Il a sombré dans l' abîme du Rêve![/quote] Je préfère le Comment au Pourquoi...... |
Bavard impénitent
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![]() Pour les autres textes je jouerais demain hihi je suis un peu trop KO Je préfère le Comment au Pourquoi...... |
Modératrice
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![]() ![]() ![]() Il faut être perdu, il faut avoir perdu le monde, pour se trouver soi-même. (Henry David Thoreau) |
Anonymous
Disparu(e)
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Dans un miroir
A travers la glace Trop grand pour moi Largement disproportionée en regard de ma taille J'ai vu mes yeux J'observai mon regard Baigner dans du liquide Barbotant dans un fluide Je n'ai pas cru d'abord A priori dubitatif En mon chagrin Quant à ma peine D'autant que je ne pleure Car je ne larmoie Plus jamais A present en aucune circonstance Mais en fouillant Cependant explorant Juste un peu plus A peine d'avantage J'ai trouvé des motifs Des motivations m'apparurent Bien assortis Tout à fait recevables Et des raisons plus qu'intéressantes et des justifications pertinantes Pour comprendre ce qui m'arrive Me permirent d'assimiler les raisons de mon etat du moment C'est qu'il ne m'arrive plus rien En effet ma vie est morne Tous les jours de mon âge m'ont endormi quotidienement je me suis au fil du temps assoupi Jamais plus rien Le neant absolut et definitif Plus de voyages, presque plus d'amis Aucunes périgrination,quasi plus de complices bienveillants C'est très restreint C'est on ne peut plus étriqué En termes de loisirs et de plaisirs Concernant les distractions et les jouissances Alors dans ce miroir Du coup ,dans le reflet qui me faisait face Trop grand pour moi Bien trop imposant en regard de ce que je suis J'ai vu ma bouche Je remaiquai que mes lévres Dessiner un sourire esquissaient une risette Je n'ai surtout pas cru bien improbable à mon sens En ma deuxième chance Eut été une deuxiéme possiblité de rejouer ma vie D'autant que je ne gagne Car je suis perdant Jamais à rien dans toutes mes entreprises Mais en y songeant Cependant,si on y regarde Juste un peu plus de maniere plus approfondie Et sachant que ça fera mal en pleine conscience des douleurs engendrées j'ai décidé de changer J'ai choisi le renouveau Que peut-il se produire de pire.... En effet est il abime plus profonde... Que rien ? Que le néant? Et je crois que tout arrive Je suis persuadé que l'horison des possible est infini Tout vient à Rien n' est inenvisageable pour Qui sait mourir Celui qui est apte a disparaitre dans la mort Pour mieux revivre Afin de ressuciter Ce n'est pas sans peine Ce n'est pas aisé Je crois qu'on revient mieux Il me semble que la regenerescence est meilleure Après le deuil de soi-même Si elle est consecutive d'une mort de son etre passé Que tout vient Rien n'est refusé À qui sait mourir A qui est capable de trepasser Pour mieux revivre Afin de renaitre plus fort Ce n'est pas sans peine Cela coute Je crois qu'on revient mieux Je suis persuade de la superiorite de la renaissance Après le départ de soi-même Une fois que l'on s'est absente de soi même Que tout vient Que rien n'est refusé À qui sait mourir A celui qui est capable de trépasser Pour mieux revivre afin de sublimer la vie |
Modératrice
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wow Arlette, super...
![]() ![]() Il faut être perdu, il faut avoir perdu le monde, pour se trouver soi-même. (Henry David Thoreau) |
Consul Honoraire
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Me plaît bien ce jeu... saurais-je y jouer?
pas ce soir mais je repasse ici, promis! ![]() HTLLTD Du sollst niemals vergessen, danke zu sagen. |
Modératrice
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o.k, je suis certaine que tu seras un champion!
![]() Il faut être perdu, il faut avoir perdu le monde, pour se trouver soi-même. (Henry David Thoreau) |
Bavard impénitent
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B A U D E L A I R E
L E S A V E U G L E S Contemple-les, mon âme; ils sont vraiment affreux ! Pareils aux mannequins; vaguement ridicules; Terribles, singuliers comme les somnambules; Dardant on ne sait où leurs globes ténébreux. Leurs yeux, d'où la divine étincelle est partie, Comme s'ils regardaient au loin, restent levés Au ciel; on ne les voit jamais vers les pavés Pencher rêveusement leur tête appesantie. Ils traversent ainsi le noir illimité, Ce frère du silence éternel. O cité, Pendant qu'autour de nous tu chantes, ris et beugles, Eprise du plaisir jusqu'à l'atrocité, Vois! je me traîne aussi ! mais, plus qu'eux hébété, Je dis : Que cherchent-ils au Ciel, tous ces aveugles ? |
Anonymous
Disparu(e)
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B A U D E L A I R E (Beau de look)
L E S A V E U G L E S (Les mal voyants) Contemple-les, mon âme; ils sont vraiment affreux ! Regarde ça ma poule, ces tronches de cake ! Pareils aux mannequins; vaguement ridicules; Des clones de la Bruni; limites graves; Terribles, singuliers comme les somnambules; Craignos, raides défoncés; Dardant on ne sait où leurs globes ténébreux. Avec les Ray-ban en dedans. |
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