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coco a écrit : 
sur ce , beau capitaine, je vais reposer ma neurone surmenée par tant de réflexion crépusculaire !

mes hommages de la mi-nuit , beau brun ténébreux , hummmmmmmmmmmmmmm ! Yeux au ciel avec le sourire

Eh bien... Rougi Rougi Rougi
Merci..tu es charmante toi aussi, sous entendu que je crois que je le suis.. Hihihi!
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coco a écrit : 
c'est bien de t'interroger mais trouveras tu les réponses ? Clin d’œil

et l'incertitude n'est elle pas au final plus intéressante et passionnante qu'une réponse aléatoire !



si tu lisais tout mon post !
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coco a écrit : 
coco a écrit : 
c'est bien de t'interroger mais trouveras tu les réponses ? Clin d’œil

et l'incertitude n'est elle pas au final plus intéressante et passionnante qu'une réponse incertaine !



si tu lisais tout mon post !

Ah pardon...des fois...tes posts sont masqués en parti..comme si tu utilisais une balise bbcode qui rendait une partie du texte invisible... Hihihi!
Bonne nuit..coco... Clin d’œil
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John Gouze a écrit : 
coco a écrit : 
sur ce , beau capitaine, je vais reposer ma neurone surmenée par tant de réflexion crépusculaire !

mes hommages de la mi-nuit , beau brun ténébreux , hummmmmmmmmmmmmmm ! Yeux au ciel avec le sourire

Eh bien... Rougi Rougi Rougi
Merci..tu es charmante toi aussi, sous entendu que je crois que je le suis.. Hihihi!




leçon N° 1

croire en soi avant toute chose !! Clin d’œil


bonne nuit, el capitan de mi corazón Rougi
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coco a écrit : 
John Gouze a écrit : 
coco a écrit : 
sur ce , beau capitaine, je vais reposer ma neurone surmenée par tant de réflexion crépusculaire !

mes hommages de la mi-nuit , beau brun ténébreux , hummmmmmmmmmmmmmm ! Yeux au ciel avec le sourire

Eh bien... Rougi Rougi Rougi
Merci..tu es charmante toi aussi, sous entendu que je crois que je le suis.. Hihihi!




leçon N° 1

croire en soi avant toute chose !! Clin d’œil

Leçon N°2
t l'incertitude n'est elle pas au final plus intéressante et passionnante qu'une réponse incertaine !
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j'ai modifié" incertaine" en "aléatoire" , terme plus adéquate !




mais cette réflexion de s'applique pas à la personnalité de l'être , qui pour s'épanouïr et pouvoir se poser des questions sur ce qui l'entoure et l'intéresse , doit avoir libérer son esprit de certaines pollutions ....
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coco a écrit : 
j'ai modifié" incertaine" en "aléatoire" , terme plus adéquate !




mais cette réflexion de s'applique pas à la personnalité de l'être , qui pour s'épanouïr et pouvoir se poser des questions sur ce qui l'entoure et l'intéresse , doit avoir libérer son esprit de certaines pollutions ....

On en parlera autour d'une coupe..coco...
Bizz.Je vais au pieu... Clin d’œil
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Perso, j'approuve Linko... et John.

La finalité n'est pas l'essentiel, du moins ce n'est pas ce qu'on se dit pour vivre.
Ou encore, ce n'est pas ce qu'on se dit pour vivre, mais c'est ce qu'on se dit pour avancer dans la vie, pour vivre.
Ou encore, c'est un tout. Il n'y a que les cons qui ne changent pas, dit-on...

Finalité ou non, nous vivons. C'est de cela qu'on doit se "servir" enfin c'est cela qu'on devrait "apprivoiser".
Et en tirer un juste milieu.
Ni animal soi-disant "inconscient", ni être (humain) suprême qui voit plus loin que l'horizon.

John, peut-être es-tu trop catégorique, trop "carré" dans tes affirmations sur ce topic; ou simplement peut-être (vu la complexité, si si) du topic) il n'est pas évident de trouver les mots justes pour exprimer le fond de sa pensée.
Linko, pour ma part, l'exemple de l'enfant ne me paraît pas approprié, car en soi, comme tu dis, il a cette capacité d'imaginer.
Or, en "grandissant", non pas qu'on imagine moins (du moins la capacité à le faire est toujours là), mais certainement que en étant -enfant- (donc ce que cela sous-entendant, surtout en tant qu'exemple) il me paraît peu probable de faire une différence nette entre "imaginaire" disons pur et simple, insouciant; et "imaginaire" -retravaillé- par la vision grandissante de ce que l'on est... ben vraiment. Le fait d'aller en avant.

Et pour Coco, et tous d'ailleurs sur ce topic, oui: apprivoiser la mort me paraît une chose essentielle. Un enfant en tant que tel ne peut objectivement pas le faire. Je veux dire en tant qu'exemple-type. Pas un cas particulier, bien sûr.

Aucune maladresse dans mon texte j'espère, je ne fais que reprendre les idées lues et donner mon avis Clin d’œil .

Et pour moi, donc, langage et communication sont à dissocier, oui. Enfin, le langage est une forme de communication, c'est ça. Une sous-partie de la communication.

Et c'est effectivement (pour ma part, d'accord? Clin d’œil ) adulte qu'on se refuse (généralement) la part de rêve de soi ayant été jeune.
Ce qui me ramène à cette idée de Peur.

Qui vient d'une prise de conscience.
Une chose classique: peur de l'inconnu, mais aussi peur de ce changement, du fait de, peut-être pas savoir, mais du moins deviner, voir qu'il est -plausible- que "je" n'a pas de raison d'exister en soi.
"Je" existe, on existe... et puis voila.
Et ça c'est inquiétant. Le fait de ne pas être sûr... c'est très désagréable de se dire "je suis, oui, mais je n'ai pas une raison particulière d'être". Résultat? On se trouve des raisons... L'enfant ne se -trouve- pas des raisons pour justifier son existence, il se -donne- une raison pour le plaisir, le jeu.

Et ce qui amène, selon moi toujours, à l'auto-destruction "immortelle", c'est cette symbiose imparfaite entre faire quelque chose de "bien" nécessitant fatalement un "mal" pour un autre. Et par ce rouage complexe, fatalement le mal pour soi, car il me paraît inconcevable de faire quelque chose sans... comment dire... créer sans détruire.
Mais je pense que c'est dans l'ordre des choses, en fait. Comme qui dirait: ça se tient.
Et puis, ne pas être sûr, ça motive pour avancer aussi? Sans même savoir? curieux mais vrai, non?

Enfin, à voir... pour sûr... Clin d’œil... qu'il faudrait au moins 59 topics différents en psycho, philo et religion pour escompter voir une once de lumière pour répondre "plus ou moins" à la question de départ
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Premier Consul
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D'ailleurs, un des premiers jeux de l'enfant est de jouer au mort..abattu par une balle fictive d'un revolver en plastique..
Cette capacité qu'à l'enfant , très vite, à dédramatiser la mort , prouve bien qu'il n'en a pas forcément conscience..
D'ailleurs, toutes les sornettes que l'on raconte aux enfants pour leur expliquer la disparition d'un proche..il reste que la douleur de l'absence, pas forcément la représentation réelle et matérielle de cette mort...
L'Homme enterre ses morts pour des raisons ancestrales sans doute liée aussi à l'incapacité de regarder le corps d'un proche dévoré par les animaux..un signe de respect du corps..mais l'animal se cache souvent pour mourir..comme si la conscience de sa propre mort l'obligeait à fuir le regard de ses congénères dans un accès de pudeur... Déçu(e) ou triste
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Beau Parleur
John Gouze a écrit : 
D'ailleurs, un des premiers jeux de l'enfant est de jouer au mort..abattu par une balle fictive d'un revolver en plastique..
Cette capacité qu'à l'enfant , très vite, à dédramatiser la mort , prouve bien qu'il n'en a pas forcément conscience..
D'ailleurs, toutes les sornettes que l'on raconte aux enfants pour leur expliquer la disparition d'un proche..il reste que la douleur de l'absence, pas forcément la représentation réelle et matérielle de cette mort...
L'Homme enterre ses morts pour des raisons ancestrales sans doute liée aussi à l'incapacité de regarder le corps d'un proche dévoré par les animaux..un signe de respect du corps..mais l'animal se cache souvent pour mourir..comme si la conscience de sa propre mort l'obligeait à fuir le regard de ses congénères dans un accès de pudeur... Déçu(e) ou triste


J'ai trois enfants, quand un enfant arrive sur ses 4 ou 5 ans, la mort est une grande préoccupation pour eux, ils sont une conscience aigue de la disparition d'un proche et leurs questions en témoignent.
Les réponses qui leurs sont faites témoignes aussi de l'angoisse de l'adulte à pouvoir répondre sur ce qu'il ne sait pas.

Quand un dialogue s'engage alors avec cet enfant, le questionnement le plus intense porte autour de ce que devient le corps d'un défunt, une réponse toute simple peut intervenir, en expliquant que ce corps n'est plus vivant et qu'ainsi la personne n'en a plus "besoin" et qu'il va aller en terre comme toutes les choses du vivant retourne à la terre.

Puis l'enfant demandera sans doute où est "partie" cette personne qui n'avait plus besoin de ce corps, la réponse que j'ai faîte à chaque fois et ce n'est pas une grande nouveauté : il est parti au ciel...

Non pas le ciel religieux, le ciel en écran, celui vers lequel on peut lever les yeux et qui dans un flot de bleu nous barre l'accès à l'indicible, l'enfant quand il reçoit ces paroles simples sait pratiquement d'instinct qu'au delà du ciel : on ne sait pas....
Ainsi il trouve les limites à ce qui participe du vivant et la vie, pour la vivre, doit s'inscrire entre deux limites : la naissance et la mort, dans ces deux cas nous ne pouvons savoir où nous étions éventuellement avant et nous serons éventuellement après, et ce n'est rien de le dire...
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