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Auteur | Message |
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zen a écrit :
C’était bien Homo Sapiens, il y a 13500 ans, d’après le cinquième épisode d’une série documentaire d’ARTE, postée par Zen, ici : Re: Homo‑Sapiens n’a pas fait que rencontrer Néandertal, message du Lundi 19 Octobre 2015. Le plus ancien Américain connu, est une Américaine nommée Éve de Na’arone, qui vivait dans l’actuel Yucatán, il y a 13500 ans. Une pointe de lance dans un os d’omoplate vieux de 13800 ans, fait remonter à encore avant les tout premiers Américains, mais aucun individu n’a été retrouvé. ![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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En plus d’une route commerciale vers l’Inde, Christophe Colomb, a aussi dit vouloir découvrir un chemin vers Jérusalem en passant par l’ouest.
![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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À Kensington dans les actuels États‑Unis, un fermier du nom de Olof Ohman, dans la seconde moitié des années 1800, a découvert une pierre coincée dans les racines d’un peuplier en le déracinant.
Cette pierre portait des inscriptions runiques difficiles à traduire. Des linguistes ont surmonté la tâche. Le texte sur la pierre est le témoignage d’un événement triste vécu par des. Scandinaves ayant établit un campement dans la région. Il y a surtout une date : 1362. Le texte traduit, d’après le documentaire plus‑bas : Pierre de Olof Ohman a écrit : Huit Goths de Suède et vingt‑deux Norvégiens, dans un voyage d’exploration à l’est du Vinland. Nous avons monté notre camp. Une journée de route au nord de cette pierre. Nous sommes partis pêcher. À notre retour, nos hommes étaient rougis par le sang, morts. Ayez pitié de leurs âmes. Certains partent s’occuper de nos navires. Une expédition de quatorze jours depuis cette île. L’an 1362. Quand le texte dit « nos hommes étaient rougis par le sang, morts » : il est supposé que c’était la peste, pas une agression. L’authenticité de la pierre fait rapidement débat, à cause de la présence d’éléments linguistiques dans l’inscription, supposés ne pas encore exister à la date donnée par l’inscription. Puis en 1890, un géologue Américain reconnu, Newton Winchell, effectue une datation approximative (les moyens de l’époque) de la pierre d’après sa composition, concluant qu’elle n’est pas une contrefaçon (le documentaire ne donne malheureusement pas de détails sur l’analyse effectuée). Malgré cela, des gens restent septiques. En 2000, Scott Walter, un géologique contemporain, reconnu lui aussi, étudie la pierre et conclut que les inscription sont authentique mais que le fond de leur sillon a été gratté tardivement avec un objet dur et pointu. C’est probablement Ohman, qui après avoir découvert la pierre, a voulu préserver les inscription en les rendant plus lisibles. Cette combinaison de deux travaux sur la pierre, la gravure d’origine et son léger re‑creusage par la suite, ont put contribuer à faire planer un doute alors que la pierre et son texte sont authentiques. Le secret des Templiers — A&E Television Networks — 2009 ![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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D’après le même documentaire, quand Christophe Colomb a préparé son expédition vers le Nouveau Monde, il était en contacte avec un ordre de Templiers Portugais, nommés Chevaliers du Christ. C’est un lien intéressant.
Un autre fait intéressant, est que les premières expéditions de templiers auraient en parti succombé à la peste, et l’aurait donc amené avec elles, via des rats qui s’étaient caché dans les navires. Ors, il a été dit précédemment dans ce sujet, que les conquistadors, n’avaient rencontré que peu de résistance autochtone, au point de croire que la région étaient inhabitée. Si les précédentes expéditions de templiers un siècle avant Colomb amenaient la peste, elle ont probablement contaminé les autochtones, et par là, décimé. C’est historiquement cohérent, car aux ⅩⅣᵉ siècle, l’Europe (d’où sont partis ces Templiers à cette même époque) connaissait l’épidémie dite de La Peste Noire, la pire épidémie de peste de l’histoire. Voir : Le moyen‑âge — les épidémies et les pestes (cosmovisions.com), 2004. ![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Hibou a écrit : […] Cette question a son propre sujet : Pourquoi les Amériques paraissaient‑elles vierges aux colons ? ![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Si les Chinois ont vraiment découvert les Amériques en premier, ce serait par l’océan Pacifique et arrivant sur les côtes de l’actuel Mexique.
![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Le peuple de Mu (de l’île de Pâques), aurait lui aussi découvert les Amériques avant Christophe Colomb.
En fait Christophe Colomb était le dernier à avoir découvert les Amériques ![]() ![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Ce serait un certain Amerigo Vespucci qui a donné son nom aux Amériques : Amerigo Vespucci : Un nom pour le Nouveau Monde (americas-fr.com).
![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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Il est suspecté que des Homo sapiens seraient arrivés sur le continent Américain, au Brésil, il y 25 000 ans. Cette présence il y a 25 000 ans reste à confirmer, mais une présence humaine au Brésil il y a 12 000 ans, est tenue pour assez certaine.
![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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À ce jour, il semble que la plus ancienne découverte des Amériques en passant par la mer, en bateau, et en revenant à son point de départ, a été faite par des Polynésien‑ne‑s (genres non‑déterminés, ça n’a pas d’importance) il y a environ 1000 ans.
Plusieurs indices concordent. Ils sont linguistiques, génétiques et archéologiques. La linguistique semble confirmer que les Polynésiens ont ramené la patate douce des Amériques, à la fois du sud de l’Amérique du nord et du nord de l’Amérique du sud, parce qu’ils l’ont tous appelé très tôt, d’une manière proche de celle dont elle était appelée à l’origine dans ces régions d’où elle est originaire. La génétique confirme que la patate douce provient bien à l’origine des Amériques, parce que c’est là que se trouve sa plus grande diversité, est que celles qui ont été découvertes pas les Européens en Polynésie, provenaient en fait des Amériques. Des clones qui ont été perpétués jusqu’à notre époque, initialement ramenés par un certain James Cook (sans jeux de mot, c’est son vrai nom), ont permis de l’établir. Mais ce n’était pas encore assez pour avoir assez de certitudes, le mieux étant toujours des traces archéologiques pouvant être datées. C’est la découverte qui a été faite à Tangatatau, une île de l’archipel des Îles Cook, elle‑même en Polynésie occidentale. Des restes de patates douces carbonisées, ont été découvertes dans des strates pertinentes, c’es à dire pouvant être datées et contenant des artefacts typiques de l’époque en Polynésie. Les artefacts ont été datés (et on peut imaginer que leur nature était concordante) et les morceaux de patates douces carbonisées, ont aussi put être datées par eux‑mêmes, donnant un résultat en accord (peut‑être la strate du sol aussi). Le tout a été daté d’il y a 980 avant l’époque contemporaine, à plus ou moins 70 ans près, ce qui fait environ l’an 1000, soit il y a environ 1000 ans, soit environ 500 ans avant Christophe Colomb. Évidemment, si quand des Polynésiens y sont allé par la mer, ils ont rencontré d’autres humains et avoir des échanges culturelles avec eux, c’est que des humains étaient déjà confortablement installés là. C’est justement ce qui était rapporté dans le message précédent celui‑ci. La différence est que les circonstances n’étaient pas les mêmes. C’était peut‑être plutôt à pied (et même probablement) pour les humains arrivés là il y a 12 000 ou 20 000 ans, peut‑être de manière hasardeuse, sans retour, au cours d’une migration qui a peut‑être durée des siècles ou des millénaires, sans vouloir dire du mal de cette aventure humaine et des gens qui l’ont vécu et réalisés. Les Polynésiens, apparemment réputés être de bon navigateurs, y sont allés plus directement et sont ensuite rentrés en rapportant des découvertes qu’ils avaient faites (et apparemment aussi, sans faire aucun massacre là‑bas, au contraire des Européens). D’autres lieux sont concernés par la même aventure, comme les Îles Hawaï et l’île de Pâques, situées elles aussi dans la même région de l’océan Pacifique. On peut imaginer qu’ils avaient les mêmes talents pour la navigation, vu l’environnement : des petites îles au milieux du plus grand océan sur Terre. C’est un résumé de l’allocution documentaire ci‑dessous, qui rapporte plus de détails. Remarque : il est mentionné une expression qu’on peut croire mal entendre, faute de l’avoir déjà entendu avant, il s’agit de « la navigation hauturière ». Le mot se comprend comme la navigation en haute mer sans compter sur des côtes en vus pour se diriger, comme le fait la navigation côtière. Ça signifiait que les Polynésiens naviguaient peut‑être avec le ciel et des repères temporels et avec assez de précision pour pouvoir rentrer, parce que en naviguant en mer sans vus sur les terres, sans GPS de notre époque, il n’y a pas vraiment d’autres solutions possibles. Cette plante prouve que Christophe Colomb n’a pas découvert l’Amérique ; les Tahitiens, si — Passé Sauvage — 29 Mars 2023 En marge, d’après l’auteure de cette vidéo, la théorie de la découverte des Amériques par des Chinois, ne semble que très peu corroborée. ![]() Hibou57 « La perversion de la cité commence par la fraude des mots » [Platon] |
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