Jardinage : supports de culture et cultures

Certaines variétés de menthe, sont stériles pour cette raison le semis est rarement pratiqué et lui sont préférés le bouturage ou la plantation de gros morceaux de racines.

C’était le 25 Février.

L’avoine a été récoltée aujourd’hui 7 Juillet. Je n’ai pas encore séparé le grain de la glume, je ne donne que le poids de glume avec son grain, pour l’instant : 7 Kg 500 sur 100 m², ce qui est peu. Même si c’est peu, j’ai bon espoir que le poids de grain sera au moins suffisant pour le semis de l’année prochaine en m’en laissant un petit peu pour la goûter. J’indiquerai le poids de grain un jour prochain, quand je l’aurai séparé de la glume et vanné, ce qui va être long comme je fais ça chez moi.

En moyenne il y a sur un pied d’avoine, environ de 13 à 40 glumes contenant chacune de 2 à 3 grains. Les plus petits pieds à maturité faisaient environ 40 à 45 cm et les plus grands, environ 1 m 10. Alors que presque toute l’avoine était à maturité, malgré quelque glumes n’y étant pas tout à fait, il y avait une multitude de petit pieds d’avoine encore en fleur. J’ignore la raison de ce grand décalage qui est en tous systématiquement accompagné d’une petite taille d’environ 30 cm.

Je n’attendrai pas que ces pieds arrivent à maturité, je ne suis même pas sûr qu’ils feront du grain, la paille sera coupé et grossièrement hachée à la binette et laissée sur place, y compris ces tout petits pieds qui n’ont encore même encore commencé à faire du grain.

J’ai divisé la récolte en trois sacs, correspondant chacun à un tiers de la surface. Sur un des tiers, le poids de glume est 50 % supérieur à celui des deux autres qui sont exactement égaux ou à 10 g près !

Je ne donne pas de détails sur ce qui me le fait penser, mais je crois que plus d’eau aurait été profitable, ce qui me suggère pour l’année prochaine, de semer l’avoine plus tôt : je tenterai le 15 Février.

Séparer le grain de l’avoine de ses glumelles, s’avère plus laborieux que je ne le pensais. J’en dirai plus après par la suite, mais pour l’instant à partir de 50 g de glumes avec leurs grains, j’obtiens en arrondissant au gramme, entre 36 et 37 g de grain et entre 13 et 14 g de paillette de glumelle.

Si cet échantillon m’a donné un résultat représentatif, je devrais donc avoir plus ou moins 5 Kg 500 de grain, soit deux fois moins que je ne l’espérais, mais ce qui s’est avéré prévisible, comme l’avoine a mal poussé dans des zones dont l’ensemble correspondait à environ la moitié de la surface cultivée. Dans de bonnes conditions, il me semble crédible de pouvoir compter sur une récolte de 10 à 12 Kg de grain pour 100 m².

J’en dirai plus avec des détails, mais ça va me prendre du temps. C’est laborieux de le faire à la main, il faudra mettre un point un système pour le mécaniser même s’il est actionné à la main.

De la pluie, enfin !

L’année dernière, les bois des pommes de terre avaient été couchés plusieurs fois par des grosses pluies ; cette année, je crois que c’est la première pluie qu’elles voient qui ne vient pas de l’arrosoir.

L’idée de séparer les lignes de pommes de terre pour empêcher la propagation du mildiou, n’est pas si bonne. Quand le mildiou est présent dans l’environnement, il atteint les lignes quoiqu’il en soit. De plus, séparer les lignes pose un problème avec les bois qui tombent sur les lignes voisines ; mais si les bois ne tombaient pas, ce problème ne serait plus. Un avantage quand‑même à séparer les lignes, c’est que ça réparti la culture des pommes de terre et réparti donc la charge qu’elles représentent pour le sol. Quand je parle de charge, je parle de ce qu’elle prennent dans le sol. Pour cette dernière raison, je retenterai quand‑même des lignes séparé l’année prochaine, en faisant juste attention à ce que je mettrai à côté des lignes de pomme de terre. Je choisirai des cultures qui n’empêchent pas l’inspection des feuilles des pieds pommes de terre. Il faut en tous cas éviter des cultures qui ont elles aussi tendance à tomber, comme les pois.

Éviter le mildiou en coupant les feuilles présentant un début d’attaque, semble assez efficace. Les plants semblent bien dégarni, mais l’année dernière au 3 Juillet, tout était massacré par le champignon, et cette ils sont encore en assez bon état, quoique dégarnis.

Les planter dans une sorte de petit fossé rempli quand elles ont grandit, s’est avéré être une plutôt bonne idée. C’est plus commode de les butter en comblant un petit fossé qu’en faisant une butte autour des pieds.

Les semis sur mini‑talus ne sont pas une bonne idée. J’y avais pensé pour les cultures qui n’aiment pas avoir les pieds à l’humidité. Mais il leur faut de l’eau pour germer quand‑même, le haut des mini‑talus à tendance à être sec. Les mini‑talus, c’est à réserver pour les repiquage. Par exemple repiquer des oignons sur des mini‑talus pourraient aller, mais des mini‑talus pour des semis d’oignons, donne une mauvaise levée.

Mais ça peut être une autre raison. À cet endroit en début d’année dernière, des gens avaient fait un énorme feu et il y avait eu beaucoup de cendre de feu de bois, du saule surtout. C’est peut‑être autant ou plus un effet de la cendre de bois.

À la fin de l’année, je répandrai de la cendre de bois sur le sol, je verrai bien le résultat l’année prochaine.

Peut‑être que l’intérêt de la cendre de bois n’est pas une légende.

À revoir à la baisse. Le taux du poids de grain semble plutôt être aux environs de 69 % du poids de glume.

Je n’ai séparé pour le moment, que 267 g de grain.

Je test encore le procédé de séparation, je ne le décrit pas encore.

Dans la vidéo ci‑dessous, sont indiqués deux détails pour distinguer les pieds de blé, d’orge et de seigle. L’orge et le seigle se distinguent du blé à ce que leurs épis sont nettement tombant ; ceux du blé se courbe en crosse mais ne tombent pas. Les pieds de seigle se distinguent de ceux de l’orge et du blé à ce qu’il sont nettement plus grand.

Comme rappelé ici, les pieds d’avoine sont faciles à reconnaître, ils forment des glumes au lieu d’épis. Une avoine est monté dans la vidéo, c’est de l’avoine noire, elle n’est pas courante, mais le port de toutes les avoines est le même, y compris celui de l’avoine sauvage.

Du blé au pain — C’est Pas Sorcier — 2015

Dans la première vidéo ci‑dessous, il est mentionné que des batteuses tournent à entre 800 et 1 000 tours par minute. Dans la seconde vidéo ci‑dessous, il est précisé en tenant compte du diamètre du cylindre constituant l’essentiel de la batteuse, que la vitesse de rotation correspond à une vitesse de déplacement de 15 à 20 mètres par seconde.

Dans la première vidéo, le nombre de tours par minute est plus important que dans la seconde. Ça peut s’expliquer par le fait que dans la première vidéo, la batteuse est plus petite que dans la seconde, que alors il faut un plus grand nombre de tours par minute pour arriver à la même vitesse de déplacement des éléments sur le cylindre.

La vitesse est sûrement plus pertinente que le nombre de tours par minute.

Battage à l’ancienne — Frédéric Lavail — 2011


Bien connaître les réglages d’une moissonneuse‑batteuse — Arvalis TV — 2014