La journée de la jupe

Oui, il est bidon parce qu'il y a absence d'un diagnostic basé sur des statistiques incontestées et vérifiables. L'auteur se base uniquement sur des faits anecdotiques. Il agit comme les tabloïdes.

Mais bon, pour les petites merdeuses racistes de ton espèce, le simplisme est sécurisant.

Inutile d'en venir aux insultes, c'est toujours une preuve de faiblesse cet article t'agace car il est au contraire fort bien argumenté et tu lui donnes absolument raison lorsque à la moindre opposition tu assènes l'argument du racisme....

Si tu cherchais réellement à dialoguer, tu te baserais sur des statistiques et des faits réels au lieu de te référer à un commentaire basé plus sur la perception de son auteur, une personne de droite, et même d'extrême droite.

Ce commentateur aurait d'ailleurs gagné à identifier les problèmes réels et à chercher à en identifier les causes, plutôt que de se confiner sur le plan de l'émotion et du populisme.

Pourrais-tu me communiquer les statistiques sur lesquelles tu te bases ?

L'auteur se base uniquement sur des faits anecdotiques.

Nana merdeuses racistes??

Tu te trompes complètement là...

De vrais articles :

La « racaille » et les « vrais jeunes. Critique d’une vision binaire du monde des cités

http://www.liens-socio.org/article.php3?id_article=977

Médias et banlieues : les faisandeurs d’opinion

http://www.acrimed.org/article2251.html

Quartiers populaires : la vision médiatique (1990-2005)

http://www.acrimed.org/article2191.html

Informez-vous !

bah lucy, c'est bien connu, lorsqu'on n'est pas d'accord avec zak, on est raciste....il pense ce qu'il veut ses insultes ne me touchent pas...

Je rappelle que "la journée de la jupe" est d'abord un film...qui n'est pas politiquement correct et qui a le mérite de soulever quelques problèmes pudiquement tus par nos médias et nos politiques par peur des réactions type zak....

Je poste donc l'interview du metteur en scène qui explique pourquoi et comment il a fait ce film...

Afrik.com : Comment expliquez-vous cette violence que l’on voit chez les élèves de Sonia Bergerac qui va finir par les prendre en otage ?

Jean-Paul Lilienfeld : Les causes en sont multiples. J’ai grandi à Créteil où nous étions alors tous mélangés. Il y avait des Noirs, des Arabes, des Juifs, des Asiatiques, des chrétiens et des musulmans. Je n’y ai jamais vu en 18 ans des gens se taper dessus à cause de leurs origines. Aujourd’hui, il y a un fort repli communautaire parce que malheureusement on a fait évolué des gens en circuit fermé. Il y aussi tous ces immigrés précaires, qui ne connaissent pas la culture française, et qui se retrouvent encore un fois à vivre en autarcie. En plus, ils ont du mal à trouver du travail, ils sont laminés par la vie, les problèmes économiques. Comment peuvent-ils alors s’occuper de leurs enfants ? Les parents n’ont pas toujours la possibilité ni la volonté de le faire. Je suis parent et parfois, pour éviter les situations conflictuelles, on laisse faire. Mais il y a aussi l’ignorance, les idées toutes faites et ce que j’appelle "la fierté de substitution". Quand on est Noir ou Arabe, c’est évident que l’on est discriminé. Cette fierté de subsitution consiste à se forger une identité parce qu’on en a pas une qui soit respectée. Les enfants se raccrochent ainsi à la religion, à une langue, à un pays dont ils ne savent pas souvent grand chose. D’ailleurs, quand ils vont dans le pays d’origine de leurs parents, on les considère comme des Français. Ils sont complètement largués. C’est une série de problèmes, une chaîne malheureuse qui conduit à cette violence. Mais la situation n’est pas pas inextricable, à condition de s’y attaquer en commençant par la dénoncer quand bien même l’on craindrait de donner des munitions aux racistes.

s'informer c'est tout lire, ce qui arrange et ce qui dérange....

J'attends toujours les statistiques.

Malhonnête, va !

Je rappelle que "la journée de la jupe" est d'abord un film... simpliste et contre-productif.

Comme le film Indigènes sans doute...