la méchanceté

oui il ne faut pas se laissé faire
mais il ne faut pas rentré dans l'exageration sinon comme tu dis sarah on le regrette apres
faut trouvé le juste milieu

oui c'est vrai que difficile de se maitrisé quand on est en colere
mais c'est deja bien de remarqué qu'apres on a exagéré
et puis c'est pas vrai t'es pas un monstre

STEFT73 a écrit : 

oui c'est vrai que difficile de se maitrisé quand on est en colere
mais c'est deja bien de remarqué qu'apres on a exagéré
et puis c'est pas vrai t'es pas un monstre

Sarah a écrit : 

STEFT73 a écrit : 

oui c'est vrai que difficile de se maitrisé quand on est en colere
mais c'est deja bien de remarqué qu'apres on a exagéré
et puis c'est pas vrai t'es pas un monstre

allez a toute a l'heure je vais allé mangé

La méchanceté est une chose qui nous est familière puisque nous en avons tous un jour subi ou fait subir l'affreuse expérience.
La méchanceté Sarah, telle que je la conçois (et sans rentrer dans les doctes et complexes définitions philosophiques) est le désir de faire du mal physiquement ou moralement à autrui. Ainsi on peut confondre cette méchanceté avec le sadisme toujours dans le sens usité et commun que nous lui prêtons.
Il est de notoriété publique que les enfants au cours de l'édification de leur personnalité, et ne sachant que médiocrement distinguer la notion de ce qui est bien de ce qui ne l'est pas, font preuve souvent d'une méchanceté deconcertante à l'egard de leurs camarades, de leurs animaux domestiques, de leurs jouets etc... Et c'est en ce cas précis que j'adhère à la théorie Platonicienne stipulant que l'on ne peut être méchant volontairement...
Mais vois tu très chère amie, lorsque tu as un intellectuel consommé parfaitement au fait du caractère funeste et douloureux d'une parole, d'une action, et qui la met en execution en depit de tout, et ce dans le seul but d'assouvir ce désir, cette pulsion se nourrissant des larmes et de la contrition d'autrui, l'on ne peut nier la composante volontaire d'une pareille infamie.
En d'autres termes, j'estime qu'à l'âge adulte, et après avoir reçu une education des plus élementaires, toute mechanceté ne peut qu'être volontaire... N'en deplaise à l'illustre Platon ! ! !


Amicalement,
Schilacci