Vendre des pissenlits au marché ?

Toute activité lucrative se paye! (et le fisc se paye notre tête...) Je connais une personne qui s'est retrouvée sans couverture sociale (même pas la CMU) pour avoir créé une micro maison d'édition: son but était de vendre sans faire de bénéfice, les fascicules qu'elle avait créés comme d'autres rêvent de publier directement leurs livrets de poèsie sur internet...

En fait, mis à part l'association à but non lucratif (loi de 1901) je ne vois guère de solution qui soit équitable.

(je suis moi-même un ex travailleur-indépendant)

ps: ce ne sont jamais les nantis qui remboursent les pots qu'ils cassent eux-mêmes!

On vire un peu dans le H.S. là . Juste pour répondre tout vite quand‑même, un témoignage vidéo posté dans un sujet l’année dernière : RSA et statut auto‑entrepreneur : « piège à con ». Alors lui, si ma mémoire est bonne, il n’avait pas gagné un seul cent, qu’il devait déjà dans les 3,000€ de taxe en tout.

Il faudra aussi que je recrée ici un sujet sur l’ADIE, et RSI, qui avait été créé il y a deux ans dans la partie politique d’un autre forum (pas La Bulle), mais qui a disparu suite à la suppression de la section politique du‑dit forum.

J’ouvrirai aussi un jour, un sujet sur l’UDAF, ça va pas être triste (c’est eux qui m’ont envoyé dans ce merdier dont je parlais, mais ils sont allé encore plus loin avec d’autres, en les volant directement eux‑mêmes).

Voilà, fin du H.S.

C'est exactement ça!

En fait le monde artisanal constitue un ensemble de travailleurs considéré pour représenter la première entreprise française en volume de chiffre d'affaires, et comme c'est plus facile à plumer... Pourquoi se gêner?

Je pourrais abonder dans ce sens par des documents comptables personnels, prouvant qu'il m'est arrivé aussi de payer plus de charges à l'URSSAF que je n’avais fait de bénéfice annuel, et relater l'obligation qui s'ensuivit d'emprunter en révolving (sans bénéf, on n'obtient pas de prêt bancaire pour se redresser) avec l'impossibilité de réintégration des intérêts dans les frais généraux, et encore moins du capital emprunté, dans le tableau des investissements amortissables...