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Je mentionnais précédemment qu’il existe avec l’avoine, une distinction entre les avoines nues et les avoines vêtues. Apparemment, le blé, lui, est toujours nu, tandis que l’orge, est toujours vêtu. Voir en bas de cette page : Histoire de céréales : le blé (blogresonnances.fr).
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Bien que déçu que son épluchure ne se cuisine pas bien, j’ai décidé de quand‑même tester la betterave rouge sans l’épluchure, que j’espérais être bonne. Une betterave brute de 415 g a donné 330 g de betterave nettoyée et épluchée, soit environ 80 % du poids de la betterave brute, soit 20 % de perte environ, ce qui est plus faible que la perte typique en épluchant des pommes de terre (que je n’épluche pas). La perte reste acceptable.

Elle est en effet nettement meilleure sans l’épluchure. Tant‑pis pour l’épluchure, il faut se faire une raison, elle n’est pas bonne avec tous les légumes, c’est tout.

Ce test m’a fait penser qu’il faudrait aussi que je teste une nouvelle fois le panais, mais en l’épluchant. Peut‑être que l’effet laxatif du panais vient de son épluchure qui ne serait alors pas bonne non‑plus …  ; réponse le moment venu.

Les saumures de betterave et de panais, ont été faites avec l’épluchure. Je verrai si la saumure rend l’épluchure plus digeste ou pas. Je précise que pour la saumure, les racines ont été coupées en dés ; réponse le moment venu.
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Le stockage à la température ambiante extérieure est suffisant pour la conversation des racines, mais à l’abris de la pluie, évidemment. Je n’ai encore pas ramené tout le panais ni toute la betterave, et j’ai put constater que les racines récoltées sont toujours en bon état (juste un peu plus molle que quand elles étaient tout juste récoltées), contrairement à des panais que j’avais ramené à la maison et oublié, devenus desséchés, alors que je ne chauffe « qu’à » 17 ℃.

Je précise que j’avais récolté pas trop tôt, vers la fin Octobre, si je me souviens bien.
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Je me demande si les souris ne repèrent vraiment la nourriture qu’à l’odorat, je crois au toucher aussi. J’avais des noisettes et des feignes en attente d’être mise en jardinière, dans un sachet en plastique bien fermé, la souris les a trouvé et a tout grignoté. Tant‑pis, de toutes manières ça faisait un peu tard pour ces derniers semis d’arbre ; l’année prochaine peut‑être.

À moins que la souris n’ait put sentir une odeur de noisette même à travers du plastique, j’imagine qu’elle a deviné ce qu’il y avait dedans au toucher, en marchant dessus.

Au passage, je confirme que le fin grillage en polypropylène suffit comme protection, le contenu des jardinières ainsi protégées n’a pas été revisité, malgré la disparition de noisettes et feignes mentionnée plus haut, qui prouve que la souris est bien repassée par là.
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La serfouette à deux dents, me semble être l’outil de jardinage le plus polyvalent (hors arrosage, évidement).
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Hibou a écrit : 
Je mentionnais précédemment qu’il existe avec l’avoine, une distinction entre les avoines nues et les avoines vêtues. Apparemment, le blé, lui, est toujours nu, tandis que l’orge, est toujours vêtu. Voir en bas de cette page : Histoire de céréales : le blé (blogresonnances.fr).

Eh bien non, la distinction nu / vêtu, existe aussi avec les variétés de blés : Les familles de blé (compagnons-boulangers-patissiers.com).
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Ça a l’air génial ce truc, ça s’appel un râteau ramasse cailloux :



Mais c’est cher (50 €) et introuvable en dehors d’une marque unique. Le balai à cailloux à l’air plus facile à trouver, même si moins pratique.
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Le blé dure a comme l’avoine, des variétés d’hiver et des variétés de printemps. Il est plus exigeant que l’avoine, par exemple plus exigeant en azote. J’ai l’impression qu’au contraire de l’avoine qui doit être cultivée sur un sol pas trop riche (sinon elle fait plus de feuilles au détriment du grain) et qui se content d’un sol peu meuble, le blé dur doit être cultivé sur un sol riche et assez profondément meuble.

Le blé dur ne semble pas adapté pour une fin de rotation. Peut‑être après une fabacée, comme les petits pois. Je me demande si une rotation petits pois suivis de blé dur suivi d’avoine, est une possibilité.

Des informations sur les blés durs, leurs caractéristiques et productivité : Blés durs, choix variétal (arvalis-infos.fr) [PDF]. C’est détaillé, ça demanderait du temps à être bien épluché. Un tableau résumant les caractéristiques se trouve à la dernière page.
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Je crois qu’avec les céréales, les variétés d’hiver sont parfois aussi appelées variétés d’automne.
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Hibou a écrit : 
En france, depuis le premier Janvier 2019, les pesticides de synthèse sont interdits à la vente et à la détention pour les particuliers. Ceci incluant et pas seulement, les pesticides à base de glyphosate.

La liste des produits désormais interdits à la vente et à la détention pour les particulier, peut être retrouvée à partir du site du ministère de l’agriculture : À partir du 1er janvier 2019, seuls les produits phytopharmaceutiques d’origine naturelle seront disponibles pour les jardiniers amateurs (agriculture.gouv.fr). Vers la fin du texte, voir le lien de téléchargement de la liste au format PDF.

Le mieux, c’est de n’en utiliser aucun ; et c’est possible avec des mesures préventives, et en cas d’échec de la prévention, en acceptant des pertes qui peuvent être supportables si on ne cultive pas trop que la même chose.

En france, au delà des seuls non‑professionnels, une récente annulation de l’autorisation de vente du Roundup Pro 360, s’applique à tout le monde, y compris aux professionnels : Glyphosate : l’interdiction d’utiliser du Roundup Pro 360 est effective (ledauphine.com), Janvier 2019. Mais le glyphosate bénéficie toujours d’une autorisation de vente dans l’Union Européenne. Affaire à suivre …
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