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Hibou a écrit : 
[…]

Éviter le mildiou en coupant les feuilles présentant un début d’attaque, semble assez efficace. Les plants semblent bien dégarni, mais l’année dernière au 3 Juillet, tout était massacré par le champignon, et cette ils sont encore en assez bon état, quoique dégarnis.

[…]

Les pommes de terre se portent assez mieux que l’année dernière, pour être encore en train de faire quelques fleurs, alors que les premières fleurs ont séché depuis longtemps et que deux pieds ont déjà formé un fruit.

Pour rappel, les fruits de la pomme de terre ne sont pas comestibles, je ne m’y intéresse que pour les graines qui s’y trouveront.
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Hibou a écrit : 
Quand ils ont chaud, les pois fleurissent trop tôt, à un moment où ils ne sont pas encore à leur taille habituelle.

Ça se confirme, ils font des cosses alors qu’ils sont tout petits, bien plus petits que ceux semés quand il faisait encore frais et qui ont été déjà récoltés il y a quelques temps.
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J’ai retenté de récolter des carottes sauvages cultivées, la racine est dure pour tous les pieds extrait. Mais je ne sais pas si c’est le constat est pertinent, comme elles ont fleurit.

C’est peut‑être parce qu’elles ont été semée tôt, qu’elles ont fleurit. Je vais les déraciner toute et en resemer sur la même ligne, pour voir si avec un semis tardif, elle ne fleurissent pas immédiatement et si la racine est plus tendre. Mais je ne les déracine pas maintenant, j’attend que leurs graines soient mûres.
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Je me demandes si les pousses de pois et de pois‑chiche résistent au gel et si oui, jusqu’à combien.
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Hibou a écrit : 
La fève n’est pas une culture commode. Non‑seulement elle attire les pucerons, est sensible à un champignon qui noircit ses feuilles et qui semble se trouver partout, en plus elle semble être au goût de certains animaux qui la dévorent par le haut (lapin, peut‑être, pas sûr).

En plus, la fève n’est pas une si bonne légumineuse à mon goût, elle a une sorte d’écorce que je n’aime pas, qui la rend dure.
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Hibou a écrit : 
[…]

Le semis par poquet de cinq semble convenir, mais la distance de 30 cm entre chaque poquet est trop longue. Il faudrait même en faire deux lignes l’une contre l’autre, à une distance de 20 cm aussi je pense, en quinconce par rapport à l’autre.

Je vais en re‑semer de cette manière (sur une ligne gâchée faute de levé du semis).

C’est ce que j’avais fait, mais en oubliant de noter la date du semis ; peut‑être était‑ce aux environs du 30 Juin ou du 1 ᵉ Juillet.

Je confirme que cette disposition leur convient bien jusque maintenant.

Je crois qu’il faudrait utiliser une disposition similaire pour les pois aussi, mais j’attends de vérifier une chose avant de donner les mesures. En tous cas, pour un semis tardif de pois, ça devrait être différent, un semis plus serré, tellement que je crois qu’il serait préférable de compter un nombre de grain par unité de surface, à répartir, et la surface devrait faire au moins 30 à 40 cm de largeur.
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L’année prochaine, je ferai tremper les légumineuses pendant 12 h avant de les semer. Mais il ne faudra pas tarder, il faudra semer quelques heures après la fin du trempage, parce que la germination me semble rapide dans ces conditions, et trop tarder pourrait abîmer les germes par la manipulation des graines germées.
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J’abandonne la culture de la fève, au profit du pois‑chiche que je vais tester. C’est normalement trop tard pour cette année, mais je vais quand‑même en semer pour observer l’allure et le comportement de la plante, tant‑pis si elle n’arrivera probablement pas à maturité.
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Hibou a écrit : 
[…]
C’est ce que j’avais fait, mais en oubliant de noter la date du semis ; peut‑être était‑ce aux environs du 30 Juin ou du 1 ᵉ Juillet.

Je confirme que cette disposition leur convient bien jusque maintenant.

Je crois qu’il faudrait utiliser une disposition similaire pour les pois aussi, mais j’attends de vérifier une chose avant de donner les mesures. […]

Pour resituer le contexte, je parlais des haricots et des pois, en pensant semer les pois d’une manière plus similaire à celle utilisée pour les haricots.

Je confirmais que le semis en poquets de cinq, convient bien pour les haricots, et je viens de vérifier que les gousses des haricots, contiennent de deux à cinq graines, cinq étant le nombre de haricots (graines) dans les bonnes gousses. Je me demande s’il s’agit d’une coïncidence ou pas, mais il me semble crédible que toutes les graines d’une gousse sont faites pour germer ensemble : soit le haricot est censé tomber au sol, soit il est censé s’ouvrir et les graines tomber au sol environ au même endroit.

Je viens de compter que les gousses des pois, contiennent de deux à six pois, six pour les bonnes gousses. Du coup, en appliquant la même logique que plus haut, je me demande s’il ne faudrait pas plutôt semer les pois par poquets de six plutôt que deux par deux. Mais j’imagine mal un poquet de six tous les cinq centimètres. En gardant la même densité, parce qu’elle me semble correcte d’après mes observations, ça ferait des poquets de six tous les 15 cm. Dans la disposition qui semble bien convenir pour les haricots, les poquets sont espacés de 30 cm et les lignes (décalées, en quinconce), de 20 cm, soit une espace entre lignes égale au deux tiers de l’espace entre poquets. Appliqué aux pois, ça ferait une distance entre lignes, de 10 cm. C’est ce que je tenterai l’année prochaine. J’espère qu’avec cette disposition, les pois se soutiendront bien entre eux (le semis au bord de l’avoine a été décevant, les plants de pois sont quand‑même tombés), seront commodes à arroser au pied et pourront être désherbés au besoin.
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Pour la récolte des graines de moutarde noire et d’alliaire, savoir que les siliques mûrs s’ouvrent très facilement. Couper les en portant et les mettre dans un sac, en brusquant le moins possible, les siliques s’ouvrant au moindre choc.

Les siliques de la moutarde des champs s’ouvrent moins soudainement, ceux de la barbarée se tiennent encore mieux.

La moutarde des champs et l’alliaire atteignent environ la même hauteur et ont un port assez proche, il est possible de confondre les pieds quand ils sont totalement secs. Pour les distinguer, savoir que les siliques de la moutarde des champs sont renflées vers la base, mais en pointe quand‑même, c’est à dire qu’ils ont en bonne partie une forme un peu conique. Les siliques de l’alliaire sont plus uniformément allongés.

Les siliques de la moutarde des champs sont quasiment collés au rachis, ce qui les distingue nettement, et de toutes manières, la hauteur de la plante prévient toute confusion.

La barbarée fait des petits siliques en grande quantité, la plante semble en être entièrement couverte. Ils ne sont pas collés au rachis, mais font avec celui‑ci un angle pas très important. Un rachis de barbarée, couvert de siliques, a un peu l’allure d’un épis.
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