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Dans une terre caillouteuse, même si on ne peut pas tamiser toute la terre, il faut au moins essayer de recouvrir les semis de terre tamisée. Les cailloux, même pas très gros, sont préjudiciable avec une bonne profondeur de semis, donc doublement préjudiciable à la levé, comme ils gênent en plus la levé en eux‑même.
Je n’ai pas put m’offrir le luxe de prendre le temps de le faire cette année ni l’année dernière, j’essaierai de le faire l’année prochaine et en reparlerai. |
Administrateur
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Les défauts d’une terre limoneuse, sont qu’elle a tendance à faire ruisseler l’eau de pluie ou d’arrosage quand elle sèche et qu’elle a tendance à se damer en surface sous l’effet de ces même pluies et arrosages, formant ce qui s’appel une croûte de battance. La présence de cailloux aggrave encore la phénomène ; ors, un sol limoneux est assez susceptible d’être aussi caillouteux, même si ce n’est pas toujours le cas. Le limon est apporté par les rivières, et les rivières ont souvent un lit de pierres charriées lentement, d’où la susceptibilité des sols limoneux à être aussi caillouteux, mais encore une fois, pas toujours.
Les défauts d’un sol argileux, sont qu’il se fissure fortement au point de faire des petites crevasse, quand il est sec, et qu’il se lie tellement à l’eau que même quand il contient de l’humidité, les cultures peuvent y manquer de l’eau qu’elles n’arrivent pas à lui arracher. Ces deux types sols partage la tendance à être dur quand ils sont secs, mais c’est encore bien plus marqué avec un sol argileux qu’avec un sol limoneux. Étonnamment, un sol argileux sec, n’est pas sujet au ruissellement en cas de pluie ou d’arrosage, l’eau y entre presqu’immédiatement comme dans une éponge. Un couvert végétal, n’empêche pas toujours un sol argileux de se dessécher et de former des crevasses. Il se dit qu’un sol argileux se réchauffe, au printemps, plus lentement qu’un sol limoneux. Je ne l’ai pas vérifié mais ça me semble crédible, comme il est plus fortement lié à l’eau qu’un sol limoneux. |
Administrateur
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Il est totalement vain de travailler un sol argileux, que ce soit à la fourche bêche, à la bêche ou à la serfouette, c’est quand il est sec, presqu’autant vain que de travailler du plâtre solide, et quand il est humide, autant vain que d’espérer émietter de la pâte à modeller. Je parle d’un sol argileux, pas limoneux.
Il semble évident qu’un sol argileux ne peut pas se travailler autrement que, indirectement, avec des plantations et des apports en surface. L’année prochaine, je tenterai une culture d’avoine sur un sol argileux ; j’en reparlerai. |
Administrateur
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En complément du précédent message, voir cette page sur les caractéristiques agricoles des types de sol : Caractéristiques des différents types de sol (vaderstad.com).
Ce que je décrivais précédemment pour un sol argileux, dépend en fait de son taux d’argile. |
Administrateur
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Même si c’est sympa, éviter d’installer un banc (que ce soit un vrai banc, un gros rondin, etc) au pied d’un arbre fruitier, parce que quand les fruits tombent, ça attire les guêpes. Mais s’il n’y a pas d’autres coins à l’ombre assez commode, les guêpes ne sont pas non‑plus agressives au point de piquer tout ce qu’elles voient, il faut seulement faire attention.
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Pour récolter les haricots verts, il ne faut pas trop tarder, ils arrivent rapidement à maturité. Quand ils sont à maturité, ils sont jaunes et leurs grains sont durs ; ces grains peuvent être gardés pour les semis de l’année suivante ou être cuisiner. Si on veut récolter les gousses, il faut le faire avant que les grains n’aient grossi. Les gousses des haricots n’apparaissent pas toutes en même temps, ce qui fait que la récolte est échelonnée.
Si vous tardez, tant‑pis, laissez les gousses non‑récoltées à temps maturer jusqu’au bout et garder les grosses graines. À leur complète maturation, les haricots ont tendance à commencer à s’ouvrir tout‑seul. Mais les grains peuvent être récoltés avant, quand ils sont entièrement durs. |
Administrateur
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Il a plut cette nuit, ce matin les rues étaient mouillées et il y avait des flacs à quelques endroits, mais en début d’après‑midi, j’ai put m’asseoir dans un prés directement par terre : la terre était sèche.
C’est désespérant … |
Administrateur
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Les pousses d’arachide, ressemblent plus aux fabacées sauvages que les pousses de pois ou de haricots par exemple. Les pousses d’arachides ressemblent à s’y méprendre à de la luzerne ou à du trèfle (deux fabacées aussi).
Pour faire pousser des arachides, il faut utiliser les graines qui sont dans les arachides crues encore dans leur coque. Les arachides blanchi ne conviennent pas, et encore moins les arachides grillées dans leur coque. Les cacahuète vendu en grande surface, même dans leur coque, sont toujours grillées. Pour trouver des arachides crues, il faut aller dans les boutiques Africaines, et encore, ce sont souvent des arachides crues blanchies ; mais on peut y en trouver non‑blanchies encore dans leurs coques. Ce semis n’est qu’un test, pour connaitre la plante et voir son comportement. Je penses qu’il est trop tard pour qu’elles arrivent à maturité, et de plus les cosses qui sont initialement aériennes s’enfoncent dans la terre pour mûrir, et la terre où elles ont été semées, est limoneuse et caillouteuse. |
Administrateur
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Les pois‑chiche, même achetés en grande surface, quand ils germent après trempage, peuvent véritablement faire des pousses, je l’ai vérifié.
J’ignore si les pois‑chiche, comme les pois, préfèrent la fraîcheur du printemps ou pas. |
Administrateur
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Les graines de la valériane, ont une sorte de plumet petit et peu dense. Quand les graines sont toutes ensemble sur ce qu’il reste de l’ex‑ombelle de fleurs, on pourrait penser à l’œuvre de minuscules araignées, surtout que les araignées aiment parfois tisser des toiles depuis les ombelles des valérianes. Ce fin duvet sur les ombelles sèches, est un signe de la présence des graines. Si le fin duvet n’est pas présent, c’est qu’il n’y a pas de graines, pour diverses raisons — pas mûres, pas formées, parties au vent, etc.
Les graines de valériane sont petites et en plus elles sont plates, alors très légères, elles sont a manipulées avec précautions pour ne pas les disperser partout et les perdre. Leur forme évoque celle d’une spatule un peu creuse, sans le manche. Elles peuvent être observées avec une loupe triplet (*). (*) Voir ce sujet : Loupes de botanistes. |