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Voir aussi ce message : Re: Plantes sauvages comestibles. C’est à propos d’une piste de sélection des graines de mauve.
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L’onagre fait de toutes petites graines dont la forme les fait ressembler à des morceaux de grains de céréale concassés. Il ne faut pas se fier à la forme du « fruit », qui m’avait fait pressentir une grosse graine allongée.

Les graines sont tellement petites qu’elles sont difficiles à vanner.
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Le tas d’herbe s’est encore tassé. En voulant remonter l’herbe du bord vers le milieux pour reforme le tas, j’ai senti une odeur de fumier. Cette odeur n’a pas été apporté avec l’herbe, je l’aurais senti avant. C’est l’herbe qui fermente qui sent le fumier !

J’avais lu quelque part quelqu’un disant que l’herbe fermente aussi bien dans un composte que dans l’estomac d’une vache. Il semble que c’était plus qu’une image, que c’est bien le cas. De plus, j’ai aussi lu ailleurs que l’herbe peut donner d’aussi bons résultats que le fumier avec plusieurs cultures (le maïs n’en fait pas partie). Possible alors que la similitude ne soit pas que dans l’odeur, qu’on peut faire du fumier sans animaux.

De mémoire, le tas d’herbe avait commencé à être constitué aux environs du 21 ou du 22 Octobre (il n’est maintenant plus alimenté), il y a donc un peu moins de deux semaines. Il ne faut donc pas plus de deux semaines pour avoir une fermentation bien entamée, alors que les températures sont actuellement plutôt basses.

On peut avoir du fumier sans meuh‑meuh.
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Voir aussi le message « Re: Notes en vrac sur les plantes ». C’est à propos du phosphore et des plantes.
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Le topinambour semble bien s’accommoder des sols sableux. Je n’en ai pas cultivé, mais j’en ai récolté quelques part où ils poussent tout‑seuls depuis plusieurs années, loin de tout jardin, j’ignore comment ils sont arrivés là.

C’est en récoltant quelques tubercules que j’ai constaté qu’ils sont vraiment dans le sable. Comme ils ne sont pas entretenus, j’imagine aussi qu’ils se cultivent assez facilement.

Les tubercules sont plus pâles que ceux du commerce, ils sont plutôt brun claire à blanchâtre.
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Les topinambours forment leur tubercules quand la durée des jours diminue et que les températures baisses.

Voir : Comment replanter les topinambours récoltés (aujardin.org).

De la même source, on apprend qu’il faut récolter les topinambour au fur et à mesure et les cuisiner le plus rapidement possible pour éviter les désordres intestinaux, mais une autre source prétend le contraire et affirme que pour éviter les flatulence, il faut le cuisiner quelques jours après la récolte : Topinambour (passeportsante.net). Quoiqu’il en soit, ça n’enlève rien au fait qu’il est préférable de le récolter au fur et à mesure, puisqu’il se conserve bien dans le sol.

D’autre sources confirment le constat du précédent message, que les topinambours se contentent d’un sol pauvre, mais il est dit aussi que les sol riches ne lui sont pas préjudiciables, qu’il fait alors plus de tubercules.

On peut apparemment les plantes de Mars à Avril. Mais je dirais n’importe quand aussi, comme ceux que j’ai récolté pousse là tout seul. Il faudrait juste faire attention au risque de pourrissement.
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Le topinambour contient de l’inuline, un sucre non assimilable que les diabétiques n’ont donc pas à craindre. Bien que non‑assimilable par les humains, ce sucre a bien un goût sucré et les bactéries intestinales s’en nourrissent.

L’inuline est un polymère de fructose [1], ce qui en plus d’un sucre dérivé du fructose, en fait aussi une fibre.

Comme le fructose, l’inuline produit par fermentation, de l’alcool éthylique, également nommé éthanol [2], et l’éthanol est un carburant. De ce fait, une université Canadienne envisage d’utiliser le topinambour pour produire du carburant [3].

Note : la première source parle de production de méthane, pas d’éthanol, avec la fermentation de l’inuline. Mais il semble que des bactéries transforment l’éthanol en méthane, ce qui pourrait expliquer la divergence. À vérifier.


[1] Inuline (wikiphyto.org).
[2] Alcool éthylique ou éthanol (universalis.fr).
[3] Le retour tu topinambour (lafranceagricole.fr), 2006.
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Le semis de carottes tardives fait aux environs du 20 ou 25 Juillet, semble potentiellement intéressant. Certaines carottes ont fait de bonnes racines, même si pas toutes. Un semis 10 ou 15 jours avant, dans la première quinzaine de Juillet, aurait apparemment permis une véritable récolte pour début Novembre.

Les carottes peuvent continuer à pousser tardivement dans l’année, même quand le temps s’est rafraîchit.

Il semble qu’il est nettement préférable de les semer tard plutôt que trop tôt, le résultat est moins décevant. Je dirais qu’un semis dans le deuxième quinzaine d’Avril et un semis dans le première quinzaine de Juillet, serait à tenter. C’est ce que je testerai l’année prochaine.
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Si je ne l’avais pas déjà rapporté, la moutarde noire s’est nettement plus resemé que la moutarde des champs.

Je crois aussi avoir remarqué une hybridation entre les deux.

La moutarde noire se distingue par son rachis violacé et ses feuilles basales rêches, la moutarde des champs se distingue par la base des pétioles rougeâtre à violacé et des feuilles plutôt lisse. J’ai remarqué des pieds de moutarde semblant tenir des deux, avec un rachis tacheté de violet, mais avec plus de vert que de violet et des feuilles un peu rêches, plus que celles de la moutarde des champs mais moins que celles de la moutarde noire. Ces hybride me semble plus tenir de la moutarde des champs que de la moutarde noire.

Normalement, je devrais mieux pouvoir l’observer l’année prochaine avec les semis de graines récoltées cette année.
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J’avais remarqué récemment dans le jardin à la terre argileuse, une quantité d’excréments de vers de terre, plus importante qu’habituellement. Je l’avais constaté sur la surface défrichée en Juin, mais pas sur la surface défrichée récemment (depuis Août).

Hier, j’ai constaté le même phénomène dans le jardin à la terre limoneuse.

Je suis surpris de ce surcroît d’activité des vers de terre alors que le temps est frais.

J’ai encore en plus remarqué que l’eau d’un puits a repris une mauvaise odeur et s’est couverte d’une pellicule ayant un peu un aspect de paraffine. Idem, je suis surpris de ce surcroît d’activité des bactéries alors que le temps est frais. Je précise que beaucoup de débris végétaux provenant des arbres, tombent dans ce puits non‑couvert (je n’ai pas eu le temps de m’occuper de le couvrir).