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Auteur | Message |
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Tchatcheur
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zen a écrit : Bon, ce qu'il y a de bien c'est que tant qu'on est en vie on peut toujours changer son entourage. ....ou pas |
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Modératrice
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On ne choisit pas sa famille (mais on peut toujours la larguer ! ) mais on peut choisir ses amis ou choisir de ne pas en avoir. J'ai tendance à penser qu'il vaut mieux être seul que mal accompagné. Dans ce cas être seul est toujours mieux que d'être accompagné de personnes qui vous font sentir seul.
Autre citation mais je ne sais pas de qui elle est. "Les seins d'une femme sont la preuve qu'un homme est capable de se concentrer sur deux choses en même temps." |
Tchatcheur
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zen a écrit : On ne choisit pas sa famille (mais on peut toujours la larguer ! ) mais on peut choisir ses amis ou choisir de ne pas en avoir. Parfois on ne choisit pas de ne pas en avoir... |
Modératrice
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"La haine c'est comme de la boue. On attend qu'elle retombe et qu'elle se dissipe et alors on y voit plus clair."
C'est une vieille dame qui dit ça à son petit fils dans un film mais j'ai oublié de quel film il s'agit. |
Modératrice
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Le temps est un grand maître. Le malheur c'est qu'il tue ses élèves.
Je ne sais pas de qui est cette citation. |
Débateur
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Comme le temps ne se rattrape jamais
n'en perdez pas à lui courir après ! Proverbe populaire |
Modératrice
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En plus, courir est fatiguant alors pourquoi s'acharner ?
" Un pinailleur n'est pas forcément un mari infidèle." Je ne sais toujours pas de qui est cette citation. |
Débateur
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Zen a écrit : " Un pinailleur n'est pas forcément un mari infidèle." de même qu'un rimailleur n'est pas forcément un poète en exil |
Modératrice
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Je viens d'apprendre un mot. Merci pour ça Maître YodaRic. |
Débateur
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Je suis un riamailleur et je ne suis pas en exil
La preuve par mes rimes douteuses ! Sur la route du Condroz Malgré la grisaille et le ciel qui pleurait les champs de colza illuminaient la campagne. Toi très obstinément oui, tu refusais quoi que je dise de devenir ma compagne. Sur la route du Condroz Sur la route du Condroz Depuis la ville de Marche vers le cœur de Liège. Indifférente à ma démarche Tu restais de glace sur ton siège. Sur la route du Condroz Sur la route du Condroz Enfermée dans ton tabernacle tu étais insensible à mon charme. Dans cette bien triste débâcle J’essayais de cacher mes larmes. Sur la route du Condroz Sur la route du Condroz Tu m’as dit :<< mon vieux ne rêve pas >>. << Je te rejette pour ma vie entière >>. Et comme je t’en voulais n’est-ce pas Très gentiment j’ai ouvert ta portière. Sur la route du Condroz Sur la route du Condroz Tu n’étais pas bien grasse tu es vite tombée de la voiture. Rebondissant avec grâce Sur le noir tarmac dur, si dur. Sur la route du Condroz Sur la route du Condroz Tu ne semblais pas avoir grand mal Car vite, vite tu voulus te relever. Et là soudain ce fut des plus banal Un très gros camion est arrivé. Sur la route du Condroz Sur la route du Condroz C’est pourquoi je chante sans hésiter oh oui je chante joyeusement en vérité. Vive les routiers Vive les routiers Sur la route du Condroz Sur la route du Condroz Malgré la grisaille et le ciel qui pleurait les champs de colza illuminaient la campagne. Toi très obstinément oui, tu refusais quoi que je dise de devenir ma compagne. Sur la route du Condroz Sur la route du Condroz MAIS NON, JE N'AI PAS HONTE ! |
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