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Auteur | Message |
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Animatrice
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Ah mon avatar !... ouf...
OK vais le changer "Ideas drift like petals on the wind. I have only to lift my face to the breeze." "Les idées dérivent comme des pétales sur le vent. Je dois seulement soulever mon visage à la brise." |
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Modératrice
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Akumu a écrit : Ah mon avatar !... ouf... Ben non pourquoi? Il faut être perdu, il faut avoir perdu le monde, pour se trouver soi-même. (Henry David Thoreau) |
Animatrice
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Paske euh... bah... non
"Ideas drift like petals on the wind. I have only to lift my face to the breeze." "Les idées dérivent comme des pétales sur le vent. Je dois seulement soulever mon visage à la brise." |
Beau Parleur
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Non, ils ont raison... Change pas, si tu te sens bien comme ça...
MAIS VIENS PAS TE POINTER LA NUIT DANS MA CABANE! |
Beau Parleur
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Abîmes intimes
Sublimes, Abysses propices Délices Sombrer.... Sombrer enfin sans rien maudire Dans la douce torpeur des langueurs infinies. Ne plus lutter, laisser le vent filer au métier de l'oubli La trame de mes vies, passées, présentes, à venir. Le laisser pénétrer profondément et se fondre avec lui Et ne plus distinguer qui est moi, qui est lui.... Oublier juste un peu, Juste un peu Dans une harmonie violence, Attendue, absolue.... Hurler ma délivrance Au plus profond du temps suspendu... |
Beau Parleur
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Je suis un funambule
Qui n’a jamais appris L’équilibre. Pas de férule D’autres «on-dit». Libre ? Sûr de son assurance, Juste en soi la confiance, L’insolence, L’arrogance, La certitude, Solide et rude, Qu'il n'aura besoin D’aucune autre main, D’aucun autre bras, Pour chaque matin Marquer ses pas. Les matins ont changé. Les certitudes ont vacillé Parce que des doigts ont effleuré Ce fil de vie si bien tracé. Surfil en corde de guitare Riant au vertige du hasard Qui joue à trembler un départ Vibrant au défi des remparts. Ou est le funambule Qui voulait se convaincre? C’était un être bulle Et rien ne pouvait vaincre Les murailles de sa maison Aucune force aucune action Ni tension Ni tentation Qu'il ne s’autorise Dans la prison Qui l’immunise Des écueils de la déraison, Cette idiotie qui fragilise La paix en posant des questions Dont les réponses parfois brisent La résistance des bastions. Et je l’ai entendu Un écho venu d’un étrange lointain, Aux arpèges vibrants, inconnus, Qui pourtant ressemblait au mien. |
Beau Parleur
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Instant qui bascule.
Sans préavis. Venu d'un autre instant à la tranquillité trompeuse, au bonheur calme, à la quiétude complice et heureuse ... C'est tellement bien déjà... Et la question innocente, vraiment innocente, sans calcul... Et la vague est là, la pointe de la vague qui nous fauche ensemble soudain et nous entraine vers les précipices sans fond d'une découverte qui s'offre et se déchire... et qui nous arrache vers les sommets impossibles des possibles passionnément fous... On ne veut pas que ça s'arrête, on ne peut pas s'arrêter, on ne s'arrête pas, grisés... les guides nous ont été consfiqués par la fureur de l'évidence; le vent nous coupe le souffle de trop respirer son air d'éclaboussure de pure vérité... On dépasse la vitesse du dépassé dans la stupéfaction irrémédiable de l'avenir certain... Jusqu'au bout de la croyance, jusqu'au bout de l'infini miraculeux... Avec la certitude, enfin, incroyablement douce, béate, bienheureuse qu'il faut mourir là, à l'instant de la création, à l'instant de la plus féconde et fulgurante des communions, vers la conception idéale, vers la naissance miraculeuse... Inabordée, inabordable, inconcevable, inespérée avant... |
Bavard impénitent
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Lazuli a écrit : Et mon cœur a trouvé Bonsoir, Je me permet de faire remonter ce poème ci en première ligne, car j’aime bien l’idée de le « fermer » en rappelant pour le final, la première strophe. Une fermeture donnant plus de « poids » à l’ensemble, le rendre fini, solide sans pour autant le cloisonner. Le faire serait d’ailleurs, saper la plaisante atmosphère bohême qui s’en dégage, et rentrer en contradiction avec le tempérament du personnage, qui semble par ailleurs, avoir trouvé son point d’ancrage en l’amour. Sans que ce dernier, ne laisse présager une perte totale de son désir de liberté, synonyme d’une vie « morne » … |
Beau Parleur
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Bien vu et interprété, Logistikon (dur dur le pseudo!)...
L'amour ne doit pas devenir une prison, il doit être nomade aussi... Curieux, avide, original, libre de contraintes, rebelle aux habitudes... |
Bavard impénitent
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Tu peux le "couper" (Platon va se retourner dans sa tombe) et ne conserver que "logis"
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