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Ma Dolto
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Lun 17 Nov 2008 18:16
Message Ma Dolto
Bonne lecture...

Dolto aurait 100 ans

Par Dominique Simonnet, publié le 06/11/2008 14:54 - mis à jour le 06/11/2008 15:40

Pionnière de la psychanalyse de l'enfance, elle énonçait ses propos comme autant d'évidences, avec une simplicité déconcertante... Françoise Dolto, disparue en 1988, aurait eu 100 ans ce 6 novembre. Retrouvez l'entretien qu'elle avait accordé à L'Express quelques mois avant sa mort, dans lequel, en toute modestie, elle raconte son combat.
Cet entretien, publié dans l'Express du 12 janvier 1990, était titré: « C'est idiot de faire du Dolto »

Elle énonçait ses propos comme autant d'évidences, avec une simplicité déconcertante. Sa voix hésitait rarement et s'amusait même souvent à inventer des mots. A l'écouter, on s'étonnait de ne pas avoir eu la même idée plus tôt. Sa parole semblait celle du « bon sens ». Etait-ce cela, la fameuse magie Dolto ? Une rencontre avec elle était, en tout cas, un dialogue intense. Plus qu'un échange, un cadeau : en l'écoutant, on se sentait intelligent. Et on savait confusément que l'on était en train de vivre un grand moment.
Souffrante, elle n'acceptait plus les entretiens depuis longtemps. Mais, par un heureux privilège, je fus l'une des dernières exceptions,, en mars 1988. Dolto lisait L'Express, nous nous étions déjà rencontrés, et puis nous étions voisins... Elle se tenait dans son petit bureau encombré de livres et de dossiers, à sa place favorite, derrière son divan. De sa fenêtre, elle pouvait observer les petits enfants en train de jouer dans la cour de l'Institut des sourds de Paris. Vue sur un monde sans parole... Un joli symbole.
Dès qu'elle parlait, cette enfant de 80 ans s'animait, par­tait dans de longues digressions, retrouvait ses souvenirs d'enfance et finissait toujours par revenir à la question. La psychanalyste mourut quelques semaines après cette rencontre. Depuis, sous les fenêtres de son ancien appartement, les arbres centenaires de l'institut voisin ont été coupés pour faire place à un nouveau bâtiment, et les parents se sentent un peu orphelins.
La première partie de notre entretien fut publiée dans L'Express du 18 mars 1988. Dans cette seconde partie, inédite, Françoise Dolto aborde la pratique de la psychanalyse d'enfants et la question de sa succession. Elle dit la nécessité de communiquer avec les bébés et lance, une dernière fois, un vigoureux plaidoyer en faveur de l'enfance.

L'Express :On a l'impression qu'il y a deux Françoise Dolto. Celle du grand public, une dame qui comprend merveilleusement les enfants, et celle des spécialistes, reconnue comme une personnalité de la psychanalyse ...

Françoise Dolto : Peu à peu reconnue ... Longtemps, on m'a considérée comme une farfelue, vous savez. Quand elle faisait ses études, ma fille, Catherine, entendait souvent parler de moi : on disait « la folle ». Moi, je pensais : « On a raison de ne pas m'écouter. Quand on apporte des idées nouvelles, on est suspect, c'est normal. » Cela m'a incité à travailler davantage. L'autre Dolto, comme vous dites, c'est simplement quelqu'un de bon sens, qui aide dans l'éducation à la prévention.

- Pourquoi étiez vous contestée ?

- Je pensais que plus un enfant avait un quotient intellectuel bas, plus il fallait l'aider. Habituellement, celui qui réussit en classe est apprécié, même s'il est fou comme un lapin. Mais celui qui est « bête » sur le plan scolaire est rejeté, parce qu'il n'est pas adapté à la réalité. Dans la vie, il restera toujours sur la berge, comme un bizut affolé. J'ai dit : aidons-le à s'en sortir. Voilà où j'ai été révolutionnaire. Et puis, je l'ai été aussi, bien sûr, parce que je parlais aux nourrissons et que je pensais qu'on pouvait les soigner.

- Vous avez également attaqué le dogme freudien ...

- Je ne l'ai pas attaqué. Freud avait montré que le psychisme d'un enfant se développe par stades. Lacan rejetait cette théorie, car il n'en avait pas besoin avec les adultes. Moi, je l'ai complètement réhabilitée en l'étudiant chez l'enfant in vivo, en montrant son importance avant 4 ans.

- Et cela, c'était révolutionnaire ?

- C'était nouveau. C'était une science très jeune qui pouvait expliquer les psychoses et qui constituait une illustration clinique de la théorie. Je n'étais pas certaine d'avoir raison : la pratique peut dépendre de la relation particulière entre les personnes. C'est d'ailleurs ce que les gens disaient au début : « Dolto guérit ». On pensait que ce que je faisais avec les enfants était dû à ma nature, et que cela ne pouvait pas être enseigné ni transmis. C'est faux. J'ai beaucoup travaillé avec d'autres analystes, en essayant d'expliquer ce que se passait entre moi et l'enfant. Plusieurs d'entre eux exercent mieux que moi maintenant. Ils ont, eux aussi, appris à parler vrai à l'enfant, comme à un égal. Et ça marche. Pourquoi ? On peut toujours élaborer des théories... Est-ce parce que l'enfant comprend notre code, parce que nous sommes crédibles ? On trouvera peut-être l'explication dans dix ans.

- Si tout le monde avait votre génie clinique, vous ne seriez pas célèbre !

- Je crois que je suis simplement un peu en avance. Mais aujourd'hui, des centaines de psychanalystes se trouvent au même niveau.

- Y-a-t-il une école de pensée Dolto ?

- Une transmission mais pas d'école. Je n'ai pas d'élèves. Il y a des gens qui apprennent avec moi au contact des enfants ; ils en prennent et ils en laissent. Le danger serait de faire une vérité de ce que j'ai dit. C'est idiot de « faire du Dolto » ! Dans mes livres et dans mon séminaire, je n'ai fait que donner des témoignages sincères, pas des recettes.

- Les participants à votre séminaires sont-ils devenus psychanalystes d'enfants ?

- Mais on ne devient pas psychanalyste d'enfants ! Celui qui ne ferait que des analyses d'enfants ne serait pas psychanalyste. Ceux qui comprennent le mieux les bébés, ce sont ceux qui s'occupent des adultes psychotiques, des délinquants, des toxicomanes.

- Pour quelles raisons ?

- Parce que ces patients ont gardé en eux les pulsions de l'enfant avec la puissance de l'adulte, ce qui les fait souffrir d'angoisses terribles. Voilà qui est intéressant dans la psychanalyse : comprendre en profondeur un être humain. Et on est bouleversé d'émotion et de compassion pour la partie marginale de la société, qui est finalement piétinée. Il y a des gens merveilleux en prison ! Leur éducation les a menés à une authenticité qui n'a pas pu s'exprimer autrement. On ne peut pas la traduire en termes de bien ou de mal. C'est ce que la psychanalyse a découvert : même si un comportement semble des plus aberrants pour la société, il est positif pour l'inconscient.

- Pourquoi un enfant développe-t-il une névrose ?

- Ah ! Pourquoi... Certains enfants sont marqués par des traumatismes, d'autres non. Un enfant brutalement séparé de sa nounou, par exemple. S'il hurle, s'il dort mal, s'il régresse, s'il fait de la colique, il manifeste sa souffrance dans son corps. Il est malade de son émotion. Mais, s'il ne réagit pas, on peut craindre que cela ne ressorte plus tard. C'est pour cela que la psychanalyse essaie de comprendre les bébés. Pour essayer de sauver des vies. Freud l'avait dit : l'avenir de la psychanalyse, c'est la prévention des névroses chez les tout-petits. Il a fallu du temps pour comprendre que tous les enfants passaient par des périodes d'interprétation de la vie dans lesquelles ils pouvaient se piéger.

- Comprend-on mieux tout cela aujourd'hui ?

- Cela évolue assez rapidement, si on compare avec la manière dont on considérait l'enfant vers les années 30, quand j'ai commencé mes études A l'époque, dans les hôpitaux, un bébé qui faisait de la diarrhée verte était mis à la diète. Il en mourait. C'est la psychanalyste Jenny Aubry qui, en 1946, a réalisé que cela relevait du psychisme : la maternante s'était prise de bec avec la surveillante au dessus du berceau. L'enfant s'était mis à l'unisson avec la partie de lui qui parlait, c'est-à-dire son tube digestif. Mme Aubry a compris qu'il fallait, au contraire, redonner le biberon à de tels bébés pour les sauver... Nous n'en sommes qu'au début, en fait.

- Dans votre séminaire, vous ne vous priviez pas, parfois, de gronder vos « élèves »...

- Il le faut, de temps en temps. Certains d'entre eux croient que la psychanalyse consiste à laisser un patient jaspiner sans arrêt et ne pas réagir. Ce n'est pas ça ! On ne doit pas diriger la personne, mais il faut diriger la cure. D'autres n'ont même pas de respect pour l'enfant, ils l'appellent un « gosse », un « mouflet », comme des nourrices qui ne voient que la viande. Je trouve cela révoltant. On apprend tout d'un enfant. Toute la richesse d'un être humain est là. Nous devons avoir un respect profond non pas du gorille ou de la guenon qui est en lui, mais du sujet qui est en lui. Une analyse d'enfant, ce n'est pas le laisser faire n'importe quoi.

- Qu'est-ce que c'est, alors ?

- C'est un questionnement. On pose des question destinées à éclairer l'enfant sur la situation passée qui l'a traumatisé et qui l'a marqué dans sa chair, au niveau psychosomatique, dans son comportement, ou dans son intelligence, en inhibant sa curiosité. Le symptôme d'un enfant est toujours une question muette. Notre rôle est d'essayer de l'éveiller à la vérité. Quand on parvient à exprimer cet événement douloureux pour lui, l'enfant peut retrouver son ordre biologique et langagier, son enfance ne l'intéresse plus. Il retrouve les préoccupations de son âge.

- Vous « remontez » jusqu'à la vie foetale ?

- Oui, et même à la vie des parents à l'âge qu'a l'enfant. Un bébé est déjà structuré par le langage. Son inconscient est constitué avant son conscient. L'être humain est une personne, un être de communication, dès sa vie foetale.

- Vous vous adressez aussi à la mère ?

- Oui. Dans les traitements des bébés, on ne sépare pas l'enfant de l'accompagnant, la mère ou le père ; Il faut analyser les enfants qui commencent à souffrir pour qu'ils ne répètent pas le comportement de leurs parents : ceux-ci ont mis la culpabilité à la place de la responsabilité. Avec une analyse, la culpabilité disparaît, parce qu'on se comprend mieux ; et la responsabilité progresse.

- Dans le cas où la mère n'est pas présente ?

- J'ai eu de très bons résultats avec des enfants abandonnés en leur disant : «Ta mère ne reviendra pas, ce n'est pas la peine d essayer de l'attendre », ce qu'on ne fait pas dans les pouponnières.

- Avec des bébés, également ?

- Oui. Alors qu'ils cherchent une fausse mère dans n'importe qui, on leur dit « Non, tu ne remplaceras jamais ta mère de naissance parce qu'elle est en toi. Tu n'en a pas besoin. La preuve, c'est que tu n'es pas mort quand elle est partie. Tu ne vis pas bien parce que tu désires la revoir, mais tu ne la reverras jamais. Il n'y aura plus que la pensée ». Ce sont des paroles qui le réunissent à sa vie sym­bolique.

/b]- Le fait de s'adresser à un bébé n'est-il pas aussi important que ce qu'on lui dit ?[/b]

- Sûrement, puisque, jusqu'à 4 mois, l'enfant comprend n'importe quelle langue. Il comprend que quelqu'un veut lui communiquer une chose essentielle à sa vie.

- A la limite, le considérer comme une personne ...

- ... c'est déjà faire la moitié du chemin. Cela rend l'enfant entendant, et réceptif dans sa sensibilité.

- Malgré tout, ce que vous dites là est encore loin d'être popularisé.

- Mais il ne faudrait pas aller chez le psychanalyste pour rien ! La psychanalyse ne peut pas être mêlée à l'éducation.

- Pour quelle raison?

- Si tout va bien après 3 ans, il est inutile de chercher à fouiller la petite enfance. S'occuper de la vie de quel­qu'un s'il ne vous le demande pas, cela est pathogène. C'est pour cela que je n'ai jamais soigné d'enfants sans leur accord. « Tes parents s'in­quiètent. Est-ce que cela t'ennuie de ne pas réussir en classe? Oh non, ça m'est égal. ? Très bien ; le jour où tu en éprouveras le besoin, tu réussiras, parce que tu es intelligent. Y a-t-il autre chose qui t'embête? Je voudrais que ma petite soeur, elle soit pas née... ? Ça, c'est difficile. Est-ce que tu veux venir travailler à changer tes idées puisque tu es obligé de supporter que ta petite soeur soit vivante? » Si l'enfant accepte. alors je lui dis: « Je ne m'occuperais pas de ta soeur, mais si tu crois que tu peux changer, moi je veux bien. » Je vois aussi certains parents qui veulent changer leur enfant de classe, sous prétexte que celui-ci déteste sa maîtresse. Mais pour quoi faire? Il a de la chance de ne pas l'aimer ! Ce sont les parents qui sont là pour être aimés, pas la maîtresse ! Elle, elle fait son métier, elle a mauvais caractère, un ulcère, elle est trompée par son jules... Elle est insupportable ? Tant pis pour elle ! Dites-le à l'enfant : « Les personnes qui s'occupent de toi sont payées pour cela, elles n'ont pas de droits sur toi. » Il le comprendra immédiatement.

- Pensez-vous que ces personnes-là le comprennent?

- Certains médecins le font. Au lieu de tout mignonner, ils disent clairement à l'enfant: « Ça va te faire mal... Je ne suis pas là pour ton plaisir ni pour le mien. » Un gros travail de prévention est engagé dans les Maisons vertes. On voit des enfants sans symptômes, mais qui sont jugés «un peu embêtants » par leurs parents. Ces derniers n'ont plus le temps de penser à eux et ils finissent parfois par se séparer. L'enfant est l'objet douleur de la mère et l'objet refoulé du père. Mais, si on peut parler avec l'enfant de ce que vous dit la maman, alors, souvent, l'enfant retrouve son sommeil ou son appétit, il donne moins d'« embêtements », sa mère renoue avec ses amies, elle continue sa propre vie au lieu d'être piégée par son souci.

- C'est que les parents sont angoissés et soucieux de bien faire. Ils se ruent sur les ouvrages de puériculture.

- Oui, il y a toujours un livre entre eux. C'est pour cela qu'à la Maison verte, nous disons aux parents: « Ne croyez pas tout ce qu'il y a dans les livres, écoutez surtout votre enfant et votre intuition. » L'enfant sait pour ses parents. Dès les premières heures, il est capable de les aider. C'est lui qui a voulu naître, c'est lui qui a choisi le couple de parents. II faut toujours lui dire la vérité. La vérité de ses origines, la vérité de la vie familiale. Il en a besoin. Si on ne la lui dit pas, il risque de ne pas avoir confiance en lui, de penser qu'il a mal choisi les humains qui l'ont initié à là vie, puisque ceux-ci sont incapable de mettre en mots ce qui s'est passé. Cela provoquera alors chez lui une scission entre sa vitalité biologique et sa vitalité sociale. On ne peut pas mentir à l'inconscient.. Il connaît toujours la vérité.

- Parler, dire, toujours. Toute votre pratique est fondée sur ce principe.

- Etre attentif, plutôt. Essayer de comprendre ce que l'enfant exprime. Même s'il ne dit rien... Communiquer. C'est tout à fait typique de notre époque. Dans les années 5O-60, on a découvert que l'individu était à la fois un bouchon sur l'océan social et un sujet. Les deux sont vrais et complémentaires, un peu comme la lumière est à la fois une onde et une particule.

- La communication entre les individus ne s'est pas épanouie pour autant.

- Elle s'est appauvrie, parce qu'à l'école on ne l'enseigne pas. On voit des enfants qui, de toute la journée, n'ont pas parlé avec des adultes et qui rentrent chez eux pour se bourrer de télé. C'est épouvantable ! Je ne suis pas une pétroleuse, pourtant, mais je pense que l'enseignement est abêtissant. L'école ne devrait pas être un étêtage, ni une uniformisation, ni une imitation des autres ou de soi-même. Mais un lieu de vie, ouvert en permanence.

- On en est loin...

- Que veut dire «loin »? Cela changera. Les enfants d'aujourd'hui la feront demain.

- Comment les jugez-vous, ces enfants d'aujourd'hui ?

- Je les crois plus intelligents que ceux d'autrefois. Ils disent davantage ce qu'ils pensent. Ils seront tout à fait à la hauteur des difficultés qu'ils auront à affronter plus tard. S'ils sont aidés par des paroles justes, ils sont capables de prendre précocement des responsabilités. Je trouve d'ail­leurs inouï que, dans une démocratie, ils ne puissent pas peser dans les élections. Les parents devraient pouvoir dis­poser de la voix de leurs fils et de leurs filles de moins de 12 ans. Alors, vous verriez que les députés seraient bien obligés de compter avec les enfants !

- Ce qui est frappant, chez vous, c'est votre émerveillement. Mais qu'est-ce qui peut encore vous étonner ?

- Tout, chez l'être humain ! Il y a une créativité immense chez l'homme, quand on sait l'écouter. J'ai toujours été très intéressée par les autres, vous savez... Ce qui m'étonne vrai­ment, c'est que l'on puisse s'intéresser à moi.


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Message Re: Ma Dolto
N'oublions pas que le résultat de son éducation fut :

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Message Re: Ma Dolto
The fool on the hill a écrit : 
N'oublions pas que le résultat de son éducation fut :

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Hahaha!

C'est qui ça...

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Message Re: Ma Dolto
C'est le fils de Françoise Dolto ! Hihihi!

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Message Re: Ma Dolto
Pas vrai....?

Oops, n’a fait une bêtise

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Message Re: Ma Dolto
Lucy Van Pelt a écrit : 
Pas vrai....?

Oops, n’a fait une bêtise


Et si ! et je trouve plus que chouette qu'elle est eu un fils comme Carlos, sa fille Catherine est devenue psychanalyste, c'est complètement en accord avec ce qu'elle dit dans son texte que j'ai cité...

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Message Re: Ma Dolto
Mais que fait-il ce Carlos au juste....

Ç'A l'air d'un drôle de zigoto...

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Message Re: Ma Dolto
tu habites où au juste Bree ? Gné ?!
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Lun 17 Nov 2008 19:01
Message Re: Ma Dolto
C'est à moi que tu parles?

Gné ?!

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Message Re: Ma Dolto
Lucy Van Pelt a écrit : 
Mais que fait-il ce Carlos au juste....

Ç'A l'air d'un drôle de zigoto...



en ce moment je crois qu'il est "au pére Lachaise" ou assimilé ....


quote="Lucy Van Pelt"]C'est à moi que tu parles?

Gné ?![/quote]


vi c'est bien à toi , tu ne connais pas Bree ? Clin d’œil



Linko je peux poser une tite question ??

pourquoi crois tu que Carlos ai éprouvé le besoin de s'enrober à ce point de graisse ? et de se ridiculiser publiquement ??

je ne porte pas de jugement , je voudrais juste ton point de vue !

Dernière édition par coco le Lun 17 Nov 2008 19:04, édité 3 fois.

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