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Wyrd a écrit : j'aime tous les animaux Personnellement, je préfère les humains végétarien‑nes plutôt que les loups carnivores, mais eux sont moins responsables, alors je ne les juge pas pour autant même si je suis porté à mettre leurs victimes à l’abri. Ce n’est pas de la loup‑phobie (je préfère encore les loups que les malheureux chiens domestiqués pour être agressifs envers les humains), j’en dirais autant des chats qu’on aime chatoyer, mais les souris mérite autant de brillants. Note importante : quand les chats ne sont pas affamés, ils peuvent être amis avec les souris et les oiseaux et quand les chats ont assez pour eux‑mêmes, ils peuvent être nombreux sur un même territoire sans se menacer entre eux, quoique la jalousie peut exister entre les chats, une jalousie qu’iels peuvent même dissimuler. C’est peut‑être pareil chez les loups, mais je crains que ce ne soit que dans une moindre mesure, comme ils sont hiérarchiques, une preuve que les matriarcats ne sont pas des mondes idéaux non‑plus. Et là aussi, je préfère les humains non‑hiérarchiques plutôt que les animaux hiérarchiques. |
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Tchatcheur
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Bien vu - tu marques un but
- je vais y réfléchir .donc le mieux : la Nature sans carnivores . Et hop ! |
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Wyrd a écrit : Bien vu - tu marques un but Ou plutôt les aider à vivre mieux et autrement. Qui sait si dans un très lointain futur, les chats ne cultiverons pas des herbes et des légumes et si ce n’est pas eux qui iront installer des chatières ici et là dans l’Univers à la place des humains. Ou les oiseaux ou les iguanes ou les salamandres ou les abeilles ou les bourdons … |
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Un reportage parle de la disparition de 70 % des animaux (en population, pas en nombre d’espèces) et de 40 % des oiseaux, en 50 ans. Le reportage dénonce la bétonisation à outrance, c’est son thème, mais sans préciser si la bétonisation est vraiment la principale cause de ces disparitions. Même si ce n’est pas très clair à cause du manque de cette précision, ça peut être raisonnablement supposé, comme la bétonisation, c’est une perte d’espace naturel.
On peut remarquer que les oiseaux ont alors moins souffert que les autres animaux, même si déjà beaucoup quand‑même, malheureusement. Le documentaire a été postée dans ce message d’un autre sujet : Re: Réchauffement ou pas : la querelle franchit la ligne jaune. |
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Les chauve‑souris Européennes, ne dégustent pas de fruits, elles sont exclusivement insectivores. Ce sont les chauve‑souris équatoriales, qui sont frugivores et même exclusivement ; elles peuvent aussi polliniser certaines fleurs en lapant leur nectar. Mais il n’y a pas qu’en Europe, que vivent les chauve‑souris insectivores.
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Les loups ont plus peur des humains que des chiens. Attention : ceci ne signifie pas que les loups ne peuvent pas être dangereux pour les humains, mais les chiens domestiqués pour être agressifs, qui sont dangereux aussi, le sont peut‑être plus encore que les loups qui me semblent généralement moins fous (être agressif sans raison, j’appelle ça de la folie). Ça ne signifie pas qu’il n’y a pas de chien ni de loups gentils, ça signifie seulement que les chiens, des loups domestiqués par les humains, ont été tellement mal traités par les humains, volontairement, qu’ils perdent totalement leur sociabilité. Mais le sujet n’est pas là, c’est les loup qui ont plus peur des humains que des chiens et il fallait seulement rappeler que les deux peuvent cependant être dangereux pour les humains, qu’il faut se méfier et garder des distances.
À écouter : Écologie de la peur : quand le loup a peur de nous — France Culture (youtube.com), 16 Octobre 2025. Remarque : « L’écologie de la peur » est aussi le titre d’un livre aux États‑Unis, à propos des villes qui relèguent les pauvres dans des zones environnementalement dangereuses, un autre sujet. |
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Les souris mangent aussi des pousses de plante.
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La question des sangliers en ville, abordée par un mini reportage du CNRS, qui éclaire en posant de bonnes questions, mais sans donner les réponses que seule les collectivités peuvent donner.
Deux des questions posées, sont celles‑ci : à partir de combien de sangliers considère‑t‑on qu’il y en a trop ? Et : est‑on prêt à intégrer la présence des sangliers dans les plans d’aménagement urbains ? La première question peut être révélatrice. Si à cette question, il est répondu que le nombre maximum acceptable est zéro, on a peut‑être à faire à une forme d’intégrisme avec lequel il n’y aura jamais de solution. La seconde question est une manière de demander si on veut intégrer une réalité ou la rejeter et dans ce dernier cas, il ne peut pas y avoir de solution. À un moment, une image diffusée dans des médias, est commentée. Les commentaires un peu mis en scène, notent surtout des manipulations typiques de celles que pourraient servir les mêmes médias, s’il s’agissait de SDF ou de réfugiés, ce qui est révélateur aussi. Le reportage, qui est à l’intention des maires des communes, et peut‑être des habitant‑es de ces communes, n’abordent pas deux questions. La première, est la réduction de l’espace où vivaient ces sangliers avant. La seconde est la manipulation volontaire, des populations de sangliers, par les chasseurs, de manière à ce que cette population réponde à leurs « besoins » ou même justifie leur existence (aux chasseurs). On peut penser que cette accusation de manipulation des populations de sanglier, n’est pas infondée, quand on sait que ces sangliers, ne sont pas des sangliers sauvages, comme on pourrait le croire, mais des sangliers qui ont été métissé par la contrainte, avec des cochons d’élevage. Si c’était accidentel ou normal pour eux, ça se serait déjà produit depuis longtemps, puisque les cochons d’élevage existent depuis des siècles en Europe, et alors les sangliers sauvages auraient été ainsi depuis des siècles. Pour les zones de culture, ce qui ne concerne pas les sangliers en ville où il n’y a typiquement pas de jardin, mais des pelouses, golfs ou parcs d’ornementation, il y a les clotures, pourvu qu’elles soient conçues d’après un modèle adapté : solide à la base avec des piquets assez rapprochés pour les sangliers, car ils se faufilent facilement et déterrent ou cassent facilement ce qui est proche du sol, mais ne savent pas escalader ou sauter (mieux vaut vraiment du bois, parce qu’ils arrivent à ouvrir les grillages au raz du sol). Accessoirement, pour protéger les cultures contre les chevreuils, biches, faons, cerfs, etc, la cloture doit être assez haute, parce que leur talent à eux, c’est le contraire des sangliers, ils sautent haut mais ne passent pas sous les obstacle trop bas et se faufile plutôt moins bien. Pour éviter les accidents, éviter aussi de les approcher, ou alors avec précautions. Les sangliers qui sont blessés ou se sentent trop menacés ou qui accompagnent des petits vulnérables, peuvent être dangereux, mais pas par méchanceté ; les blessures qu’ils peuvent provoquer peuvent être extrêmement graves. Au passage, les cochons domestiques aussi, peuvent être dangereux, il faut éviter d’approcher leurs petits, des accidents très graves sont déjà arrivés comme ça. Quand les sangliers arrivent en ville — CNRS — 24 Octobre 2025 Sous‑titrée « sangliers : doit‑on partager nos villes ? » Un livre sur le sujet : « Sangliers, géographies d'un animal politique », de Raphaël Mathevet et Roméo Bondon, Octobre 2002, aux éditons Actes Sud. Les sangliers confondent le noir et le bleu, le blanc et le jaune et ne voient pas le rouge. Les sangliers sont accusés de faire pour 35 millions d’euros de dégâts par an dans les culture. Trente cinq millions d’euros de dégâts par an, ça fait 50 cents par habitant par an, ce n’est rien du tout, c’est de la broutille. Comparé aux quantités de bouteilles en plastique et de canettes en alu’ qui sont jetées partout, comparé aussi par exemple à la dette publique, c’est rien du tout. C’est plus de l’intolérance qu’un vrai problème. Chaque année en france, 800 000 sangliers (la population d’une très grande ville) sont massacrés par les chasseurs, c’est tellement que même certains chasseurs en sont mal à l’aise, c’est dire. Il est prévu que dans une ou deux décennies, ce sera un millions de sangliers chaque années. La disparition des loups est avancée comme une cause, mais les loups ont disparu depuis bien longtemps et ça ne fait que 10 à 20 ans que les sangliers sont considérés comme un problème. Là cause ne vient pas de là, elle est d’origine humaine (les chasseurs qui ont voulu s’organiser des divertissements). Les sangliers sont considérés comme n’étant plus les bienvenus, même dans les réserves sauvages. Ce ne sont pas les gestionnaires de ces réserves qui ne les veulent pas, car les sangliers n’y posent de pas de vrais problèmes. Ce sont les fédérations de chasseurs qui mettent la pression sur les gestionnaires, parce que ces sangliers sortent de la réserve régulièrement pour aller dans les cultures voisines et les chasseurs doivent indemniser les agriculteurs pour les pertes. Mais ce sont les fédérations de chasseurs qui ont influencé les agriculteurs pour qu’ils ne s’occupent plus de cette question, en leur proposant des indemnités à la place, ce qui confirme la suspicion que les chasseurs ont beaucoup participé au problème. Alors les sangliers qui ne sont plus accepté ni à la campagne, ni dans les réserves naturelles, se cherche un nouveau chez‑eux en ville, où ils ne sont malheureusement pas acceptés non‑plus. Les sangliers sont devenus des apatrides malgré eux. Raphaël Mathevet, écologue et géographe, souligne que ce ne sont pas les sangliers qui arrivent en ville, ce sont les villes qui s’étendent jusque là où ils vivaient avant. Il observe que les sangliers ne sont pas des intrus en ville, qu’ils y ont déjà leurs habitudes. Ces notes viennent d’un documentaire diffusé par ARTE, intitulé « Sanglier, la bête noire ». |
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Les rats sont habituellement communautaires, ils vivent toujours dans le même quartier de maisons, en gros. Ça signifie qu’il ne propage pas autant les maladies que ça ne l’a été affirmé. Ils peuvent être malade et contaminé les humains par mauvais contact, mais ils ne participent pas à la diffusion. Le cas de la peste était une exception, parce que la maladie étaient propagé par les puces, qui se déplacent beaucoup plus. Par contre, on peut deviner que chasser les rats, les forcer à quitter un lieu, est le meilleur moyen des les contraindre malgré‑eux à propager une maladie, s’ils en ont une.
Concernant le risque de transmission de maladies aux humains, l’importance d’une population de rats n’est pas en rapport avec le risque de contamination. Une grande communauté de rats peut être saine, et une toute petite communauté peut être malgré‑elle porteuse d’une maladie. L’idée que plus il y a de rat‑es, plus il y a de risques de maladies, est infondées en pratique. Comme les rats ne participent pas vraiment à la propagation (hors cas particuliers, comme dit dans le paragraphe précédent), il n’y aucune raison de les rendre trop responsables. Des rats ne peuvent pas non‑plus être porteurs d’une maladie qui ne leur a pas été apportée et les rats sont beaucoup plus contaminés par les humains que les rats ne contaminent les humains, d’après Tuomas Aivelo, chercheur en écologie de la santé. Chelsea Himsworth, épidémiologiste, rapporte qu’une simulation de dératisation avait été effectuée dans une ville, pour en connaître l’effet sur la leptospirose. Ce n’était pas une simulation informatique, mais une simulation dans le sens où les rats ont été abductés par des humains, au lieu d’être euthanasiés (*). Ensuite, un bilan a été fait sur les rats qui avaient laissés chez eux. Le constant est que la maladie n’avait pas disparue, pire, elle était encore plus présente dans la population qu’elle ne l’était avant les enlèvements, la concentration de la maladie était plus élevée qu’avant. D’après Kaylee Byers, biologiste spécialiste de la santé des animaux, l’explication de cette apparent paradoxe, est que la disparition de certains membres de la communauté, a bouleversé toutes les habitudes sociales et comportementales de cette communauté, provoquant semble‑t‑il un tel remue‑ménage que la maladie a été brassée chez les rat‑es qui restés là. Ce qui confirme une idée d’un précédent paragraphe : provoquer de l’agitation chez les rats, n’aident pas à limiter la maladie, ça aggrave la situation (on peut au passage se demander si ça n’a pas été une des erreurs faites avec le Covid, comme le comportement du gouvernement au moins en france, un des plus autoritariste dans ces décisions, n’a pas aggravé la situation plus qu’il ne l’a résolu). (*) Benoît Pisanu, chercheur en écologie, qui participe à des études sur les rats, mais pas à celle qui était mentionnée, prononce ces mots : « on relâche les rats très proche de l’endroit où ils ont été capturés ». Ça suggère que cette pratique respectueuse, n’est peut‑être pas marginale. Il précise que s’il les relâche chez eux, ce n’est pas seulement par politesse, c’est aussi pour éviter d’induire chez eux un stress, qui pourrait avoir de mauvaises conséquences, autant pour les rats que pour les humains. D’après Annika Schlötelburg, biologiste, les rodenticides, qui sont des raticides, souvent des anticoagulants qui persistent longtemps dans l’environnement et sont bioaccumulables, se retrouvent chez d’autres animaux sauvages que les rats, et, ce qu’elle trouve très choquant, se retrouvent dans 100 % des poissons de rivière et y compris les oiseaux qui les pêche, et donc, peut‑être chez les pêcheurs aussi, sachant que la dose est importante, mais qu’une faible dose suffit, quoiqu’elle semble ne jamais avoir été atteinte. Dans les poissons de rivières, il s’agit peut‑être seulement de traces de ces composés, parce que si le seuil de dangerosité était dépassé, ça se saurait. Mais chez des petits animaux, la dose ne peut que être plus rapidement atteinte et on ne vit pas chez eux pour savoir. Les raticides sont donc une source de pollution. La contamination des poisson passerait par les eaux des égouts, les traitement des eaux usés ne parviennent pas à éliminer les anticoagulants. C’est encore plus stupide que ça. Aude Lalis, maître de conférence à l’ « Institut de Systématique, Évolution, Biodiversité », rapporte que les rodenticides ont tellement été utilisés contre les rats, que certains rats sont devenus résistants à ce poison. En plus d’être une pollution toxique, ils sont de plus en plus inefficaces. Et tous ça, pour des préjugés. Les raticides ne devraient jamais être utilisés. En plus, ils sont dangereux pour les enfants. Personnellement, je n’ai d’ailleurs jamais compris que des « adultes » en utilisent là où il y a des enfants, c’est une folie, et quand on est enfant et qu’on en est conscient, c’est perturbant. La meilleure solution, est sûrement d’améliorer l’état sanitaire des villes et autres lieux. Les biocides ne sont décidément pas une bonne solution pour ça. L’humanité en a déjà fait l’expérience avant de comprendre que la lutte farouche contre les bactéries et leurs voisin‑es, fait souvent plus de mal que de bien. Pour améliorer cet état sanitaire, plusieurs chercheur‑ses, proposent de se préoccuper des poubelles. Personnellement, je ne crois pas que nourrir les rats ou les souris volontairement, soit un problème, parce que ça ne fera jamais autant que dans les poubelles et des actualités de ces dernières années ont rappelé l’incroyable quantité de nourriture qui fini dans les poubelles. Personnellement, je n’ai jamais constaté de grande population de rats même autour des tas de composte, alors il faut vraiment que les quantités soient importantes et peut‑être même dans un état plus ou moins encore consommables. Dans les tas de composts, on peut voir surtout les escargots, les limaces et les drosophiles, même pas les souris ou peut‑être juste un peu. Kaylee Byers, précédemment mentionnée, mentionne l’utilité de prendre en compte les rats, dans l’aménagement urbain, comme de précédent chercheur‑ses invitaient à le faire, dans un précédent message à propos des sangliers en ville. En revenant à la question des épidémies, il faut garder à la pensée, que la crise du Covid ne devait rien aux rats (mais aux mauvais traitements infligés à des pangolins), et que les colons qui sont arrivés aux Amériques, ont apporté des maladies auxquelles 90 % de la population de tout un continent a succombé, ce qui fait un bilan bien pire que celui de la peste, au point que l’environnement naturel lui‑même en a été chamboulé. Et même avec la peste, l’histoire montre que les facteurs humains étaient les plus nombreux, avec comme causes humaines, au moins l’avidité et le mépris des classes sociales « supérieures » envers les classes sociales « inférieures », ce qui inclus le droit à de bonnes conditions sanitaires et de salubrité ; mais en excluant des facteurs comme l’ignorance, si elle n’est pas volontaire par mépris. Dans de nombreuse régions d’Europe, les rats noirs, alias les rats de grenier, sont considérés comme disparus. Reste à savoir si des gens vont s’en soucier comme ce serait le cas avec les hérissons par exemple. Les rats sont peut‑être parmi les dernières victimes d’une tendance heureusement en déclin, celle de vouloir volontairement faire disparaître une espèce. Les rats ressemblent quand‑même beaucoup aux souris, et même parfois font penser aux écureuils et aux lapins. Les ragondins ne sont pas des rats ; si des gens croient avoir un rat autant grand qu’un chat, c’était un ragondin, à moins d’avoir pris un castor pour un rat, mais ça semble un peu plus difficile, parce qu’ils ont le visage plus rond, le nez moins pointu, même encore moins que les chats et pas sûr que les castors fréquentent les cours d’eau en ville, contrairement aux ragondins. « Si les rats quittent le navire, c’est la preuve qu’ils sont futés » — Proverbe Finlandais, rapporté par Tuomas Aivelo, biologiste, à moins que ça ne soit entièrement de lui Halte au rat‑cisme ! — Williamhoustra, un internaute sur YouTube, en commentaire à un documentaire sur les rats des villes. La source de ces notes et d’inspiration à partir de ces notes, est un reportage diffusé par ARTE, intitulé « Les rats des villes ». |
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Les bourdons sont des abeilles
On dit toujours un bourdon, mais il y a des bourdonnes reines. Certains bourdons sont solitaires, comme certaines autres abeilles le sont, d’autres bourdons vivent dans de grand nids collectifs, où iels peuvent être jusqu’à 300 ou 500. Il y a entre 45 et 50 espèces de bourdons en france. Le bourdon terrestre est sociale, il est typique de l’Europe, même si certains vivent un peu ailleurs dans le monde. Il n’y a pas qu’en Afrique ou en Amérique du sud ou en Australie, qu’il y a des êtres vivants uniques à préserver. En Europe, ils ont tendance à disparaître à cause de l’agriculture intensive. Cette page, qui ne parle que du bourdon terrestre, ainsi nommé par qu’il fait ces nids dans le sol, indique quelques pistes d’idées pour leur faire des environnements accueillants : Bourdon terrestre (lpo.fr). |

- je vais y réfléchir .